CONSTAT DE RISQUE D’EXPOSITION AU PLOMB (CREP)
D-H-S Sarl 440 407 773 / 742 C | |||
00, Xxx xx Xxxx Xxxxxxxxx 00000 XXXX | Tel : 00 00 00 00 00 / 00 00 00 00 00 | Rapport N° : 0000-00-000 Xxx XXXXX Xxxxxxx xxx XXXXX | |
Fax : 00 00 00 00 00 | |||
CONSTAT DE RISQUE D’EXPOSITION AU PLOMB (CREP)
Propriétaire :
Xxx XXXXX née XXXXX Xxxxxxx
Adresse du propriétaire :
0, Xxx xx xx Xxxxxxxx 00000 XXXXXX
Donneur d’ordre :
Qualité du commanditaire (donneur d’ordre) : Propriétaire Nom : Mme FRIGO née XXXXX Xxxxxxx
Adresse 0, Xxx xx xx Xxxxxxxx
Xxxx xxxxxx xx xxxxx : 77320 CHEVRU
Adresse du bien :
0 Xxx xx xx Xxxxxxxx 00000 XXXXXX
L’auteur du constat
Nom et prénom de l’auteur du constat : Xxxxxxxxx XXXXX N° de certificat de certification : 540
Date de validité de la certification : 19/03/2022 Nom de l’organisme de qualification accrédité par le COFRAC :
B.2.C N°540
Organisme d’assurance professionnelle : AXA N° de contrat d’assurance : 10593403404
Le CREP suivant concerne :
Les parties privatives 🗹 Avant la vente 🗹
Occupées 🗹 Ou avant la mise en location 🞏
Ou les parties communes d’un immeuble 🞏 Avant travaux 🞏
N.B. : les travaux visés sont définis dans l’arrêté du 19 Août 2011 relatif aux travaux en parties communes nécessitant l’établissement d’un CREP
L’appareil à fluorescence X
Nom du fabricant de l’appareil : SAPHYMO (Fondis Electronic) | Modèle de l’appareil : FEnX 23 mCi |
N° de série de l’appareil : 2-0519 | Nature du radionucléide : 109 Cd |
Date du dernier chargement de la source : 26/09/2019 | Activité à cette date : 850 MBq |
Date limite de validité de la source : 25 septembre 2024 |
Le constat des risques d'exposition au plomb n'a pas révélé la présence de revêtements contenant du plomb
Les mesures de concentration en plomb sont regroupées dans le tableau de synthèse suivant :
TOTAL | NON MESUREES | CLASSE 0 | CLASSE 1 | CLASSE 2 | CLASSE 3 | |
Nombre d’unités de diagnostic | 155 | 155 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Pourcentage associé | 100.00% | 0.00% | 0.00% | 0.00% | 0.00% |
Recommandations au propriétaire
Suite à l’intervention sur site le 17 août 2021, le « Constat de Risque d’Exposition au Plomb » a été rédigé par Xxxxxxxxx XXXXX conformément à la norme NF X 46-030 « Diagnostic plomb — Protocole de réalisation du constat de risque d’exposition au plomb ».
Signature
Xxxxxxxxx XXXXX
Sommaire
RAPPEL DE LA COMMANDE ET DES RÉFÉRENCES RÉGLEMENTAIRE 3
RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LA MISSION 3
L’appareil à fluorescence X 3
Le laboratoire d’analyse éventuel 3
Le bien objet de la mission 3
Liste des locaux visités 3
MÉTHODOLOGIE EMPLOYÉE 4
Valeur de référence utilisée pour la mesure du plomb par fluorescence X 4
Stratégie de mesurage 4
Recours à l’analyse chimique du plomb par un laboratoire 4
PRÉSENTATION DES RÉSULTATS 4
RÉSULTATS DES MESURES 4
CONCLUSION 10
Classement des unités de diagnostic 10
Recommandations au propriétaire 10
Commentaires 10
Situations de risque de saturnisme infantile 11
Situations de risque de dégradation du bâti 11
Transmission du constat à l’ARS 11
LES OBLIGATIONS D’INFORMATIONS POUR LES PROPRIÉTAIRES 11
INFORMATION SUR LES PRINCIPALES RÉGLEMENTATIONS ET RECOMMANDATIONS EN MATIÈRE D’EXPOSITION AU PLOMB 11
Textes de référence 11
Ressources documentaires 12
ANNEXES 12
Notice d’Information 12
Croquis 13
Attestation de compétence Attestation d’assurance 14
Attestation sur l’honneur 14
Nombre de pages de rapport : 12 page(s) Nombre de pages d’annexes : 4 page(s)
Rappel de la commande et des références réglementaire
Réalisation d'un constat de risque d'exposition au plomb (CREP) :
dans les parties privatives du bien décrit ci-après en prévision de sa vente (en application de l'Article L.1334-6 du code de la santé publique) ou de sa mise en location (en application de l'Article L.1334-7 du code de la santé publique)
Rappel du cadre réglementaire et des objectifs du CREP
Le constat de risque d'exposition au plomb (CREP), défini à l'Article L.1334-5 du code de la santé publique, consiste à mesurer la concentration en plomb de tous les revêtements du bien immobilier concerné, afin d'identifier ceux contenant du plomb, qu'ils soient dégradés ou non, à décrire leur état de conservation et à repérer, le cas échéant, les risques de saturnisme infantile ou les facteurs de dégradation du bâti permettant d'identifier les situations d'insalubrité.
Les résultats du CREP doivent permettre de connaître non seulement le risque immédiat lié à la présence de revêtements dégradés contenant du plomb (qui génèrent spontanément des poussières ou des écailles pouvant être ingérées par un enfant), mais aussi le risque potentiel lié à la présence de revêtements en bon état contenant du plomb (encore non accessible).
