MAILLOT
INFO 845 MAILLOT « NON au 19 mars »
MAILLOT
Culminant à 474 mètres d’altitude la localité de MAILLOT est une commune située à 40 km environ à l'Est de BOUIRA, à 80 km au Sud-est de TIZI-OUZOU et à 90 km environ au Sud-ouest de BOUGIE.
Climat méditerranéen avec été chaud.
Nom d’origine : SOUK-EL-TLETA
La commune de MAILLOT est située sur le versant méridional de la chaîne de Djurdjura couvrant une partie de la vallée de Sahel (qui s'étend de TAZMALT à PALESTRO). Elle occupe une position stratégique entre la vallée de la Soummam et la plaine de Sahel d'une part, et entre la chaîne de Djurdjura au Nord et les Hauts plateaux au Sud, d'une autre part.
Présence turque 1515 - 1830
Durant l’occupation ottomane qui aura duré plus de trois siècles, cette région est restée insoumise tout le temps en guerre contre les Turcs, en refusant de payer les impôts, sauf pour ceux qui avaient préféré vivre dans les plaines et se soumettre aux lois de l’occupant, mais les historiens ne l’évoquent que pour parler des batailles qui s’y déroulent à l’occasion du passage des caravanes turques de Constantine à Alger.
Présence française 1830 – 1962
Quand les Français arrivèrent en Algérie, ils trouvèrent les massifs montagneux occupés principalement par les anciennes populations du Maghreb, les Berbères, refoulés jadis par la conquête Arabe et réfugiés derrière le rempart inexpugnable de leurs montagnes.
De 1830 à 1857 la conquête française occupa successivement les villes, les plaines et les montagnes, domptant tour à tour les Turcs, les Arabes et les Berbères.
Xxxxxxxx Xxxxxxx-Xxxxx XXXXXX (1795/1871) Xxxxxxxx Xxxxxxx xx XXX-XXXXX (1808/1893) xxxxx://xx.xxxxxxxxx.xxx/xxxx/Xxxxxxx_Xxxxx_Xxxxxx xxxxx://xx.xxxxxxxxx.xxx/xxxx/Xxxxxxx_xx_Xxx_Xxxxx
Le maréchal XXXXXX, gouverneur de l'Algérie, organise en 1856 et 1857 la campagne de soumission de la grande Kabylie. Quatre divisions sont mises sur pied et le 18 mai 1857, le maréchal vient prendre le commandement des trois premières divisions concentrées à TIZI-OUZOU. La première partie de la campagne amène la soumission de la tribu des BENI-RATEN le 26 mai.
Les forces françaises démarrent alors la construction du FORT-NAPOLEON, mais à quelques kilomètres de cette nouvelle forteresse, les Kabyles les plus énergiques se retranchent fortement dans le village d'ICHERIDEN.
Le 24 juin 1857, la division du général de MAC-MAHON est lancée contre la position, qui est enlevée, au prix d'un combat sanglant.
Dès lors, la France, maîtresse d’un pays où Rome seule avait pu complètement s’implanter, n’a plus eu qu’à réprimer des insurrections régionales et à poursuivre la pénétration militaire.
En 1865, FORT-NAPOLEON reçut la visite de l'Empereur Xxxxxxxx XXX, qui avant de quitter le sol algérien voulut constater par lui-même les merveilles que l'armée du Maréchal XXXXXX avait opérées en Kabylie. En Europe la situation se dégradait et nos relations avec l'Allemagne se tendaient.
Dès le mois de juillet 1870, les régiments de Zouaves furent appelés à faire partie de l'armée du Rhin. La place de FORT-NAPOLEON dût aussi fournir son contingent et la garnison d'occupation passa de 4 000 hommes à 472 mobiles de la côte. Ce fut une grave erreur qui devait avoir de désastreuses et terribles conséquences.
En effet depuis longtemps déjà les marabouts, surexcitaient les tribus. Dès le 11 avril 1872, Xx Xxxxxxx Xxx Xxxx XX-XXXXXX, agent aux ordres de XXXXXXX, le chef de l'insurrection, vint sur le marché des AÏT-IDJEUR déclarer au nom de dieu que le moment était venu de chasser les Français.
Tous les villages du cœur de FORT-NAPOLEON répondirent à son appel et levèrent l'étendard de la révolte. Ce fut le début des hostilités et du siège de FORT NAPOLEON. Ce siège va durer 62 jours. Une partie du fort sera investie. Le 8 mai, la ville était toujours sans nouvelles de l'extérieur.
Le 12 mai, XX-XXXXXX (qui nous était resté fidèle) avec 50 hommes d'AZOUZA parvint jusqu'au pied des remparts et remis au colonel MARECHAL une lettre du Général XXXXXXXXX datée du 30 avril, lui annonçant le déblocage de TIZI-OUZOU et son arrivée prochaine à FORT-NAPOLEON.
Le 24 juin, le Général XXXXXXXXX met en marche ses colonnes, c'était le jour même de l'anniversaire du premier combat d'ICHERlDEN en 1857. La déroute des tribus Kabyles fût complète malgré la force et le nombre d'ouvrages qu'ils avaient édifiés.
La soumission temporaire des tribus était chose acquise, et les colonnes de secours quittaient définitivement le FORT-NAPOLEON le 20 juillet 1871.
Pendant que ces tragiques événements se déroulaient en Algérie, la France agonisait sous le pied du féroce vainqueur allemand. L'Empire croulait à SEDAN et la République était proclamée. FORT-NAPOLEON devint dès lors FORT-NATIONAL le 11 septembre 1871.
A ICHERIDEN s'élève une pyramide qui sert d'ossuaire aux nombreux soldats français tués à cet endroit en 1857 et 1871 (400 morts).
La Grande Kabylie se distingue par son altitude des régions voisines et s'étend, du Nord au Sud, de la côte méditerranéenne jusqu'aux crêtes du Djurdjura. Trois ensembles montagneux en occupent la plus grande part :
DJURDJURA
• au Nord, jusqu'à la mer, et à l'Est, les hauts massifs boisés de la Kabylie maritime, région côtière qui culmine au mont Tamgout (1 278 m), et de l'Akfadou, qui marque le début de la Petite Kabylie ;
• au Sud, la chaîne calcaire du Djurdjura, surplombant au nord-ouest la dépression DRAA-EL-MIZAN, au Sud la vallée de l'oued Sahel-Soummam, et culminant au Lalla-Khadîdja, plus haut sommet de l'Atlas tellien
(2 308 m) ;
• entre les deux, bordées au Nord par le bassin du Sebaou, jouxtant le Djurdjura au Sud-est, profondément entaillées par de nombreuses gorges, les montagnes anciennes du massif de l'Agawa, le plus densément peuplé, avec huit cents mètres d'altitude moyenne. C'est là que se trouvent TIZI-OUZOU principale ville de Grande Kabylie, et FORT-NATIONAL, centre urbain le plus élevé de la région, à environ mille mètres d'altitude.
Le territoire de la Grande Kabylie recouvre aujourd'hui la région de TIZI-OUZOU et une partie de celles de BOUIRA et ROCHER-NOIR (devenu BOUMERDES).
Les expressions de « Haute Kabylie » ou de « Kabylie du Djurdjura » sont souvent employées comme synonymes de
« Grande Kabylie », l'une ou l'autre de ces appellations pouvant aussi désigner, plus spécifiquement, la partie située au sud du SEBAOU. Les franges méridionales de la région, au Sud du Djurdjura, autour de la vallée de l'oued Sahel, peuvent être considérées comme un ensemble à part, distinct des Grande et Petite Kabylies et centré sur la ville de BOUIRA.
