Contrat d'exploitation d'installation de chauffage et climatisation
Contrat d'exploitation d'installation de chauffage et climatisation
Le contrat de chauffage
L’exploitation des installations de chauffage comprend les prestations suivantes :
- P1 = fourniture de combustible
- P2 = conduite de l’installation et travaux de petit entretien
- P3 = gros entretien et renouvellement des matériels P1 = L’approvisionnement et la gestion du combustible
P2 = Par conduite de l’installation et petit entretien, il convient d’entendre la conduite, la surveillance, le réglage, l’entretien courant, les menues réparations et petites fournitures.
P3 = La prestation de gros entretien et de renouvellement des matériels couvre les réparations et le remplacement, à l’identique ou à fonction identique, de tous les matériels déficients dont la liste a été arrêtée contractuellement, de façon à maintenir l’installation en bon état de marche continu.
Cette prestation ne peut être assurée qu’associée à la prestation de conduite de l’installation et du petit entretien des matériels, avec le même prestataire et pour la même durée.
Obligation Réglementaire
Les installations de chauffage doivent satisfaire diverses obligations réglementaires de contrôle, de surveillance et d’inspection notamment au titre de la sécurité des installations, des appareils à pression, des économies d’énergie et de l’amélioration de l’efficacité énergétique, de la protection de l’environnement et des installations classées.
Par exemple, aux termes des dispositions du décret n° 98-817 du 11 septembre 1998 relatif aux rendements minimaux et à l’équipement des chaudières de puissance comprise entre 400 KW et 50 MW, l’exploitant doit s’assurer périodiquement que le rendement caractéristique de la chaudière respecte certaines valeurs minimales.
=> La maintenance est donc une obligation réglementaire qui, au delà de l'aspect sécurité, permet de s'assurer d'un rendement minimum garanti de l'installation.
Maintenance P2 = Prestation Minimale
=> Une installation entretenue permettra de meilleures performances.
maintenance ensemble de toutes les actions destinées à maintenir ou à rétablir un équipement dans un état dans lequel il peut accomplir la fonction requise
maintenance préventive maintenance exécutée à des intervalles prédéterminés ou selon des critères prescrits et destinés à réduire la probabilité de défaillance ou la dégradation du fonctionnement d’un équipement, elle comprend :
maintenance conditionnelle maintenance préventive basée sur une surveillance du fonctionnement des paramètres significatifs de ce fonctionnement et intégrant les actions qui en découlent
maintenance prévisionnelle maintenance conditionnelle exécutée en suivant les prévisions extrapolées de l’analyse et de l’évaluation de paramètres significatifs de la dégradation de l'équipement
maintenance systématique maintenance préventive exécutée à des intervalles de temps préétablis ou selon un nombre défini d'unités d'usage mais sans contrôle préalable de l'état de l'équipement
maintenance corrective maintenance exécutée après détection d’une panne et destinée à remettre un équipement dans un état dans lequel il peut accomplir une fonction requise
Niveau de prestations à définir
L'annexe 2 du guide OEAP (Guide de rédaction des clauses techniques des marchés publics d’exploitation de chauffage avec ou sans gros entretien des matériels et avec obligation de résultat) énumère les prestations susceptibles d'être exécutées au titre du prix P2.
Par ailleurs, le niveau de prestation souhaité doit être détaillé : par exemple désinfection annuelle de l'adoucisseur et du ballon d'eau chaude sanitaire inclus dans le cahier des charges.
Le prix P2 couvre non seulement la conduite, la surveillance, le réglage, le nettoyage, l’entretien courant et les menus réparations des différents matériels, mais aussi le remplacement des petites fournitures.