Quand le CREP est réalisé en application des Articles L.1334-6 et L.1334-7, il porte uniquement sur les revêtements privatifs d'un logement, y compris les revêtements extérieurs au logement (volet, portail, grille, …)
Quand le CREP est réalisé en application de l'Article L.1334-8, seuls les revêtements des parties communes sont concernés (sans omettre, par exemple, la partie extérieure de la porte palière).
La recherche de canalisations en plomb ne fait pas partie du champ d'application du CREP.
Si le bien immobilier concerné est affecté en partie à des usages autres que l'habitation, le CREP ne porte que sur les parties affectées à l'habitation. Dans les locaux annexes de l'habitation, le CREP porte sur ceux qui sont destinés à un usage courant, tels que la buanderie.
Renseignements concernant la mission
L’appareil à fluorescence X
Nom du fabricant de l’appareil : SAPHYMO (Fondis Electronic) | |||
Modèle de l’appareil : FEnX 23 mCi | |||
N° de série de l’appareil : 2-0519 | |||
Nature du radionucléide : 109 Cd | |||
Date du dernier chargement de la source : 26/09/2019 | |||
Activité à cette date : 850 MBq | |||
Date limite de validité de la source : 25 septembre 2024 | |||
Autorisation ASN (DGSNR) | N : T940617 | Date d’autorisation : 01 septembre 2013 | |
Date de fin de validité de l’autorisation : Illimité (N°: T910823) | |||
Nom du titulaire de l’autorisation ASN (DGSNR) : Xxxxxxxxx XXXXX | |||
Non de la Personne Compétente en Radioprotection (PCR) : XXXXX Xxxxxxxxx | |||
Fabricant de l’étalon : RITVERC JSC Russia | N° NIST de l’étalon | RTV-0549-23 | |
Concentration : de 0 à 80 mg/cm² mg/cm² | Incertitude (mg/cm²) | 0.05 mg/cm² | |
Vérification de la justesse de l’appareil en début de CREP | Date : 17/08/2021 | N° de la mesure : | 1 |
Concentration (mg/cm²) | 1.15 | ||
Vérification de la justesse de l’appareil en fin de CREP | Date : 17/08/2021 | N° de la mesure : | 2 |
Concentration (mg/cm²) | 1.16 | ||
Vérification de la justesse de l’appareil si une remise sous tension à lieu | Date : Sans objet | N° de la mesure : | Sans objet |
Concentration (mg/cm²) | Sans objet |
La vérification de la justesse de l’appareil consiste à réaliser une mesure de la concentration en plomb sur un étalon à une valeur proche du seuil.
En début et en fin de chaque constat et à chaque nouvelle mise sous tension de l’appareil une nouvelle vérification de la justesse de l’appareil est réalisée.
Le laboratoire d’analyse éventuel :
Sans objet
Le bien objet de la mission
Adresse du bien immobilier | 0 Xxx xx xx Xxxxxxxx 00000 XXXXXX | |
Description de l’ensemble immobilier | Maison individuelle | |
Année de construction | 1940 | |
Localisation du bien objet de la mission | ||
Nom et coordonnées du propriétaire ou du syndicat de copropriété (dans le cas du CREP sur parties communes) | Mme FRIGO née XXXXX | |
Xxxxxxx | ||
0, Xxx xx xx Xxxxxxxx 00000 XXXXXX | ||
L’occupant est | ||
Nom de l’occupant, si différent du propriétaire | ||
Présence et nombre d’enfants mineurs, dont les enfants de moins de 6ans | Nombre total : | |
Nombre d’enfants de moins de 6 ans : | ||
Date(s) de la visite faisant l’objet du CREP | 17 Août 2021 | |
Croquis du bien immobilier objet de la mission | Voir paragraphe ‘CROQUIS’ |
Liste des locaux visités
Entrée, Salle d'eau, Toilettes, Buanderie, Cuisine d'été, Cuisine, Séjour, Garage, Escaliers-Rdc, Palier, Chambre 1, Toilettes 2, Chambre 2, Chambre 3, Chambre 4, Chambre 5, Combles-Grenier, Combles
Listes des locaux ou endroits inaccessibles lors de la visite
Etage | Locaux | Raisons |
1er Combles-Grenier Pas d'accès 2ème Combles Trappe condamnée |
Méthodologie employée
La recherche et la mesure du plomb présent dans les peintures ou les revêtements ont été réalisées selon la norme NF X 46-030 «Diagnostic Plomb — Protocole de réalisation du Constat de Risque d’Exposition au Plomb».
Les mesures de la concentration surfacique en plomb sont réalisées à l'aide d'un appareil à fluorescence X (XRF) à lecture directe permettant d’analyser au moins une raie K du spectre de fluorescence du plomb, et sont exprimées en mg/cm2.
Les éléments de construction de facture récente ou clairement identifiables comme postérieurs au 1er janvier 1949 ne sont pas mesurés, à l'exception des huisseries ou autres éléments métalliques tels que volets, grilles, (ceci afin d’identifier la présence éventuelle de minium de plomb).
Valeur de référence utilisée pour la mesure du plomb par fluorescence X
Les mesures par fluorescence X effectuées sur des revêtements sont interprétées en fonction de la valeur de référence fixée par l’arrêté du 19 Aout 2011 relatif au constat de risque d’exposition au plomb (article 5) : 1 mg/cm2
Stratégie de mesurage
Sur chaque unité de diagnostic recouverte d'un revêtement, l'auteur du constat effectue :
✓ 1 seule mesure si celle-ci montre la présence de plomb à une concentration supérieure ou égale au seuil de 1 milligramme par centimètre carré (1 mg/cm2) ;
✓ 2 mesures si la première ne montre pas la présence de plomb à une concentration supérieure ou égale au seuil de 1 milligramme par centimètre carré (1 mg/cm2) ;
✓ 3 mesures si les deux premières ne montrent pas la présence de plomb à une concentration supérieure ou égale au seuil de 1 milligramme par centimètre carré (1 mg/cm2), mais qu’au moins une unité de diagnostic du même type a été mesurée avec une concentration en plomb supérieure ou égale à ce seuil dans un même local.