Vers l’Est, le ligne s’abaisse progressivement et vient se terminer à l’entrée du col de TIROURDA (1 750 m). En arrière de cette chaîne se détache le pic de LALLA-KHEDIJA, dont la vue d’ensemble est mieux appréciée dans la vallée de la SOUMMAM entre MAILLOT et BENI MANSOUR, ou sur l’immense plateau qui s’étale des deux côtés de la ligne de chemin de fer entre BENI-MANSOUR et BIOUTRA.
MAILLOT (Source ANOM) : SOUK-EL-TLETA, situé sur le territoire de la tribu de M’CHEDALLAH (commune mixte de BENI-MANSOUR/MAILLOT) prend le nom de MAILLOT par décret du 28 juillet 1881 ; le périmètre urbain du centre de population est constitué par arrêté du 11 juillet 1882.
Le centre, avec le douar M'CHEDALLAH, est érigé en commune par arrêté du 30 novembre 1956, dans le département de Grande-Kabylie.
Le nom de MAILLOT est intimement lié aux succès notables de la lutte qui dut être menée en Algérie contre le paludisme. Ce médecin militaire, né à Briey (Meurthe et Moselle) en 1804, mort à Paris en 1894, introduisit en Algérie l'usage courant de la quinine.
On sait aussi la portée de son rôle, les heureux résultats de son action, de son dévouement sans limites. Sa mort ne laissa pas les Algériens indifférents. De nombreux témoignages le prouvèrent. C'est ainsi que le nom de MAILLOT fut donné également, durant la guerre 1914-1918, à l'hôpital militaire du dey.
En 1895, on ouvrit à ALGER une souscription en vue d'élever un monument à la mémoire du grand médecin.
Création du centre en 1881
Le choix fut porté sur SOUK-EL-TLETA à IGHIL BOUMLIL de la tribu d'IMCHEDALLEN qui a accueilli le centre de surveillance des BENI-MANSOUR en 1881. Ce lieu d’implantation a été décidé par rapport à sa position sur « les hauteurs avec un climat plus sain que la plaine ».
En effet pendant l'insurrection de 1871, le bordj des BENI-MANSOUR où cantonnait une garnison d'une centaine d'hommes, sous le commandement du capitaine XXX, fut assiégé pendant 52 jours, du 7 avril au 28 juin, jusqu’à l’arrivée des renforts militaires de Constantine et d’Aumale. De plus des attaques répétées des Kabyles insurgés, le manque d'eau fut une des plus grandes difficultés de la défense. Il fallait, en effet, s'en procurer coûte que coûte pour survivre. Pour cela il fallait déjouer, pendant la nuit, la vigilance de l'ennemi qui bloquait le poste et se ravitailler à l'oued Sahel, à 300 mètres de distance.
Ces événements ont montré alors combien cet édifice stratégique était fragile et peu adapté à la défense et son efficacité réduite laissait à penser qu’il fallait réfléchir au transfert de ce dernier vers un site plus approprié.
Dès le début de 1875, une opération d’exploration fut menée par une équipe de militaires et après étude, le choix fut porté sur SOUK-EL-TLETA à IGHIL-BOUMLIL de la tribu de M’CHEDALLAH qui a accueilli le centre de surveillance de BENI-MANSOUR en 1881 et où fut édifié en parallèle le nouveau village colonial sur une superficie de 370 hectares.
Pour l’implanter, il fallait procéder à une opération d’expropriation. L’administration a indemnisé les chefs de tribus des douars qui vivaient misérablement sous les tentes. C’est ainsi que fut créé le village de colonisation sur les terres à l'abandon des OULED-BRAHIM, fraction importante faisant partie des douze tribus de la tribu précitée.
Ce site a été choisi pour sa position stratégique ; il présente des conditions idéales pour abriter le centre de surveillance militaire et aussi pour servir de terrain d’assiette pour l’implantation d’un centre de colonisation :
- Altitude 450 m : surveillance favorable ;
- Climatologie : hiver doux et été clément ;
- Topographie des sols : Terrain non marécageux (le risque du paludisme qui sévissait à cette époque dans la région est moindre) et les sols non inondables ;
- Alimentation en eau potable réalisable ;
- Potentialités agricoles importantes (plaines irriguées de l’oued Sahel).
Pendant la même année, le 2 juillet 1881, SOUK-EL-TLETA a troqué son nom pour celui de MAILLOT et ce conformément au décret du président de la République Xxxxx XXXXX qui, sur proposition du Conseil Général du département d’Alger, dans la séance du 3 mai 1881, en vue de donner à des villages nouvellement créés en Algérie le nom du docteur XXXXXXX, pour perpétuer le souvenir des services rendus à la colonisation par cet ancien inspecteur du service de santé des armées, avait décrété : «Le village de SOUK-EL-TLETA situé sur le territoire de la tribu M’CHEDALLAH, département d’Alger, portera à l’avenir le nom de MAILLOT ».
A cette occasion, l’épouse du médecin MAILLOT, Madame Xxxxxxxxx-Xxxxxxx XXXXXXX, avait offert au nouveau village le buste de son mari qu’elle avait sculpté pour être exposé sur sa place publique.
Les premiers colons commencèrent à rejoindre le nouveau centre de colonisation le 20 octobre 1882. Sur 50 familles prévues, 11 seulement sont arrivées. Et depuis, ce fut un va-et-vient incessant de colons qui sillonnèrent la région pour prospecter les terres fertiles, et surtout chercher des vignobles prospères. La majorité des postulants a vite découvert que la région n’est pas à vocation viticole, ce qui a dissuadé plus d’un à y prendre pied.
MAILLOT était d’abord chef-lieu de commune, puis en 1890, il devint commune mixte qui s’étend sur un grand territoire composé de plusieurs douars :
- A l’Est : AGHBALOU, ATH-HAMDOUN, BELLIL, TIKSIRIDENE, CHORFA, OUAKOUR;
- A l’Ouest : ATH-AISSI, EL-KSAR, ATH-YELLA ;
- Au Sud : SEBKHA; ATH MANSOUR ;
La première constitution de l’état-civil fut réalisée en 1890 par le moyen de l’arbre généalogique élaboré pour chaque famille habitant dans le territoire de la commune et suite à une déclaration de l’un des sages de chaque fraction, les personnes natives avant cette année, vivantes ou décédées, ont été inscrites sur les registres de l’état- civil signés et paraphés par Xxxxx Xxxxxx XXXXXX, Administrateur et premier officier de l’état-civil de la commune de MAILLOT.
COMMUNE MIXTE
La commune mixte de BENI-MANSOUR est créée par arrêté gubernatorial du 1er décembre 1880. Elle change de nom pour prendre le nom de son chef-lieu, MAILLOT, par arrêté gubernatorial du 27 octobre 1924.
Si vous souhaitez en savoir plus sur les conditions sanitaires d’alors, je vous invite à lire ce lien :
xxxxx://xxxxxxx.xxx.xx/xxx:/00000/xxx0x0000000x/x0x000.xxx
Les Communes mixtes ont été supprimées par arrêté du 30 novembre 1956.