Pièce de rechange et petites fournitures :
Il est recommandé à la personne publique de prévoir dans le cahier des charges le prix unitaire en-deçà duquel les fournitures sont considérées comme petites, et prises en charge par le prestataire au titre de la rémunération P2, par exemple 100 €HT (entre 75 et 150 €HT)
Inventaire des installations prises en charge :
Il convient de lister précisément les équipements pris en charge (production et/ou réseaux) pour éviter toute confusion avec l'exploitant (sous-chiffrage du contrat, discussion pour la prise en charge de telle ou telle panne)
Les installations de chauffage dont l’exploitation est assurée comprennent tout ou partie des équipements suivants :
équipements en chaufferies et/ou sous-stations, réseaux de distribution intérieure,
installations de traitement d’eau des réseaux de chauffage et d’ECS, émetteurs de chaleur,
organes de réglage et de régulation,
éventuellement, installations d’eau chaude sanitaire et/ou d’autres fluides (production, distribution et point de puisage).
Le principal écueil concerne les réseaux : avec ou sans réseaux enterrés et non accessibles.
Maintenance P3 : Gros entretien et renouvellement des matériels (GER)
La prestation de gros entretien et renouvellement couvre les réparations et le remplacement, à l’identique ou à fonction identique, de tous les matériels déficients dont la liste a été arrêtée contractuellement, de façon à maintenir l’installation en bon état de marche continu. Il est également rappelé que cette prestation ne peut être assurée qu’associée à la prestation de conduite de l’installation et du petit entretien des matériels, avec le même prestataire et pour la même durée.
Cette prestation de gros entretien et renouvellement est désignée dans le cadre de la loi n°74-908 du 29 octobre 1974 par l’expression « garantie totale ». Il appartient à la personne publique de définir le périmètre effectif et les modalités de mise en oeuvre de cette garantie, et à en détailler les limites et les exclusions.
Le périmètre de l’installation couvert par la prestation de gros entretien et renouvellement des matériels ne peut pas être supérieur à celui qui fait l’objet des prestations de conduite et de petit entretien des matériels. En effet, le prestataire de GER s’engageant à remplacer, à ses frais, tout équipement ou partie d’équipement défaillant, pendant la durée du contrat, par un équipement offrant une performance au moins équivalente et répondant à la réglementation en vigueur, il est indispensable qu’il soit responsable de la conduite et du petit entretien de ces équipements.
Ce type de marché ne concerne pas toutefois les travaux de refonte très importants tels, par exemple, la réfection complète d’une chaufferie, qui doit faire l’objet d’un autre marché public à l’issue d’une mise en concurrence spécifique.
=> Il convient de réaliser un inventaire exhaustif des équipements couverts par la garantie P3 afin d'obtenir un chiffrage de la prestation cohérent. Dans le cas contraire, l'exploitant va couvrir son risque en prenant une marge liée à l'incertitude.
Par exemple : durée de vie d'une chaudière = 20 ans, Ballon ECS = 15 ans.
Le montant du P3 dépend du périmètre concerné, de l'âge de l'installation et de la durée du contrat. Principe du P3 Transparent :
Pour chaque opération de travaux, le Titulaire valorise l'intervention avec le coût horaire et la coef appliqué sur le matériel défini dans le BPU.
Le Titulaire réalise un bilan annuel récapitulant l'ensemble des interventions pour déterminer la position du compte P3.
Répartition du solde :
6 mois avant l'échéance du contrat, il convient de faire un bilan de la situation du compte P3 :
si le solde est négatif, la personne publique ne versera pas de dédommagement, le Titulaire a mal évalué son risque, cela fait partie des aléas de cette « assurance ».
si le solde est positif, le Titulaire reversera ce solde à la personne publique au terme du marché, ou bien il peut être décidé, d'un commun accord, d'investir ce montant dans la réfection d'une installation veillissante.
Le P3 permet de remettre à niveau des installations avec un investissement lissé et maîtrisé (prévision budgétaire).
P1 – Gestion de l’énergie
Les types de marché de gestion de l'énergie sont les suivants:
Marché à Forfait ou MF;
Marché à Température extérieure ou MT; Marché à Comptage ou MC;
Marché Combustible et prestation ou CP; Marché Prestation et Forfait ou PF.
MF = l'énergie est réglée à prix forfaitaire, indexé au coût du combustible et indépendamment des conditions climatiques.