Dans le cas où plusieurs mesures sont effectuées sur une unité de diagnostic, elles sont réalisées à des endroits différents pour minimiser le risque de faux négatifs.
Recours à l’analyse chimique du plomb par un laboratoire
À titre exceptionnel, l'auteur du constat tel que défini à l’Article R.1334-11 du code de la santé publique peut recourir à des prélèvements de revêtements qui sont analysés en laboratoire pour la recherche du plomb acido-soluble selon la norme NF X 46-031 « Diagnostic plomb — Analyse chimique des peintures pour la recherche de la fraction acido-soluble du plomb », dans les cas suivants :
— lorsque la nature du support (forte rugosité, surface non plane, etc.) ou le difficile accès aux éléments de construction à analyser ne permet pas l'utilisation de l'appareil portable à fluorescence X ;
— lorsque dans un même local, au moins une mesure est supérieure au seuil de 1 milligramme par centimètre carré (1 mg/cm2), mais aucune mesure n'est supérieure à 2 mg/cm2 ;
— lorsque, pour une unité de diagnostic donnée, aucune mesure n’est concluante au regard de la précision de l’appareil.
Le prélèvement est réalisé conformément aux préconisations de la norme NF X 46-030 « Diagnostic Plomb —Protocole de réalisation du Constat de Risque d’Exposition au Plomb » précitée sur une surface suffisante pour que le laboratoire dispose d’un échantillon permettant l’analyse dans de bonnes conditions (prélèvement de 0,5 g à 1 g).
Dans ce dernier cas, et quel que soit le résultat de l’analyse par fluorescence X, une mesure sera déclarée négative si la fraction acido-soluble mesurée en laboratoire est strictement inférieure à 1,5 mg/g.
Présentation des résultats
Afin de faciliter la localisation des mesures, l'auteur du constat divise chaque local en plusieurs zones, auxquelles il attribue une lettre (A, B, C …) selon la convention décrite ci-dessous.
La convention d’écriture sur le croquis et dans le tableau des mesures est la suivante :
✓ La zone de l’accès au local est nommée « A » et est reportée sur le croquis. Les autres zones sont nommées « B », «C », « D », … dans le sens des aiguilles d’une montre ;
✓ La zone « plafond » est indiquée en clair.
Les unités de diagnostic (UD) (par exemple : un mur d’un local, la plinthe du même mur, l’ouvrant d’un portant ou le dormant d’une fenêtre, …) faisant l’objet d’une mesure sont classées dans le tableau des mesures selon le tableau suivant en fonction de la concentration en plomb et de la nature de la dégradation.
NOTE Une unité de diagnostic (UD) est un ou plusieurs éléments de construction ayant même substrat et même historique en matière de construction et de revêtement.
Concentration surfacique en plomb | Type de dégradation | Classement |
< Seuil | 0 | |
≥Seuil | Non dégradé ou non visible | 1 |
Etat d’usage | 2 | |
Dégradé | 3 |
Résultats des mesures
Local No | 1 | Désignation | Entrée | |||||||
N° de mesure | Zone | Unité de Diagnostic | Substrat | Revêtement apparent | Localisation de la mesure (facultatif) | Concen- tration (mg/cm2) | Etat de conservation | Nature de la dégradation | Classement de l'unité de diagnostic | Observations |
NM | A | Mur | Plâtre | Brut | - | Brut | ||||
NM | B | Mur | Plâtre | Brut | - | Brut | ||||
NM | C | Mur | Plâtre | Brut | - | Brut | ||||
NM | D | Mur | Plâtre | Brut | - | Brut | ||||
NM | Plinthe | Carrelage | Carrelage | - | > 0000 | |||||
XX | Xxxxxxx | XX00 | Peinture | - | > 1949 | |||||
NM | A | Bâti porte1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | A | Ouvrant porte1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
Nombre d’unités de diagnostic : | 8 | Nombre d’unités de classe 3 : | 0 | % de classe 3 : | 0.00% | |||||
NM=Non mesuré, NV=Non visible, ND = Non dégradé, EU=Etat d'usage, D=Dégradé |
Local No | 2 | Désignation | Salle d'eau | |||||||
N° de mesure | Zone | Unité de Diagnostic | Substrat | Revêtement apparent | Localisation de la mesure (facultatif) | Concen- tration (mg/cm2) | Etat de conservation | Nature de la dégradation | Classement de l'unité de diagnostic | Observations |
NM | A | Mur | Plâtre | Brut | - | Brut | ||||
NM | B | Mur | Plâtre | Brut | - | Brut | ||||
NM | C | Mur | Plâtre | Brut | - | Brut | ||||
NM | D | Mur | Plâtre | Brut | - | Brut | ||||
NM | Plafond | BA13 | Peinture | - | > 1949 | |||||
NM | A | Bâti porte1 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | A | Ouvrant porte1 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | C | Ouvrant Fenêtre1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | C | Dormant Fenêtre1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | C | Volets1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
Nombre d’unités de diagnostic : | 10 | Nombre d’unités de classe 3 : | 0 | % de classe 3 : | 0.00% | |||||
NM=Non mesuré, NV=Non visible, ND = Non dégradé, EU=Etat d'usage, D=Dégradé |
Local No | 3 | Désignation | Toilettes | |||||||
N° de mesure | Zone | Unité de Diagnostic | Substrat | Revêtement apparent | Localisation de la mesure (facultatif) | Concen- tration (mg/cm2) | Etat de conservation | Nature de la dégradation | Classement de l'unité de diagnostic | Observations |
NM | A | Mur | BA13 | Peinture | - | Brut | ||||
NM | B | Mur | BA13 | Peinture | - | Brut | ||||
NM | C | Mur | BA13 | Peinture | - | Brut | ||||
NM | D | Mur | BA13 | Peinture | - | Brut | ||||
NM | Plafond | Plâtre | Peinture | - | > 1949 | |||||
NM | A | Bâti porte1 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | A | Ouvrant porte1 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