La commune mixte, qui a donc existé de 1880 à 1956 sous deux noms successifs, couvre une superficie de 102 716 hectares, et se place à une altitude de 450 mètres. Elle a été créée sur les hauteurs, en plein centre de la Kabylie, et symbolise la volonté d'implanter un centre de colonisation.
En 1937, à l'occasion d'un rapport de l'administrateur sur l'alimentation des indigènes, on apprend que la commune mixte comprend 33 287 habitants indigènes, répartis en 5 969 familles, dont 1 299 familles très pauvres ; toutes sont sédentaires, la plupart habitant des maisons en pisé. La production principale est l'olive, les figuiers et les pêchers sont secondaires ; l'orge est la céréale la plus cultivée ; seuls des chèvres et des moutons sont élevés.
Il s'agit par conséquent d'une commune mixte assez pauvre, comme il en existe beaucoup dans les régions montagneuses de la Kabylie, mais suffisamment importante pour être dotée d'un hôpital auxiliaire.
La Commune Mixte de BENI/MANSOUR, créée par Arrêté gouvernemental du 1er décembre 1880 était composée, en 1902, comme suit :
TOTAL = 22 203 habitants dont 433 européens - Superficie : 102 685 hectares.
-MAILLOT (SOUK-EL-TLETA) centre : 368 habitants dont 256 européens – Superficie : 1 740 hectares ;
-ADJIBA (ou EL-ADJIBA), hameau et fermes : 177 habitants dont 177 européens - Superficie : 71 hectares ]
-COL-des-PINS hameau : 177 habitants dont 177 européens ]
-EL-ESNAM, hameau : - Superficie : 1 138 hectares ]
-AGHBALOU (BENI-KANI) , douar : 3 906 habitants - Superficie : 6 538 hectares ;
-AHL-EL-KSAR, douar : 2 810 habitants - Superficie : 25 486 hectares ;
-BENI-MANSOUR, douar : 1 544 habitants - Superficie : 9 725 hectares ;
-M’CHEDALLAH, douar : 4 097 habitants - Superficie : 14 049 hectares ;
-OUAKOUR (BENI-OUAKOUR), douar : 1 481 habitants - Superficie : 2 740 hectares ;
-SEBKHA, douar : 1 118 habitants - Superficie : 13 016 hectares
-TACHACDIT (BENI-YALA-CHERAGA), douar : 2 885 habitants –Superficie : 13 886 hectares ;
-TIGHEREMT (BENI-YALA), douar : 2 846 habitants - Superficie : 1 138 hectares ;
-TIKSIRIDEN (CHEURFA), douar : 1 404 habitants - Superficie : 1 820 hectares.
ETAT-CIVIL - Source : ANOM –
SP = Sans profession
BENI-MANSOUR :
-1er mariage : (18/02/1864) X. XXXXXXXXX Xxxx (Commis natif du Vaucluse) avec Xxxx XXXXXXX Xxxxxxxxx (XX xxxxxx x’Xxxxx) ;
-1ère naissance : (07/04/1866) de XXXXXXX-XXX-XXXXXXX Xxxxxx (Père Commerçant)
-1er décès : (15/04/1867) xx XXXXXX Xxxxxx (27ans, Lieutenant natif des Vosges) ;
MAILLOT :
-1ère naissance : 09/02/1884) de XXXXX Xxxxxxx (Père Entrepreneur TP ) ;
-1er mariage : (25/08/1884) de X. XXXXXXX Xxxxxx (Conducteur natif Sétif-Algérie) avec Xxxx XXXXXXX Xxxxxx (XX xxxxxx xx xx Xxxxxx) ;
-1er décès : (31/08/1884) de XXXXXXXXX Xxxxxx (56 ans, Cultivateur, natif Hautes Alpes) ;
Les premiers DECES relevés :
BENI-MANSOUR :
1867 (16/09) xx XXXXXXXX Xxxxxxxx (19 ans, Soldat natif Ardèche). Témoins MM. XXXXXXXXX et BAILLON (Militaires) ; 1867 (16/09) xx XXXXXXXXXX Xxxxx (31ans, native du Gard). Témoins MM. VIVES (Briquetier) et CORPEL (Militaire) ; 1867 (18/09) xx XXXXX Xxxx (22ans, Soldat natif de Charente). Témoins MM. XXXXXXXXX et BAILLON (Militaires) ; 1867 (18/09) de SALLES Aimé (25ans, Médecin natif Meurthe). Décédé à l’hôpital d’Aumale ;
1867 (24/09) xx XXXXXXXX Xxxxxxx (23ans, Soldat natif Yonne). Témoins MM. FRABOULET et BAILLON (Militaires) ;
1867 (25/09) xx XXXXXXXXXXX Xxxxx (25ans, Lieutenant natif de Charente). Témoins MM. XXXXXX (Officier) et XXXXXXXX (Directeur école) ; 1868 (20/01) xx XXXXXXX Xxxxx (7mois). Témoins MM. PROVOST (Officier) et XXXXXXXX (Directeur école) ;
1868 (04/03) xx XXXXXXXX Xxxxxxxx (65ans natif Italie). Témoins MM. PROVOST (Officier) et XXXXXXXX (Directeur école) ;
MAILLOT :
1884 (23/10) xx XXXXXXX Xxxxxxx (47 ans, Cultivateur natif Vaucluse). Témoins MM. XXXX Xxxxxxxxx (Cultivateur) et XXX Xxxxxx (Boulanger) ; 1884 (31/10) xx XXXXXXXXXX Xxxxxxx (50ans, Cultivateur natif Puy de Dôme). Témoins MM. XXXXXXXX Xxxxxx et XXXXXXXX Xxxxxx (Cantonnier) ; 1884 (19/12) de XXXXX Xxxxxxxxxxx (33 ans, manœuvre natif ITALIE). Témoins MM. BARTINE B et XXXXXXXX R (Manœuvres) ;
1885 (12/01) de SCATIZZI Xxxxx (00 ans natif ITALIE). Témoins MM. CREMONUIRE Xxxxx (Tailleur pierres) et BARBE Pierre (Médecin) ; 1885 (24/05) xx XXXXXXXX Xxxxx (42 ans, native ESPAGNE). Témoins MM. XXXXXXX Xxxxxxx (Voiturier) et REGOLINI S (Mineur) ; 1885 (15/06) de XXXXXX Xxxxxxx (23 ans, natif du Doubs). Témoins MM. XXXXXX Xxxxxxx et XXXX Xxxxxxx (Xxxxxxxxxxx) ;