Avantage = simplicité, budget prévisible
Inconvénient = opaque / conso réelle, si hiver doux pénalisant financièrement, durée longue Préalable = Bien déterminer son vrai niveau de consommation avant la consultation
MT = l'énergie est réglée à prix forfaitaire, indexé au coût du combustible et corrigé des conditions climatiques mesurées en Degré Jour Unifié (DJU)
Avantage = simplicité et non soumis aux fluctuations de rigueur climatique à la différence du MF Inconvénient = opaque / conso réelle.
Préalable = Bien déterminer son vrai niveau de consommation avant la consultation
MC = l'énergie est facturée en fonction du nombre de MWh mesuré en sortie des générateurs. Le prix unitaire est contractualisé et tient compte du rendement de l'installation de production.
Avantage = on ne paye que ce qu'on consomme
Inconvénient = coût d'installation et d'entretien des compteurs d'énergie
Préalable = Surveillance annuelle des consos en entrée chaufferie pour vérifier le rendement chaufferie et des températures ambiantes.
CP = le combustible est vendu en régie sur présentation des bordereaux de livraison (pour les combustibles stockables tels que le fioul domestique).
Avantage = Approprié lorsque l'utilisation d'un site est difficilement prévisible – souplesse Inconvénient = pas de prévision
PF = l'énergie est fournie par le maître d'ouvrage. Le prestataire en assure l'utilisation.
Avantage = la personne publique connaît parfaitement ses consommations + pas de marge sur l'énergie. Inconvénient = réalisation des consultations et commandes pour l'approvisionnement,
Préalable = nécessite de suivre les consommations pour détecter les dérives ainsi que les T° intérieures.
Marché Gaz dérégulé
Dans le cas d'un P1, préciser explicitement si le Titulaire peut utiliser le marché dérégulé du gaz.
Les différents types de contrat P1 sont décrits dans le guide de l'OEAP.
Je vais détailler ici le MC & le MCI afin d'expliciter le fonctionnement de l'intéressement.
Marché Compteur (MC)
Le marché à comptage est un marché dont la consommation de combustible est facturé en fonction de la quantité de chaleur fournie et mesurée par comptage en sortie de chaufferie.
La fourniture du combustible nécessaire à la réalisation de ses obligations contractuelles est à la charge du titulaire.
Le principe de ce contrat est que le titulaire facture au bâtiment toute l’énergie consommée par le site en se basant sur le compteur d’énergie situé en sortie de chaufferie.
Le rendement de la chaufferie est du ressort du Titulaire qui a intérêt à avoir le meilleur rendement possible en chaufferie pour réaliser sa marge. Il dispose d'un engagement de T° au niveau du réseau de distribution, par contre il n'est pas inciter à obtenir le meilleur rendement de celui-ci (équilibrage, embouage,...)
Marché Compteur à Intéressement (MCI)
Il s’agit du marché MCI qui est conforme au marché de type MC et comprend pour le chauffage une clause d'intéressement, prévoyant le partage des économies ou des excès de consommation de combustible, par rapport à une consommation de base définie pour un hiver moyen.
Ces marchés incitent particulièrement les deux parties à économiser l’énergie : la personne publique par des actes de gestion et de maîtrise de ses consommations énergétiques (en n'exigeant pas 22°C), et le titulaire en veillant au maintien de l’optimisation énergétique de l’installation.
Les marchés de type MCI ne doivent être retenus que si le programme de chauffage peut être établi préalablement avec précision, et pour ce faire il est nécessaire de prédéterminer :
- la consommation de base pour un hiver moyen,
- la quantité de chaleur q, nécessaire, pendant la période de chauffage, pour préparer et maintenir en température un mètre cube d'eau chaude sanitaire,
- les modalités de calcul de l'intéressement.
- La désignation des stations météos auxquelles sont rattachées les sites objet du marché (Station Montpellier Fréjorgues)
Concrètement le principe est le suivant :
L'établissement doit être chauffé à 19°C +/-1°C, conformément au code de la construction et de l’habitat.
NC = Chaque mois, le titulaire facture la consommation d’énergie mesurée via le compteur en sortie de chaufferie, cela correspond au NC (nombre comptage).