Nombre d’unités de diagnostic : | 7 | Nombre d’unités de classe 3 : | 0 | % de classe 3 : | 0.00% | |||||
NM=Non mesuré, NV=Non visible, ND = Non dégradé, EU=Etat d'usage, D=Dégradé |
Local No | 4 | Désignation | Buanderie | |||||||
N° de mesure | Zone | Unité de Diagnostic | Substrat | Revêtement apparent | Localisation de la mesure (facultatif) | Concen- tration (mg/cm2) | Etat de conservation | Nature de la dégradation | Classement de l'unité de diagnostic | Observations |
NM | A | Mur | Plâtre | Brut | - | > 1949 | ||||
NM | B | Mur | Plâtre | Brut | - | > 1949 | ||||
NM | C | Mur | Plâtre | Brut | - | > 1949 | ||||
NM | D | Mur | Plâtre | Brut | - | > 1949 | ||||
NM | Plinthe | Carrelage | Carrelage | - | > 1949 | |||||
NM | Plafond | Plâtre | Peinture | - | > 1949 | |||||
NM | A | Bâti porte1 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | A | Ouvrant porte1 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | C | Ouvrant Fenêtre1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | C | Dormant Fenêtre1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | C | Volets1 | Bois | Lasure | - | > 1949 |
Nombre d’unités 11 Nombre d’unités 0 % de classe 3 : 0.00% de diagnostic : de classe 3 : | ||||||||||
NM=Non mesuré, NV=Non visible, ND = Non dégradé, EU=Etat d'usage, D=Dégradé |
Local No | 5 | Désignation | Cuisine d'été | |||||||
N° de mesure | Zone | Unité de Diagnostic | Substrat | Revêtement apparent | Localisation de la mesure (facultatif) | Concen- tration (mg/cm2) | Etat de conservation | Nature de la dégradation | Classement de l'unité de diagnostic | Observations |
NM | A | Mur | Plâtre;BA13 | Peinture + faïence | - | > 1949 | ||||
NM | B | Mur | Plâtre;BA13 | Peinture + faïence | - | > 1949 | ||||
NM | C | Mur | Plâtre;BA13 | Peinture + faïence | - | > 1949 | ||||
NM | D | Mur | Plâtre;BA13 | Peinture + faïence | - | > 0000 | ||||
XX | Xxxxxxx | XX00 | Peinture | - | > 1949 | |||||
NM | A | Bâti porte1 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | A | Ouvrant porte1 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | B | Bâti porte2 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | B | Ouvrant porte2 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | C | Ouvrant Fenêtre1 | Aluminium | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | C | Dormant Fenêtre1 | Aluminium | Peinture | - | > 1949 | ||||
Nombre d’unités 11 Nombre d’unités 0 % de classe 3 : 0.00% de diagnostic : de classe 3 : | ||||||||||
NM=Non mesuré, NV=Non visible, ND = Non dégradé, EU=Etat d'usage, D=Dégradé |
Local No | 6 | Désignation | Cuisine | |||||||
N° de mesure | Zone | Unité de Diagnostic | Substrat | Revêtement apparent | Localisation de la mesure (facultatif) | Concen- tration (mg/cm2) | Etat de conservation | Nature de la dégradation | Classement de l'unité de diagnostic | Observations |
NM | A | Mur | Plâtre | Peinture + faïence | - | Brut | ||||
NM | B | Mur | Plâtre | Peinture + faïence | - | Brut | ||||
NM | C | Mur | Plâtre | Peinture + faïence | - | Brut | ||||
NM | D | Mur | Plâtre | Peinture + faïence | - | Brut | ||||
NM | E | Mur | Plâtre | Peinture + faïence | - | Brut | ||||
NM | F | Mur | Plâtre | Peinture + faïence | - | Brut | ||||
NM | Plinthe | Carrelage | Carrelage | - | > 1949 | |||||
NM | Plafond | Plâtre | Peinture | - | > 1949 | |||||
NM | A | Bâti porte1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | A | Ouvrant porte1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | E | Ouvrant Fenêtre1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | E | Dormant Fenêtre1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | E | Volets1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
Nombre d’unités 13 Nombre d’unités 0 % de classe 3 : 0.00% de diagnostic : de classe 3 : | ||||||||||
NM=Non mesuré, NV=Non visible, ND = Non dégradé, EU=Etat d'usage, D=Dégradé |
Local No | 7 | Désignation | Séjour |
N° de mesure | Zone | Unité de Diagnostic | Substrat | Revêtement apparent | Localisation de la mesure (facultatif) | Concen- tration (mg/cm2) | Etat de conservation | Nature de la dégradation | Classement de l'unité de diagnostic | Observations |
NM | A | Mur | Plâtre | Peinture | - | Brut | ||||
NM | B | Mur | Plâtre | Peinture | - | Brut | ||||
NM | C | Mur | Plâtre | Peinture | - | Brut | ||||
NM | D | Mur | Plâtre | Peinture | - | Brut | ||||
NM | Plinthe | Carrelage | Carrelage | - | > 0000 | |||||
XX | Xxxxxxx | Plâtre;Poutres bois | Peinture | - | > 1949 | |||||
NM | A | Bâti porte1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | A | Ouvrant porte1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | B | Ouvrant Fenêtre1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | B | Dormant Fenêtre1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | D | Ouvrant Fenêtre2 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | D | Dormant Fenêtre2 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | B | Volets1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | D | Volets2 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
Nombre d’unités de diagnostic : | 14 | Nombre d’unités de classe 3 : | 0 | % de classe 3 : | 0.00% | |||||
NM=Non mesuré, NV=Non visible, ND = Non dégradé, EU=Etat d'usage, D=Dégradé |
Local No | 8 | Désignation | Garage | |||||||
N° de mesure | Zone | Unité de Diagnostic | Substrat | Revêtement apparent | Localisation de la mesure (facultatif) | Concen- tration (mg/cm2) | Etat de conservation | Nature de la dégradation | Classement de l'unité de diagnostic | Observations |
NM | A | Mur | Brut | - | Brut | |||||