1885 (19/07) de PIC Marie (16 ans, native Vaucluse). Témoins MM. ROQUEMAURE M (Cultivateur) et XXXXX Xxxx (Maçon) ; 1885 (20/07) de XXXXXXXXX Xxxxxxxx (1 mois). Témoins MM. MIGEON Jean et LACROIX X. Xxxxxxxx (Xxxxxxxxx) ;
1885 (22/07) xx XXXXXXX Xxxxx (4 mois). Témoins MM. XXXXXXX Xxxxxx (Employé) et XXXXXX Xxxxxxxx (Tâcheron) ; 1885 (26/07) xx XXXXXXX Xxxxxxx (4 mois). Témoins MM. XXXXXXX Xxxxxxxx et XXXX Xxxx (Maçons) ;
1885 (08/08) xx XXXXXXXXXX Xxxxxxx (42ans, natif Dordogne). Témoins MM. XXXXXXX Xxxxxx (Xxxxxxxxxx) et XXXXXXXXX X (Terrassier) ; 1885 (21/08) de XXXXX (15 mois). Témoins MM. XXXXXXXXXXX Xxxxx (Journalier) et SCOLARIO Jules (Maçon) ;
1885 (23/08) de XXXXXXX X. Xxxxxxxx (47ans, natif Provence). Témoins MM. XXXXXXXX X (Xxxxxxxxxx) et XXXXXXXX Xxxxxx (Xxxxxxxxx) ; 1885 (26/08) xx XXXXXXX Xxxxx (26 mois).Témoins MM. XXXXXXXX Xxxxxx (Xxxxxxxxx) et XXXXX Xxxxx (Maçon) ;
1885 (12/09) de GRANDVEAUX née XXXXXXX Xxxxxxxx (51ans native Charente). Témoins MM. LEGRANDE P (Xxxxxxxxx) et AFFRE M (G-champêtre) ; 1885 (01/10) xx XXXXXX Xxxxx (19 ans native Vaucluse). Témoins MM. XXXX Xxxxx (Cultivateur) et XXXXXXXX Xxxxxxxx (Xxxxxxxxx) ;
1885 (07/10) xx XXXXX Xxxxxxxx (36ans, Terrassier, natif ITALIE). Témoins MM. XXXXXXX Xxxx et XXXXXXXXX Xxxxxx. 1885 (28/10) xx XXXXXXX Xxxxxxx (2 mois). Témoins MM. XXXXXXX Xxxxxxxxx et XXXXX X. Xxxxxxxx (Xxxxxxxxx) ;
1885 (22/11) xx XXXXXXXX Xxxxxxxx (23 ans natif ITALIE). Témoins MM. XXXXXXX Xxxxxxx et XXXXXXX Xxxxxx (Terrassiers) ; 1886 (06/03) de XXXXXX Xxxxxxx (40 ans, Charbonnier). Témoins MM. XXXXXXX Xxxx et XXXXX Xxxxxxxx (Xxxxxxxx) ; 1886 (02/04) de THIRIAT X. Xxxxxx (2 jours). Témoins MM. XXXXXXX X. Xxxxxxxx (Cultivateur) et XXXXXX Xxxx (X-xxxxxxxxx) ; 1886 (17/04) xx XXXX Xxxxxx (14 mois). Témoins MM. XXXXXXX Xxxxxxxxx (Gendarme) et XXXXX Xxxxx (Secrétaire) ; 1886 (23/04) xx XXXXXXX Xxxxxxx (2 heures). Témoins MM. XXXXXXX Xxxxxxx (Médecin) et XXXXX Xxxxx (Secrétaire) ; 1886 (10/05) de XXXXXXXX (42 ans, Italien). Témoins MM. XXXXX Xxxxxxxx (Gendarme) et XXXXXXX Xxxxxxx (Médecin) ; 1886 (12/05) xx XXXXXXXX Xxxxxxx (56 ans, Cultivateur natif Corrèze), décédé à l’hôpital AKBOU ;
1886 (23/07) de XXXXXX Xxxxxx (72 ans natif Isère). Témoins MM. XXXXX Xxxxx (Maçon) et XXXXXXX Xxxxxx (Cultivateur) ; 1886 (29/07) xx XXXXXX Xxxxxxxxx (9 ans). Témoins MM. XXXXXXX Xxxxxx (Cultivateur) et XXXXXXXX Xxxxx (G-forestier) ;
1886 (03/08) xx XXXXX Xxxxxxxxx (6 ans, native Alpes de Hte Provence). Témoins MM. XXXXXXXX Xxxxx et XXXXXXX Xxxxxx (Cultivateurs) ; 1886 (11/08) de THINARD (62 ans, maçon natif Creuse). Témoins MM. XXXXXXX Xxxxxxx et XXXXXX Xxxx (Tailleurs de pierres) ;
1886 (16/09) de LE-XXXXXXX Xxxxxx (7 mois). Témoins MM. XXXXX Xxxxxx (Docteur) et XXXXXX Xxxxx (Secrétaire) ;
1886 (12/10) xx XXXXXX Xxxxxxx (6 ans natif Vosges). Témoins MM. XXXXX Xxxxxx (Docteur) et XXXXXXXX Xxxx (Cultivateur) ;
1886 (14/10) de XXXXXXX X. Xxxxxxxx (21 mois native Vosges). Témoins MM. PIC Xavier (Cultivateur) et XXXXXXX Xxxxxx (Employé) ; 1886 (26/10) xx XXXXXX Xxxxxxx (51 ans, Garçon-café, natif Saône et Loire), décédé à l’hôpital de Fièvre palustre ;
1886 (31/10) xx XXXXXX Xxxxxx (4 ans native Xxx Xxxxxx). Témoins MM. XXXXX Xxxxxx (Docteur) et XXXXXXX Xxxxxx (Employé) ; 1886 (01/11) xx XXXXXXX Xxxxxxxx (6 mois). Témoins MM. XXXXXXXXX Xxxxx et XXXXXX Xxxx (Cultivateurs) ;
1886 (09/11) de XXXXXXX Xxxxxxxx (6 mois native Alger). Témoins MM. XXXX Xxxxxxxxx et XXXXX Xxxxx (Cultivateurs) ;
1886 (11/11) de XXXXXX Xxxxxx (4 ans natif Akbou-Algérie). Témoins MM. XXXXXX Xxxxx et VERT Xxxxx (Cultivateurs) ;
1886 (28/11) xx XXXXXX Xxxxx (52 ans native Vosges). Témoins MM. XXXXX Xxxxxx (Docteur) et XXXXXXX Xxxxx (X-xxxxxxxxx) ; 1886 (15/12) xx XXXXXX Xxxxxx (24 ans natif Gard). Témoins MM. XXXXXXX Xxxxxx (Employé) et XXXXX Xxxxx (Maçon) ; 1886 (31/12) de BROUSSE M. Xxxxxx (15 jours). Témoins MM. XXXXX Xxxxxx (Docteur) et XXXXXXXX Xxxxx (Secrétaire) ;
Années : | 1887 | 1888 | 1889 | 1890 | 1891 | 1892 | 1893 | 1894 | 1895 |
Décès : | 21 | 7 | 6 | 14 | 10 | abs | 8 | 10 | abs… |
Les MARIAGES relevés :
BENI-MANSOUR :
1865 : Registre manquant ;
1866 (19/04) X. XXXXXXX Xxxxxx (Cultivateur natif du Gard) avec Xxxx XXXX Xxxxxxxxx (XX xxxxxx x’Xxxxxx) ; 1867 à 1876 : Registres absents,
1877 (19/04) X. XXXXXX Memie (Employé natif de la Marne) avec Xxxx XXXXXXX Xxxxxxxxx (SP native du Jura) ;
MAILLOT :
1887 (18/06) xx XXXXXX Xxxxxxxx (G-forestier natif Charente) avec Xxxx XXXXX Xxxxxxx (SP native de Charente) ; 1889 (18/06) de PERDRIAUX X. Xxxxxxxx (Cultivateur natif Charente) avec Xxxx XXXXXX Xxxxx (XX xxxxxx xx Xxxxxxxx) ;