Facture d’intéressement = au terme d’une saison de chauffe, un bilan des consommations est réalisé afin de déterminer s’il y a eu une bonne maîtrise énergétique.
DJU = Pour un hiver classique, la rigueur climatique est par exemple de 1560 DJU (Degré Jours Unifiés). Il s’agit d’une moyenne sur 30 ans pour l'agglomération de Montpellier pour des bâtiments scolaires. Le degré jour représente l’écart entre la température extérieure et une température de référence, 18°C dans notre cas. Lorsque la température moyenne d’un jour est supérieur à 18°C, l’écart est compté nul. Par contre s’il fait 15°C, le degré jour sera égal à 3°C. Cela permet de déterminer si un hiver est plus ou moins froid.
NB = Donc en fonction des caractéristiques constructives d’un bâtiment, de la consigne de température à 19°C et pour un hiver classique de 1560 DJU, il est établi une consommation d’énergie de base, cela correspond au NB (nombre de base). Exemple = 350 MWh
N’B = A la fin de chaque saison, on détermine la consommation théorique de ce bâtiment en prenant en compte la vrai rigueur climatique de l’hiver qui vient de se terminer. Exemple = 1400 DJU, on calcule alors : 350 x 1400 / 1560 = 314 MWh.
Cela correspond au N’B = la consommation théorique du bâtiment pour la saison écoulée. On compare alors la consommation théorique N’B à la consommation réelle NC.
(D) Si NC est supérieur à N’B, cela signifie qu’il y a sur-consommation par rapport à la théorie.
Le titulaire n’a probablement pas suffisamment régulé l’installation ce qui a pu conduire à une surchauffe de l’établissement. Le titulaire va donc rembourser à l’établissement la totalité de la sur-consommation.
Clairement l’avantage du contrat MCI est qu’il existe une limite supérieure de consommation ET de facturation, cela apporte des garanties en terme de préparation budgétaire.
Si NC est inférieur à N’B, cela signifie qu’il y a sous-consommation par rapport à la théorie.
Cela provient de la gestion et de la maîtrise de l’énergie à la fois de la part du titulaire (par la conduite et le réglage des installations) et de la part de l’établissement (par une maîtrise des besoins). Il y a donc un partage des économies entre le titulaire et l’établissement. L’économie correspond à la non consommation par rapport à ce qui était prévu (N’B – NC).
Pour mémoire, chaque mois l'établissement a payé ce qu’il a réellement consommé, donc moins que ce qui était prévu initialement. L'établissement va donc rétribuer le titulaire pour sa contribution à la réalisation des économies. La répartition se fait de la façon suivante :
(C ) Jusqu’à 4% d’économie il y a neutralisation, cela correspond à la marge de manœuvre du titulaire, l'établissement paye l’écart entre le réel et la théorie. (0,96 N’B)
(B) Entre 4% et 20% d’économie, 2/3 du gain est conservé par l’établissement et 1/3 du gain est mandaté au titulaire. (0,8 N’B)
(A) Au-delà de 20% d’économie, la totalité du gain est restitué au titulaire. On estime qu’un tel gain passe obligatoirement par des actes techniques de régulation ou d’équilibrages par exemple.
s, la facturation ne dépasse pas le montant budgétisé et pris en compte dans le calcul des dotations de fonctionnement.
Les deux seuls cas de figure de dotation sous-évaluée est si l’hiver est exceptionnellement froid (rigueur supérieure à 1560 DJU) et s’il y a une flambée du prix de l’énergie qui dépasse les prévisions prises en compte initialement.
Autre point à noter : la clause d'intéressement n'est pas applicable pendant la première saison de chauffage si l'installation est nouvelle ou entièrement rénovée..
Renégociation du NB
Il est possible de réajuster la valeur de consommation théorique (NB) si les consommations d'énergie nécessaires au chauffage des locaux (corrigé des variations climatiques) étaient telles que les écarts par rapport à la consommation réelle (NC) dépassaient les limites fixées ci-après :
Si la quantité effective NC diffère de plus de 15% de la quantité théorique N’B pendant deux saisons successives,
si la quantité effective NC diffère de plus de 20% de la quantité théorique N’B au cours
d’une seule saison.