NM | B | Mur | Brut | - | Brut | |||||
NM | C | Mur | Brut | - | Brut | |||||
NM | D | Mur | Brut | - | Brut | |||||
NM | Plafond | Brut | - | Brut | ||||||
NM | A | Ouvrant porte1 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
Nombre d’unités de diagnostic : | 6 | Nombre d’unités de classe 3 : | 0 | % de classe 3 : | 0.00% | |||||
NM=Non mesuré, NV=Non visible, ND = Non dégradé, EU=Etat d'usage, D=Dégradé |
Local No | 9 | Désignation | Escaliers-Rdc | |||||||
N° de mesure | Zone | Unité de Diagnostic | Substrat | Revêtement apparent | Localisation de la mesure (facultatif) | Concen- tration (mg/cm2) | Etat de conservation | Nature de la dégradation | Classement de l'unité de diagnostic | Observations |
NM | A | Mur | Plâtre;BA13 | Brut | - | Brut | ||||
NM | B | Mur | Plâtre;BA13 | Brut | - | Brut | ||||
NM | C | Mur | Plâtre;BA13 | Brut | - | Brut | ||||
NM | D | Mur | Plâtre;BA13 | Brut | - | Brut | ||||
NM | Plafond | BA13 | Peinture | - | > 1949 | |||||
NM | A | Ouvrant Fenêtre1 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | A | Dormant Fenêtre1 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
Nombre d’unités de diagnostic : | 7 | Nombre d’unités de classe 3 : | 0 | % de classe 3 : | 0.00% |
NM=Non mesuré, NV=Non visible, ND = Non dégradé, EU=Etat d'usage, D=Dégradé
Local No | 10 | Désignation | Palier | |||||||
N° de mesure | Zone | Unité de Diagnostic | Substrat | Revêtement apparent | Localisation de la mesure (facultatif) | Concen- tration (mg/cm2) | Etat de conservation | Nature de la dégradation | Classement de l'unité de diagnostic | Observations |
NM | A | Mur | BA13 | Brut | - | > 0000 | ||||
XX | X | Xxx | XX00 | Xxxx | - | > 1949 | ||||
NM | C | Mur | BA13 | Brut | - | > 0000 | ||||
XX | X | Xxx | XX00 | Xxxx | - | > 0000 | ||||
XX | X | Xxx | XX00 | Xxxx | - | > 1949 | ||||
NM | F | Mur | BA13 | Brut | - | > 0000 | ||||
XX | X | Xxx | XX00 | Xxxx | - | > 0000 | ||||
XX | X | Xxx | XX00 | Xxxx | - | > 0000 | ||||
XX | Xxxxxxx | XX00 | Peinture | - | > 1949 | |||||
Nombre d’unités de diagnostic : | 9 | Nombre d’unités de classe 3 : | 0 | % de classe 3 : | 0.00% | |||||
NM=Non mesuré, NV=Non visible, ND = Non dégradé, EU=Etat d'usage, D=Dégradé |
Local No | 11 | Désignation | Chambre 1 | |||||||
N° de mesure | Zone | Unité de Diagnostic | Substrat | Revêtement apparent | Localisation de la mesure (facultatif) | Concen- tration (mg/cm2) | Etat de conservation | Nature de la dégradation | Classement de l'unité de diagnostic | Observations |
NM | A | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | B | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | C | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | D | Mur | BA13 | Peinture | - | > 0000 | ||||
XX | Xxxxxxx | XX00 | Peinture | - | > 1949 | |||||
NM | A | Bâti porte1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | A | Ouvrant porte1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | C | Ouvrant Fenêtre1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | C | Dormant Fenêtre1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | C | Volets1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
Nombre d’unités de diagnostic : | 10 | Nombre d’unités de classe 3 : | 0 | % de classe 3 : | 0.00% | |||||
NM=Non mesuré, NV=Non visible, ND = Non dégradé, EU=Etat d'usage, D=Dégradé |
Local No | 12 | Désignation | Toilettes 2 | |||||||
N° de mesure | Zone | Unité de Diagnostic | Substrat | Revêtement apparent | Localisation de la mesure (facultatif) | Concen- tration (mg/cm2) | Etat de conservation | Nature de la dégradation | Classement de l'unité de diagnostic | Observations |
NM | A | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | B | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | C | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | D | Mur | BA13 | Peinture | - | > 0000 | ||||
XX | Xxxxxxx | XX00 | Peinture | - | > 1949 | |||||
NM | A | Bâti porte1 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | A | Ouvrant porte1 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
Nombre d’unités | 7 | Nombre d’unités | 0 | % de classe 3 : | 0.00% |
NM=Non mesuré, NV=Non visible, ND = Non dégradé, EU=Etat d'usage, D=Dégradé
de classe 3 :
de diagnostic :
Local No | 13 | Désignation | Chambre 2 | |||||||
N° de mesure | Zone | Unité de Diagnostic | Substrat | Revêtement apparent | Localisation de la mesure (facultatif) | Concen- tration (mg/cm2) | Etat de conservation | Nature de la dégradation | Classement de l'unité de diagnostic | Observations |
NM | A | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | B | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | C | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | D | Mur | BA13 | Peinture | - | > 0000 | ||||
XX | Xxxxxxx | XX00 | Peinture | - | > 1949 | |||||
NM | A | Bâti porte1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | A | Ouvrant porte1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | C | Ouvrant Fenêtre1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | C | Dormant Fenêtre1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | C | Volets1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
Nombre d’unités de diagnostic : | 10 | Nombre d’unités de classe 3 : | 0 | % de classe 3 : | 0.00% | |||||
NM=Non mesuré, NV=Non visible, ND = Non dégradé, EU=Etat d'usage, D=Dégradé |
Local No | 14 | Désignation | Chambre 3 | |||||||
N° de mesure | Zone | Unité de Diagnostic | Substrat | Revêtement apparent | Localisation de la mesure (facultatif) | Concen- tration (mg/cm2) | Etat de conservation | Nature de la dégradation | Classement de l'unité de diagnostic | Observations |