1889 (16/11) xx XXXXXXXXX Xxxxxxx (Cultivateur natif Corrèze) avec Xxxx XXXXXXXX X. Xxxxxx (SP native de Hte Garonne) ;
1889 (16/11) de DE-BIGAULT-DE-XXXXXXXX Xxxxxxx (Administrateur natif Alger) avec Xxxx XXXX Xxxxxxxxx (XX xxxxxx Xxxxx-Xxxxxxx) ; 0000 (00/00) xx XXXXXXXXX Emile (Employé natif Puy de Dôme) avec Xxxx XXXXXXX XXX XXXXXXX Xxxxx (XX xxxxxx Xxxxxx-Xxxxxxx) ; 1890 (22/05) xx XXXXXX Xxxxx (Cultivateur natif Hte Saône) avec Mlle XXXXXXXXX Xxxxx (SP native ESPAGNE) ;
1890 (21/06) xx XXXXXXXXXX Xxxxxxx (Forgeron natif Puy de Dôme) avec Xxxx XXXXXXX X. Xxxx (XX xxxxxx xx Xxxx) ;
1891 (18/04) xx XXXXXXXXX Xxxxx (Cultivateur natif Charente) avec Xxxx XXXXX Xxxxxxxx (XX xxxxxx Xxxxx xx Xxx Xxxxxxxx) ; 1892 (07/01) de (Veuf) XXXXX Xxxxxxx (Cantonnier natif Corrèze) avec Xxxx XXXXXXX Xxxxx (Ménagère native des Vosges) ; 1892 (05/03) de XXXXX Xxxx (Maçon natif Alger) avec Mlle PIC Xxxxx (Ménagère native du Vaucluse) ;
1893 (12/06) xx XXXXXXXX Xxxxx (Porteur contraintes natif Meuse) avec Mlle XXXXXXX Xxxxxx (SP native Hte Saône) ;
1893 (05/08) de XXXXXXX X. Xxxxxxxx (Cultivateur natif des Vosges) avec Mme (Vve) XXXXX Xxxxxxxxx (Ménagère native Vendée) ; 1894 (26/02) xx XXXXX Xxxxxx (G-forestier natif Deux Sèvres) avec Mlle XXXXX Xxxxxxxxxxxx (Cuisinière native Hte Garonne) ; 1894 (10/03) xx XXXXXXXX Xxxxxxxx (Employé CFA natif Htes Pyrénées) avec Mlle XXXXXX Xxxxx (SP native Hte Savoie) ;
1894 (18/06) de XXXXX Xxxxxxx (Boulanger natif Bougie-Algérie) avec Xxxx XXXXXXXXX Xxxxxx (SP native du Tlélat-Algérie) ;
Les NAISSANCES relevées :
(Profession du Père)
(1886) XXXXXXX Xxxx (Cultivateur) ; (1887) XXXXXXX Xxxxxx (Cultivateur) ; (1889) XXXXXXXX Xxxxxx (Cultivateur) ; (1889) XXXX Xxxxx (Employé) ; (1888) XXXXXX X. Xxxxxx (Cultivateur) ; (1889) XXXXXX Xxxxxx (Cultivateur) ; (1886) XXXXXXXX Xxxxxx (Débitant) ; (1889) XXXXXXXX Xxxxxxxxxx (Xxxxxxxxxx) ; (1889) XXXXXXX Xxxxxxxx (Maçon) ; (1886) XXXXXXX X. Xxxxxx (Entrepreneur) ; (1885) BUSTICO Xxxx (Xxxxx) ; (1887) XXXXXXXXX Xxxxxxxxxx (Cultivateur) ; (1888) CLOUVEL Xxxxxxx (G-champêtre) ; (1891) XXXXXXX Xxxxxx (Xxxxxxxxx) ; (1885) XXXXXXXX Xxxxx (Mineur) ; (1890) XXXXX Xxxxxxx (Briquetier) ; (1886) XXXXX Xxxxxx (Xxxxxxxxxx) ; (1891) DE-TONNAC-DE-XXXXXXXXXX Xxxxxxx (Administrateur) ; (1891) XXXXXX Xxxxxxx (Cultivateur) ; (1894) XXXXXX Xxxxxx (Xxxxxxxxx) ; (1889) XXXXXXX Xxxxxxx (Cultivateur) ; (1885)
XXXXXXX Xxxxx (Cultivateur) ; (1887) XXXXXXX Xxxxxxx (Cultivateur) ; (1891) XXXXXXX Xxxxxx (Cultivateur) ; (1891) XXXXXXX Xxxxxx (Cultivateur) ; (1887) XXXXXXX Xxxxxx (Cultivateur) ; (1886) XXXXXXXX Xxxxxx (Cultivateur) ; (1888) XXXXXXXX Xxxxxx (Cultivateur) ; (1885) XXXXXXX Xxxxxxx (Employé) ; (1894) XXXXXXXX Xxxxxxxxx (Gendarme) : (1887) XXXXX Xxxx (Xxxxxxxxxx) ; (1891) XXXXX Xxxxxx (Xxxxxxxxxx) ; (1894) HERAULT Xxxxxxxxxx (Cultivateur) ; (1890) XXXXX Xxxxxxxxx (Xxxxx) ; (1891) XXXXX Xxxxx (Maçon) ; (1894) XXXXXXX Xxxxxx (Cantonnier) ; (1891) XXXXXX Xxxx (Cultivateur) ; (1885) XXXX Xxxxxx (Négociant) ; (1886) XXXX Xxxxxx (Cultivateur) ; (1891) XXXXXXX DIT XXXXXXX Xxxxxxx (Cultivateur) ; (1891) LE-CLOANEC Xxxxxx (dcd) ; (1884) XXXX Xxxxxx (Cultivateur) ; (1894) XXXXXXX Xxxxx (Gendarme) ; (1886) MAILLOT Xxxxxx (Xxxxxxxxx) ; (1886) XXXXXXX Xxxxx (Xxxxxxxx) ; (1886) XXXXXX Xxxxxxxx (Cultivateur) ; (1885) XXXXXXXXXX Xxxxx (Chef chantier) ; (1888) XXXXXX Xxxx (Cultivateur) ; (1894) XXXXXXX Xxxxxx (Cultivateur) ; (1887) XXXXXX Xxxxxx (Peintre) ; (1889) XXXXXXXXX Xxxxxxx (Carrier) ; (1887) XXXXXXX Xxxxxx (Employé) ; (1889) XXXXXXX Xxxxxx (Employé) ; (1891) XXXXXX Xxxxxxxxxx (Cultivateur) ; (1890) XXXXX Xxxx (G-forestier) ; (1887) XXXX Xxxxx (Employé) ; (1885) XXXXX Xxxxxx (Négociant) ; (1888) XXXXXXX Xxxxxxxx (Cultivateur) ; (1891) PROT Paule (X-xxxxxxxxx) ; (1889) PROT Xxxx (X-xxxxxxxxx) ; (1885) XXXXX Xxxxxxxx (Maçon) ; (1888) XXXXX Xxxxx (Maçon) ; (1885) ROQUEMAURE Muraire (Cultivateur) ; (1894) XXXXXXX Xxxxxxxxxx (Cultivateur) ; (1885) XXXXXXX Xxxxxxx (Cultivateur) ; (1890) XXXXXXX Xxxx (Cultivateur) ; (1886) XXXXXXX Xxxxx (Employé) ; (1884) XXXX Xxxxxxx (Cultivateur) ; (1890) XXXX Xxxxxxxxx (Cultivateur) ; (1891) XXXX Xxxxxx (Cultivateur) ; (1889) XXXX Xxxxx (Cultivateur) ; (1887) XXXXXXXX Xxxxx (Cultivateur) ; (1885) XXXXXXXXX Xxxxxxxx (Mineur) ; (1886) XXXXXXX Xxxxxxxx (Cultivateur) ; (1886) THIRIAT X. Xxxxxx (Cultivateur) ; (1886) XXXXXXX Xxxxxxx (Cultivateur) ;
NDLR : Beaucoup de registres n’ont pas été mis en lignes par le site Anom.