La première saison de chauffe est exclue de cette modalité.
Le contrat - Modalités à Préciser :
Durée du Marché
S’agissant de la durée des marchés d’exploitation de chauffage, la loi n°74-908 du 29 octobre 1974 prévoit, art.3bis-I, que les marchés type MC, MT, MCI, MTI peuvent être conclus pour une durée maximum de 5 ans. Les marchés avec gros entretien et renouvellement des matériels peuvent être conclus pour une durée maximale de 16 ans.
Dans la pratique ces marchés sont rarement passés pour une durée inférieure à 5 ans, autrement le coût de
« l’assurance » équipement serait trop important sur une courte période.
Délai d’intervention
Il convient de déterminer les délais d'intervention dont on souhaite bénéficier. Voici des exemples de délais.
Les délais d'intervention sont de deux (2) heures maximum.
Ce délai est ramené à une heure pour les alarmes concernant les équipements essentiels tels que définis ci- après :
- la production électrique de secours : les groupes électrogènes et leurs équipements associés,
- le relevage des eaux : les pompes, les puisards chaufferie,
- les alarmes et systèmes de détection incendie,
- les ascenseurs dans le cadre du respect de l’accessibilité pour tous.
La remise en état définitive de fonctionnement s'entend comme la remise en état permettant de retrouver les équipements selon leurs spécifications initiales.
a) Pour les matériels ou équipements considérés comme essentiels, le titulaire dispose d'un délai de deux
(2) jours ouvrables à compter d’un constat contradictoire pour effectuer la remise en état définitive.
b) Pour les autres équipements, à compter du constat contradictoire de la panne, un délai de vingt (20) jours sera accordé au titulaire pour effectuer la remise en état de fonctionnement.
Les délais fixés aux alinéas a) et b) ci-avant sont prolongés des délais d'approvisionnement dûment justifiés. Les délais d'approvisionnement sont communiqués au collège et au département dans les deux (2) jours qui suivent le constat de panne.
Le contrat - Pénalités
Le titulaire s'oblige à déduire de ces facturations le montant des pénalités qui lui est signifié par lettre recommandée avec accusé de réception.
Température
Prévoir une pénalité en cas de défaut de Température et modalité de contrôle de la T° (subjectivité en question / pose enregistreur sur une période)
Retard dans la remise en état définitive d’un équipement essentiel :
pour les matériels ou équipements considérés comme essentiels, tout dépassement de délai entraîne l’application d’une pénalité uniforme de 450 €HT (quatre cent cinquante euros) par jour et par matériel ou équipement jusqu'à remise en état définitive de fonctionnement.
Réglementation
Décret n°81-436 du 4 mai 1981 relatif aux contrats d’exploitation des installations de chauffage ou de climatisation ou se référant à cette exploitation
Décret n°98- 817 du 11 septembre 1998 relatif aux rendements minimaux et à l’équipement des chaudières de puissance comprise entre 400 kW et 50 MW.
Décret n°98- 833 du 16 septembre 1998 relatif aux contrôles périodiques des installations consommant de l’énergie thermique
Arrêté du 30 novembre 2005 modifiant l’arrêté du 23 juin 1978 relatif aux installations fixes destinées au chauffage et à l’alimentation en eau chaude sanitaire des bâtiments d’habitation, des locaux de travail ou des locaux recevant du public
Articles R-131-19 à 131-23 du code de la construction et de l’habitation fixant les températures réglementaires, différentes suivant l’usage et la destination des locaux.
Guide ou Notice à consulter.
Guide de rédaction des clauses techniques des marchés publics d’exploitation de chauffage avec ou sans gros entretien des matériels et avec obligation de résultat approuvé par la décision n° 2007-17 du 4 mai 2007 du Comité exécutif de l’OEAP
CCTG 2008
FD X 60-000 Maintenance industrielle - Fonction maintenance