NM | A | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | B | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | C | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | D | Mur | BA13 | Peinture | - | > 0000 | ||||
XX | Xxxxxxx | XX00 | Peinture | - | > 1949 | |||||
NM | A | Bâti porte1 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | A | Ouvrant porte1 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | C | Ouvrant Fenêtre1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | C | Dormant Fenêtre1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | C | Volets1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
Nombre d’unités de diagnostic : | 10 | Nombre d’unités de classe 3 : | 0 | % de classe 3 : | 0.00% | |||||
NM=Non mesuré, NV=Non visible, ND = Non dégradé, EU=Etat d'usage, D=Dégradé |
Local No | 15 | Désignation | Chambre 4 | |||||||
N° de mesure | Zone | Unité de Diagnostic | Substrat | Revêtement apparent | Localisation de la mesure (facultatif) | Concen- tration (mg/cm2) | Etat de conservation | Nature de la dégradation | Classement de l'unité de diagnostic | Observations |
NM | A | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | B | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | C | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | D | Mur | BA13 | Peinture | - | > 0000 | ||||
XX | Xxxxxxx | XX00 | Peinture | - | > 1949 | |||||
NM | A | Bâti porte1 | Bois | Peinture | - | > 1949 |
NM | A | Ouvrant porte1 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | C | Ouvrant Fenêtre1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | C | Dormant Fenêtre1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | C | Volets1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
Nombre d’unités 10 Nombre d’unités 0 % de classe 3 : 0.00% de diagnostic : de classe 3 : | ||||||||||
NM=Non mesuré, NV=Non visible, ND = Non dégradé, EU=Etat d'usage, D=Dégradé |
Local No | 16 | Désignation | Chambre 5 | |||||||
N° de mesure | Zone | Unité de Diagnostic | Substrat | Revêtement apparent | Localisation de la mesure (facultatif) | Concen- tration (mg/cm2) | Etat de conservation | Nature de la dégradation | Classement de l'unité de diagnostic | Observations |
NM | A | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | B | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | C | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | D | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | E | Mur | BA13 | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | F | Mur | BA13 | Peinture | - | > 0000 | ||||
XX | Xxxxxxx | XX00 | Peinture | - | > 1949 | |||||
NM | A | Bâti porte1 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | A | Ouvrant porte1 | Bois | Peinture | - | > 1949 | ||||
NM | E | Ouvrant Fenêtre1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | E | Dormant Fenêtre1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
NM | E | Volets1 | Bois | Lasure | - | > 1949 | ||||
Nombre d’unités 12 Nombre d’unités 0 % de classe 3 : 0.00% de diagnostic : de classe 3 : | ||||||||||
NM=Non mesuré, NV=Non visible, ND = Non dégradé, EU=Etat d'usage, D=Dégradé |
Conclusion
Classement des unités de diagnostic
Le constat des risques d'exposition au plomb n'a pas révélé la présence de revêtements contenant du plomb
Les mesures de concentration en plomb sont regroupées dans le tableau de synthèse suivant :
TOTAL | NON MESUREES | CLASSE 0 | CLASSE 1 | CLASSE 2 | CLASSE 3 | |
Nombre d’unités de diagnostic | 155 | 155 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Pourcentage associé | 100.00% | 0.00% | 0.00% | 0.00% | 0.00% |
Recommandations au propriétaire
Le plomb (principalement la céruse) contenu dans les revêtements peut provoquer une intoxication des personnes, en particulier des jeunes enfants, dès lors qu’il est inhalé ou ingéré. Les travaux qui seraient conduits sur les surfaces identifiées comme recouvertes de peinture d’une concentration surfacique en plomb égale ou supérieure à 1 mg/cm2 devront s’accompagner de mesures de protection collectives et individuelles visant à contrôler la dissémination de poussières toxiques et à éviter toute exposition au plomb tant pour les intervenants que pour les occupants de l’immeuble et la population environnante.
Commentaires :
NEANT
Situations de risque de saturnisme infantile.
Un local au moins parmi les locaux objets du constat présente au moins 50% d'unités de diagnostic de classe 3 | NON |
L'ensemble des locaux objets du constat présente au moins 20% d'unités de diagnostic de classe 3 | NON |
Situations de risque de dégradation du bâti.
Les locaux objets du constat présentent au moins un plancher ou plafond menaçant de s'effondrer ou en tout ou partie effondré | NON |
Les locaux objets du constat présentent des traces importantes de coulures ou de ruissellement ou d'écoulement d'eau sur plusieurs unités de diagnostic d'une même pièce | NON |
Les locaux objets du constat présentent plusieurs unités de diagnostic d'une même pièce recouverts de moisissures ou de nombreuses taches d'humidité | NON |
Transmission du constat à l’ARS
Une copie du CREP est transmise dans les 5 jours ouvrés à la direction générale de l’agence régionale de santé (ARS) si au moins un facteur de dégradation du bâti ou de risque de saturnisme est relevé : NON
Date de validité du présent rapport : La durée de validité de ce rapport est illimitée
Le présent rapport est établi par une personne dont les compétences sont certifiées par : B.2.C N°540.