Si l’un des vôtres n’est malheureusement pas mentionné, je vous recommande de procéder comme suit :
-Après avoir accédé à google vous devez alors inscrire anom algérie, (vérifiez que vous êtes bien sur Algérie)
-dès lors que vous êtes sur le site anom vous devez sélectionner MAILLOT sur la bande défilante.
-Dès que le portail MAILLOT est ouvert, mentionnez le nom de la personne recherchée sous réserve que la naissance, le mariage ou le décès soit survenu avant 1905.
DEMOGRAPHIE - Sources : DIARESSAADA et GALLICA -
Année 1892 = 248 habitants dont 230 européens ;
Année 1902 = 368 habitants dont 256 européens ;
Année 1954 = 12 940 habitants dont 207 européens ;
Année 1960 = 13 807 habitants dont 155 européens ;
En 1956 le conseil municipal de la commune mixte de MAILLOT était composé comme suit :
- Administrateur : X. XXXXXXXXXX Xxxxxx ;
- Président : X. XXXXX Xxxxxxx ;
- X. XXXXXXX Xxx (Bachagha) ;
- X. XXXXXX Xxxxxxx (Bachagha)
- Membres du conseil par ordre alphabétique :
MM. XXXXX Xxxxxxx ; XXXXXX Xxxx (Ouakour) ; XXXXXXXX Xxxxx (Caïd) ; XXX-XXXX Xxxxxxxxxx (Caïd) ; CAMPS-
XXXXXXX Xxxxxxxxx ; XXXXXXX Xxxxxx (Xxxx) ; XXXXXXX-XXXXXX Xxxxx (Xxxx) ; XXXXXXX Xxxxxxx (Xxxx) ; XXXXXXX Xxxxxxx xxx Xxx ; XXXXXX Xxxxxxx ; XXXXXXX Xxxxxx ; XXXXXXX Xxxxxxx ; XXXXXXX Xxxxxxx.
La commune de MAILLOT est rattachée, en 1956, au nouveau département de la Grande Kabylie.
DEPARTEMENT
Le département de TIZI-OUZOU fut un département français d'Algérie entre 1957 et 1962 avec l’index 9L.
Considérée depuis le 4 mars 1848 comme partie intégrante du territoire français, l'Algérie fut organisée administrativement de la même manière que la métropole. C'est ainsi que pendant une centaine d'années, la ville de TIZI-OUZOU fut une sous-préfecture du département d'Alger, et ce jusqu'au 28 juin 1956. A cette date ledit département fut divisé en quatre parties, afin de répondre à l'accroissement important de la population algérienne au cours des années écoulées.
L'ancien département d'Alger fut dissous le 20 mai 1957 et ses quatre parties furent transformées en départements de plein droit. Le département de TIZI-OUZOU fut donc créé à cette date, et couvrait une superficie de 5 806 km² sur laquelle résidaient 800 892 habitants et possédait six sous-préfectures, AZAZGA, BORDJ MENAÏEL, BOUÏRA, DRAÂ- EL-MIZAN, FORT-NATIONAL et PALESTRO.
L’Arrondissement de BOUÏRA comprenait 10 localités :
AHL-EL-KSAR ; AÏN-TURCK ; BEZZIT ; BOUÏRA ; CHEURFA ; EL-ADJIBA ; EL-ESNAM ; IRHOAT ; MAILLOT ; ZERIBA.
MONUMENT AUX MORTS - Source : Mémorial GEN WEB -
Le relevé n° 54341 mentionne les noms de 192 Soldats « Morts pour la France » au titre de la Guerre 1914/1918 ; savoir :
En rouge les natifs du lieu.
XXXXXXX Xxxxxxx (Mort en 1918) ; XXXXX Xxxxxxxx (1914) ; XXXXX Xxxxx (1915) ; XXXXX Xxxxx (dit Yahia) (1918) ; XXXXX Xxxx (1916) ; XXXXXXXXX Xxxxxxxxx (1914) ; XXXXXXXXXXXX Xxx Xxxx Xxx Xxxxxxx (1917) ; XXXX Xxxxx (1918) ; XXXX Xxxx (1914) ; XXXXX Xxxx (1915) ; XXXXX Xxxx (1915) ; XXXXX Xxxx (1918) ; XXXXXXXX Xxxxxxxx (1915) ; XXXXXXXX Xxxx Xx Xxxxx (1915) ; XXXX Xxxxxxxx (1918) ; XXXX Xxxx (1919) ; XXXXXXXX Xxxxx (1914) ; XXXXXXXX Xxxxxx (1918) ; XXXXXX Xxxxxxx (1916) ; XXXXX Xxxxxx (1918) ; XXXXX Xxxxx (1918) ; AMICHE OU XXXXXXX Xxxxx (1915) ; XXXXXX Xxxxxxxx (1918) ; XXXXXX Xxxxxxx (1914) ; XXXXXXX Xxxxxxxx
(1915) ; XXXXXXX Xxxxxxx (1918) ; XXXXXX Xxxxxxxx (1915) ; XXXXXXX Xxxxxxx (1918) ; XXXXXX Xxxxxx (1917) ; XXXXXX Xxxx (1916) ; XXXXXXX Xxxxxxxxx (1916) ; XXXX Xxxx (1917) ; XXXXXX Xxxxxx (1918) ; XXXXXX Xxxxx (1916) ; XXXXXX Xxxxxxxx (1914) ; XXXXXX Xxxxxxx (1915) ; XXXXXX Xxxxxxxx (1917) ; XXXX Xxxxxxxx (1914) ; XXXXXXXX Xxxxx (1914) ; XXXXXXXX Xxxxx (1918) ; XXXXXXXXX Xxxxxxxx (1916) ; XXXXXXXXX Xxxxxxxx (1914) ; XXXXXXXXX Xxxxxxxx (1918) ; XXXXXXX Xxxxxx (1918) ; XXXXXXX Xxxxxxx (1914) ; XXXXXXXX Xxxxxxxx (1915) ; XXXXXXX Xxx (1916) ; BOUAÏTA Belkacem (1917) ; XXXXXXX Xxxxxxx (1915) ; XXXXXXXXX Xxxx (1918) ; XXXXXXXXX Xxxxx (1914) ; XXXXXXXXX Xxxxxxx (1918) ; XXXXXXXXXXXX Xxxx (1917) ; XXXXXXX Xxxx (1914) ; XXXXXXXX Xxxxxx (1917) ; XXXXXXX Xxxx (1915) ; XXXXXXX Xxxxx (1918) ; XXXXXXX Xxxxxx (1914) ; XXXXXXXXXX Xxxxxx (1915) ; XXXXXXXXX Xxxxx (1916) ; XXXXXX Xxxxxx (1915) ; XXXXXXXXX Xxxxxxx (1917) ; XXXXXX Xxx Xxxxxxxx (1918) ; XXXXXX Xxxx (1915) ; CHAA
Xxxxxxxx (1914) ; XXXXXX Xxxxxxxx (1918) ; XXXXXX Xxxxx (1915) ; XXXXXXX Xxxxxxxx (1914) ; XXXXXXXX Xxxxxxx (1915) ; XXXXXXX Xxxx (1914) ; XXXXXX Xxxxxxx (1918) ; XXXXXXXX Xxxxx (1916) ; XXXXXXXX Xxxxx (1916) ; XXXXXXXXX Xxx (1914) ; XXXXXXX Xxxxx (1914) ; XXXXXXXX Xxxxx (1915) ; XXXXX Xxxxxxxx (1916) ; XXXXXXX Xxxxxxxx (1918) ; XXXXXXX Xxxxxxxx (1916) ; XXXXXXX Xxxxxxx (1914) ; XXXXX Xxxxx (1914) ; XXXXX Xxxxxxxxx (1915) ; XXXXX Xxxx (1918) ; XXXXXX Xxxxxxx (1915) ; XXXXXXXXX Xxxxxxxx (1916) ; XXXXXXX Xxxxxxxx (1915) ; XXXXXX Xxxxx (1916) ; XXXXXXX Xxxxx (1914) ; XXXXXX Xxxxxx (1918) ; XXXXXXX Xxxxxxx (1916) ; XXXXX Xxxxx (1918) ; XXXXXX Xxxxx (1916) ; XXXXXX Xxxxx (1918) ; XXXXXX Xxxxx (1918) ; XXXXXXX Xxxxxx (1918)
XXXXXX Xxxxxxx (1916) ; XXXXXX Xxxxxxxx (1918) ; XXXXXXX Xxxxxxx (1917) ; XXXXXXX Xxxxxxxx (1917) ; XXXXXX Xxxxxxxx (1914) ; XXXXXX Xxxxxxx (1915) ; XXXXXXX Xxxxxxxx (1914) ; XXXXXXX Xxxx (1918) ; XXXXXXXXXX Xxxxxxxxxx (1916) ; XXXXXXXXXX Xxxxxxx (1916) ; XXXXXXX Xxxxxxxx (1914) ; XXXXXXXX Xxxxx (1914) ; XXXXX Xxxxxx (1918) ; XXXXXXX Xxxxxxx (1916) ; XXXXXXX Xxxxxxx (1918) ; XXXXXX Xxxx (1914) ; XXXXXX Xxxx (1916) ; XXXXXXXXXX Xxxxx (1917) ; XXXXX Xxxxx (1916) ; XXXXXXXX Xxxxx (1916) ; XXXXXXX Xxxxxxx (1915) ; XXXXXX Xxxxx (1918) ; XXXXX Xxxxxxxx (1918) ; XXXXXXX Xxxxx (1918) ; XXXXXXX Xxxxxxxxx (1916) ; XXXXXXXX Xxx Xxxxxxx (1914) ; XXXXXXXX Xxxxx (1918) ; XXXXXXXX Xxx (1918) ; XXXXXX Xxxx (1917) ; XXXXXX Xxxxx (1915) ; XXXXXX Xxxxx (1918) ; LADDI Diouani (1914) ; XXXXX Xxxxxxxx (1914) ; XXXXXXXX Xxxxxxx (1915) ; XXXXXXX Xxxxxx (1918) ; XXXXX Xxx Xxxxxxxx (1916) ; XXXXX Xxxxx (1917) ; XXXXXX Xxxxx (1918) ; XXXXX Xxxxx (1915) ; M'XXXXXX Xxx Xxx Xxxx (1915) ; XXXXXXX Xxxxxxx (1917) ;
XXXXXX Xxxxxxxx (1915) ; XXXXXXX Xxxxxxx (1915) ; XXXXXXX Xxxxxxxxx (1915) ; XXXXXXX Xxxxxxxx (1916) ; XXXXXXX Xxxx (1916) ; MECHENANE Messaoud (1917) ; XXXXXX Xxxxxxxx (1918) ; MEKAOUCHE Xxxxx (1917) ; XXXXXXXX Xxxxxxxx (1915) ; XXXXXX Xxxxxxxx (1917) ; XXXXXXXX Xxxxxxx (1914) ; XXXXXXX Xxx (1914) ; XXXXXXX Xxx (1916) ; XXXXXXX Xxxxxxxx (1917) ; MIDOUM
Meddour (1914) ; XXXXXXX Xxx Xxxxx (1916) ; XXXXXXXX Xxx Xxxxxxxxx (1916) ; XXXXXXX Xxxx (1918) ; XXXXXX Xxxxxxxxx (1917) ; XXXXX Xxxx (1918) ; XXXXX Xxxxxx (1914) ; XXXXXX Xxxxxxxx (1919) ; XXXXXX Xxxxxxxxx (1917) ; XXXXXX Xxxxx (1918) ; XXXXX Xxxxx (1915) ; XXXXX Xxx (1914) ; XXXXX Xxxx (1914) ; XXXXXX Xxxxxx (1915) ; XXXXXXX Xxxxx (1914) ; XXXXXXX Xxxxx (1916) ; XXXXXX Xxxx (1917) ; XXXXXXX Xxxxxxxx (1918) ; XXXXXXX Xxxx (1917) ; XXXXX Xxxxx (1914) ; XXXXXXXX Xxxxxx (1917) ; XXXX Xxxxxx (1914) ; XXXX Xxxxxxxx (1918) ; XXXXXXX Xxxxx (1915) ; XXXX Xxx Xxxxx (1916) ; XXXXX Xxxxxxx (1918) ; XXXXX Xxxxx (1918) ; XXXXXX Xxxx (1914) ; XXXXXXXX Xxxxx (1916) ; XXXXX Xxxxxxx (1914) ; XXXX Xxxxxxx (1918) ; XXXXX Xxxxxxx (1914) ; XXXXX Xxxxxxxx (1918) ; TRIBECHE Xxxxx (1917) ; TRIBECHE Djerbaoun (1914) ; TRIBECHE Rabah (1914) ; XXXXXX Xxxxxxxx (1918) ; XXXXX Xxxxxx (1916), XXXXX Xxxxxxxxx (1918) ; XXXXX Xxxxxx (1918) ; XXXXXX Xxxx (1915) ; XXXXXXX Xxxx (1919) .