Adresse de l’organisme certificateur : 00, Xxx xxx Xxxx 00000 XXXXXXXXXXX
Cachet de l'entreprise
Fait à : EVRY
Par : D-H-S Sarl
Nom de l’opérateur : Xxxxxxxxx XXXXX
Signature de l’opérateur
La société D-H-S Sarl atteste que ni ses employés, ni elle-même, ne reçoit, directement ou indirectement, de la part d’une entreprise pouvant réaliser des travaux sur les ouvrages, installations ou équipements sur lesquels porte sa prestation, aucun avantage ni rétribution, sous quelque forme que ce soit.
Les obligations d’informations pour les propriétaires
Décret n° 2006-474 du 25 avril 2006 relatif à la lutte contre le saturnisme, Article R.1334-12 du code de la santé publique :
«L’information des occupants et des personnes amenées à exécuter des travaux, prévue par l’Article L.1334-9 est réalisée par la remise du constat de risque d’exposition au plomb (CREP) par le propriétaire ou l’exploitant du local d’hébergement.»
«Le CREP est tenu par le propriétaire ou l’exploitant du local d’hébergement à disposition des agents ou services mentionnés à l’Article L.1421-1 du code de la santé publique ainsi, le cas échéant, des agents chargés du contrôle de la réglementation du travail et des agents des services de prévention des organismes de sécurité sociale.»
Article L1334-9 du code de la santé publique
Si le constat, établi dans les conditions mentionnées aux articles L. 1334-6 à L. 1334-8-1, met en évidence la présence de revêtements dégradés contenant du plomb à des concentrations supérieures aux seuils définis par l'arrêté mentionné à l'article L. 1334-2, le propriétaire ou l'exploitant du local d'hébergement doit en informer les occupants et les personnes amenées à faire des travaux dans l'immeuble ou la partie d'immeuble concerné. Il procède aux travaux appropriés pour supprimer le risque d'exposition au plomb, tout en garantissant la sécurité des occupants. En cas de location, les dits travaux incombent au propriétaire bailleur. La non-réalisation des dits travaux par le propriétaire bailleur, avant la mise en location du logement, constitue un manquement aux obligations particulières de sécurité et de prudence susceptible d'engager sa responsabilité pénale.
Information sur les principales réglementations et recommandations en matière d’exposition au plomb
Textes de référence
Code de la santé publique :
• Code de la santé publique : Articles L.1334-1 à L.1334-12 et Articles R.1334-1 à R.1334-13 (lutte contre la présence de plomb) ;
• Article L.1333-4 concernant la distribution, la détention et l’utilisation des appareils à fluorescence X équipés d’une source radioactive.
• Loi n° 2004-806 du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique Articles 72 à 78 modifiant le code de la santé publique ;
• Décret n° 2006-474 du 25 avril 2006 relatif à la lutte contre le saturnisme ;
• Arrêté du 19 août 2011 relatif au constat de risque d’exposition au plomb ;
• Arrêté du 12 mai 2009 relatif au contrôle des travaux en présence de plomb, réalisés en application de l'article L. 1334-2 du code de la santé publique
• Arrêté du 7 décembre 2011 modifiant l'arrêté du 21 novembre 2006 définissant les critères de certification des compétences des personnes physiques opérateurs des constats de risque d'exposition au plomb ou agréées pour réaliser des diagnostics plomb dans les immeubles d'habitation et les critères d'accréditation des organismes de certification
Code de la construction et de l’habitat :
• Code de la construction et de l'habitation : Articles L.271-4 à L.271-6 (Dossier de diagnostic technique) et Articles R.271-1 à R.271-4 (Conditions d'établissement du dossier de diagnostic technique) ;
• Ordonnance n° 2005-655 du 8 juin 2005 relative au logement et à la construction ;
• Décret n° 2006-1114 du 5 septembre 2006 relatif aux diagnostics techniques immobiliers et modifiant le code de la construction et de l'habitation et le code de la santé publique.
Code du travail pour la prévention des risques professionnels liés à l’exposition au plomb :
• Code du travail : Articles L.233-5-1, R.231-51 à R.231-54, R.231-56 et suivants, R.231-58 et suivants, R.233-1, R.233-42 et suivants ;
• Décret n° 2001-97 du 1er février 2001 établissant les règles particulières de prévention des risques cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction et modifiant le code du travail ;
• Décret n° 93-41 du 11 janvier 1993 relatif aux mesures d'organisation, aux conditions de mise en œuvre et d'utilisation applicables aux équipements de travail et moyens de protection soumis à l'Article L.233-5-1 du code du travail et modifiant ce code (équipements de protection individuelle et vêtements de travail) ;
• Décret n° 2003-1254 du 23 décembre 2003 relatif à la prévention du risque chimique et modifiant le code du travail ;
• Loi n° 91-1414 du 31 décembre 1991 modifiant le code du travail et le code de la santé publique en vue de favoriser la prévention des risques professionnels et portant transposition de directives européennes relatives à la santé et à la sécurité du travail (Équipements de travail) ;
• Décret n° 92-1261 du 3 décembre 1992 relatif à la prévention des risques chimiques (Articles R.231-51 à R.231-54 du code du travail) ;
• Arrêté du 19 mars 1993 fixant, en application de l’Article R.237-8 du code du travail, la liste des travaux dangereux pour lesquels il est établi un plan de prévention.