Nous n’oublions pas nos valeureux soldats victimes de leurs devoirs à MAILLOT ou dans ce secteur :
Sous-lieutenant (19e RC) XXXXXXX Xxxxxx (22 ans), mort des suites de blessures le 22 février 1957 ; Brigadier (50e RA) XXXXX Xxxxxxx (21 ans), tué à l’ennemi le 20 avril 1957 ;
Chef de Bataillon (9e RCP) XXXXX Xxxx (46 ans), mort des suites de blessures le 28 janvier 1958 ; Soldat (9e Zouave) XXXXX Xxxxxx (22 ans), enlevé et disparu le 30 mai 1956 ;
Xxxxxxxxx (50e RA) XXXXXXXXX Xxxx (21 ans), tué à l’ennemi le 2 octobre 1959 ;
Xxxxxxxxx (50e RA) XXXXXXX Xxxxxx (21 ans), mort accidentellement en service le 20 novembre 1958 ; Brigadier (?) XXXXXXXXXX Xxxxxx (21 ans), tué à l’ennemi le 17 mai1961 ;
Soldat (50e RA) XXXXXXXXX Xxxxxx (23 ans), enlevé et disparu le 7 mars 1957 ;
Maréchal-des-logis (6e RH) XXXXXXXXXXX Xxxxxxx (24 ans), mort des suites de blessures le 31 juillet 1959 ; Chasseur (19e RCC) XXXXXXXXX Xxxxx (20 ans), tué à l’ennemi le 11 mars 1961 ;
Hussard (7e RH) XXXXXXXXXXXX Xxxx (22 ans), tué à l’ennemi le 6 septembre 1957 :
Xxxxxxxx-Xxxxxxxxxxxx (6e RPIMa) DE-XXXXX Xxxxx (19 ans), tué à l’ennemi l 13 octobre 1959 ; Lieutenant (ABC) DE-FOURNOUX-LA-XXXXX Xxxxxxx (26 ans), tué à l’ennemi le 8 janvier 1958 ; Brigadier-chef (50e RA) XXXXXXXXXXX Xxxxxx (21 ans), mort des suites de blessures le 14 janvier 1959 ; Sous-lieutenant (7e RH) XXXXX Xxxxxx (22 ans), mort des suites de blessures le 4 juillet 1957 ;
Sergent (2e RI) XXXXXXX Xxxxxx (22 ans), mort des suites de blessures 31 janvier 1957 ; Lieutenant (50e RA) XXXXXXXXX Xxxxx (24 ans), tué à l’ennemi le 2 octobre 1959 ; Adjudant-chef (50e RA) LE-COCHENNEC X. Xxxxx (41 ans), tué à l’ennemi le 8 janvier 1958 ; Sergent-pilote (27e DIA) XXXXXXXX Xxxxxxx (24 ans), tué à l’ennemi le 20 mai 1958 ; Brigadier (50e RA) XXXXXXX Xxxxxx (21 ans), tué à l’ennemi le 4 juin 1959 ;
Dragon (2e RD) XXXXXX Xxxxxx (24 ans), mort accidentellement en service le 30 juillet 1959 Soldat (2e RI) XXXXXXXX Xxxxxxx (21 ans), mort des suites de blessures le 7 décembre 1956 ; Maréchal-des-logis (50e RA) XXXXXXX Xxxxx (23 ans), tué à l’ennemi le 25 février 1960 ; Artilleur (50e RA) XXXXXXX Xxxxxx (21 ans), tué à l’ennemi le 2 octobre 1959 ;
Lieutenant (6e BCA) XXXXXXXXX Xxxxxxx (23 ans), mort des suites de blessures le 10 février 1959 ; Soldat (?) XXXXXXXX Xxxxxx (23 ans), mort accidentellement en service le 27 juin 1956 ;
Soldat (9e Zouave) XXXXXX Xxxxxx (22 ans), enlevé et disparu le 30 mai 1956 ; Maréchal-des-Logis (7e RH) XXXXX Xxxxx (22 ans), tué à l’ennemi le 30 mai 1958
Campement du 50ème R.A à l’Oued Brahim
-Nous pensons également à nos malheureux compatriotes victimes innocentes d’un terrorisme aveugle mais aussi cruel à MAILLOT et dans sa région pendant nos événements :
X. XXXX Xxxxxx (52 ans), enlevé et disparu le 10 avril 1957 ;
X. XXXXXXXX Xxxx (27 ans), assassiné le 26 mars 1956 ;
EPILOGUE M’CHEDALLAH
De nos jours (recensement 2008) = 24 406 habitants.
LA GARE de MAILLOT - Quiétude fantomatique
Auteure : Xxxxx XXXXXX – Source : Journal EL-WATAN du 3 août 2008.
Extrait : « Cette gare historique, construite aux environs de 1870, a connu son plein essor durant la période de l’occupation française. Cela en raison de l’implantation de centaines de colons établis dans les vastes plaines de M’Chedallah, et dont les récoltes sont acheminées – à partir de cette gare – jusqu’aux ports d’ALGER et de BOUGIE pour être embarquées à destination des pays d’Europe de la rive nord de la Méditerranée tels, la France, l’Espagne, et l’Italie…etc. Ce qui s’ajoute aux centaines de voyageurs utilisant ce moyen (le train) quotidiennement.
« Aujourd’hui, mis à part le passage des trains, rien ne vient troubler la quiétude fantomatique de cette gare qui offre un piètre visage ainsi qu’une dégradation assez avancée de son infrastructure et de ses équipements. La bâtisse plus que centenaire ne tient debout que par miracle ; car, n’ayant bénéficié d’aucune rénovation, elle ressemble à s’y méprendre, à une station ferroviaire du Far-West. Il ne manque au décor que les chevaux, les chariots et les cow-boys, comme pour ajouter une note funeste au lugubre panorama de l’endroit.
« La suppression de l’arrêt de MAILLOT-gare pénalise l’une des daïras, la plus peuplée, de la wilaya de BOUIRA, ainsi que les romantiques et les nostalgiques d’un voyage en train comme au bon vieux temps. Cette gare revient dans tous les récits de l’ancienne génération et constitue un pan important de la mémoire collective. Il fût une époque où cette gare était l’unique moyen de locomotion et de déplacement pour la population, les contingents d’indigènes de la commune mixte de MAILLOT mobilisés pour participer à la 1ère et la 2ème Guerres mondiales ont été acheminés à partir de cette gare, soit vers CONSTANTINE ou ALGER pour partir au front libérer la France.
« C’est enfin au niveau de la gare MAILLOT que sont descendus, drapeau à la main, en 1962, les moudjahidines de la région qui revenaient des frontières notamment tunisiennes. MAILLOT-gare est donc l’un des plus anciens vestiges de l’Algérie colonisée, elle mérite un tout un autre sort que celui de l’abandon et la désertion ».
SYNTHESE réalisée grâce aux Auteurs précités et aux Sites ci-dessous :
xxxx://xxxxxxxxxxxx-xxx.xxx/Xxxxxxx_-_Xxxxx xxxxx://xx.xxxxxxxxx.xxx/xxxxx.xxx?xxxxxxXxx%X0%X0xxx xxxxx://xxx.xxxxxx.xx/xxx/xxx_0000-0000_0000_xxx_0_00_00000
xxxx://xxx.xxxxxx.xx/xxx/xxxxxx/xxxx/xxxxxxxxx/xxxxxxx/xxxxx_0000-0000_0000_xxx_00_000_0000 xxxxx://xxx.xxxxxx.xx/xxx/xxxxx_0000-0000_0000_xxx_00_000_0000
xxxxx://xxxxxxxxxx-xxxxxxxxx.xxxx0xxxx.xxx/xxxxxxxx-xx-x-xxxxxxxxx-xx-xxxxxxx xxxx://xxxx.xx/xxxxx/xxxxxxx/xxxxx/xxxxxxxx/xxxxx/Xxxx_Xxxxxxx/xxxxx%X0%XXxx_xxxxxxx_0_XXX_000000.xxx xxxxx://xxxxxxx.xxx.xx/xxx:/00000/xxx0x0000000x/x0x000.xxx
xxxxx://xxx.xxxxxx.xx/xxx/xxxxx_0000-0000_0000_xxx_00_000_0000 xxxx://xxxxxxxxxxx.xxxxx.xxxx.xx/x-xxx_xxxxxx-xxxxxxxx/Xxxxxxxxxx/Xxxxxxxx/Xxxxxxxx.xxxx xxxx://xxx.xxxxxxxx.xx/Xxxxxxx-0000/
Notre église banalisée…
BONNE JOURNEE A TOUS