Ressources documentaires
Documents techniques :
• Fiche de sécurité H2 F 13 99 Maladies Professionnelles, Plomb, OPPBTP, janvier 1999 ;
• Guide à l’usage des professionnels du bâtiment, Peintures au plomb, Aide au choix d’une technique de traitement, OPPBTP, FFB, CEBTP, Éditions OPPBTP 4e trimestre 2001 ;
• Document ED 809 Interventions sur les peintures contenant du plomb, prévention des risques professionnels, INRS, avril 2003 ;
• Norme AFNOR NF X 46-030 « Diagnostic plomb — Protocole de réalisation du constat de risque d’exposition au plomb ».
Sites Internet :
• Ministère chargé de la santé (textes officiels, précautions à prendre en cas de travaux portant sur des peintures au plomb, obligations des différents acteurs, …) : xxxx://xxx.xxxxx.xxxx.xx (dossiers thématiques « Plomb » ou « Saturnisme »)
• Ministère chargé du logement : xxxx://xxx.xxxxxxxx.xxxx.xx
• Agence nationale de l'habitat (ANAH) : xxxx://xxx.xxxx.xx/ (fiche Peintures au plomb disponible, notamment)
• Institut national de recherche et de sécurité (INRS) : xxxx://xxx.xxxx.xx/ (règles de prévention du risque chimique, fiche toxicologique plomb et composés minéraux, ...)
Annexes :
Notice d’Information
Si le logement que vous vendez, achetez ou louez comporte des revêtements contenant du plomb, sachez que le plomb est dangereux pour la santé. Deux documents vous informent :
– le constat de risque d’exposition au plomb vous permet de localiser précisément ces revêtements : lisez-le attentivement !
– la présente notice d’information résume ce que vous devez savoir pour éviter l’exposition au plomb dans ce logement. Les effets du plomb sur la santé
L’ingestion ou l’inhalation de plomb est toxique. Elle provoque des effets réversibles (anémie, troubles digestifs) ou irréversibles (atteinte du système nerveux, baisse du quotient intellectuel, etc.). Une fois dans l’organisme, le plomb est stocké, notamment dans les os, d’où il peut être libéré dans le sang, des années ou même des dizaines d’années plus tard. L’intoxication chronique par le plomb, appelée saturnisme, est particulièrement grave chez le jeune enfant. Les femmes en âge de procréer doivent également se protéger car, pendant la grossesse, le plomb peut traverser le placenta et contaminer le fœtus. Les mesures de prévention en présence de revêtements contenant du plomb
Des peintures fortement chargées en plomb (céruse) ont été couramment utilisées jusque vers 1950. Ces peintures, souvent recouvertes par d’autres revêtements depuis, peuvent être dégradées à cause de l’humidité, à la suite d’un choc, par grattage ou à l’occasion de travaux : les écailles et les poussières ainsi libérées constituent alors une source d’intoxication. Ces peintures représentent le principal risque d’exposition au plomb dans l’habitation.
Le plomb contenu dans les peintures ne présente pas de risque tant qu’elles sont en bon état ou inaccessibles.
En revanche, le risque apparaît dès qu’elles s’écaillent où se dégradent. Dans ce cas, votre enfant peut s’intoxiquer :
– s’il porte à la bouche des écailles de peinture contenant du plomb ;
– s’il se trouve dans une pièce contaminée par des poussières contenant du plomb ;
– s’il reste à proximité de travaux dégageant des poussières contenant du plomb.
Le plomb en feuille contenu dans certains papiers peints (posés parfois sur les parties humides des murs) n’est dangereux qu’en cas d’ingestion de fragments de papier. Le plomb laminé des balcons et rebords extérieurs de fenêtre n’est dangereux que si l’enfant a accès à ces surfaces, y porte la bouche ou suce ses doigts après les avoir touchées.
Pour éviter que votre enfant ne s’intoxique :
– surveillez l’état des peintures et effectuez les menues réparations qui s’imposent sans attendre qu’elles s’aggravent ;
– luttez contre l’humidité, qui favorise la dégradation des peintures ;
– évitez le risque d’accumulation des poussières : ne posez pas de moquette dans les pièces où l’enfant joue, nettoyez souvent le sol, les rebords de fenêtres avec une serpillière humide ;
– veillez à ce que votre enfant n’ait pas accès à des peintures dégradées, à des papiers peints contenant une feuille de plomb, ou à du plomb laminé (balcons, rebords extérieurs de fenêtres) ; lavez ses mains, ses jouets.
En cas de travaux portant sur des revêtements contenant du plomb, prenez des précautions :
– si vous confiez les travaux à une entreprise, remettez-lui une copie du constat du risque d’exposition au plomb, afin qu’elle mette en œuvre les mesures de prévention adéquates ;
– tenez les jeunes enfants éloignés du logement pendant toute la durée des travaux ; avant tout retour d’un enfant après travaux, les locaux doivent avoir été parfaitement nettoyés ;
– si vous réalisez les travaux vous-même, prenez soin d’éviter la dissémination de poussières contaminées dans tout le logement et éventuellement le voisinage. Si vous êtes enceinte :
– ne réalisez jamais vous-même des travaux portant sur des revêtements contenant du plomb ;
– éloignez-vous de tous travaux portant sur des revêtements contenant du plomb.
Si vous craignez qu’il existe un risque pour votre santé ou celle de votre enfant, parlez-en à votre médecin (généraliste, pédiatre, médecin de protection maternelle et infantile, médecin scolaire) qui xxxxxxxxx, x’xx le juge utile, un dosage de plomb dans le sang (plombémie). Des informations sur la prévention du saturnisme peuvent être obtenues auprès des directions départementales des territoires, des agences régionales de la santé ou des services communaux d’hygiène et de santé, ou sur les sites internet des ministères chargés de la santé et du logement.
Croquis
A l'intérieur de chaque pièce, les éléments unitaires sont repérés (face, gauche, droite…) dans le sens des
Mur droit D
Mur face C
aiguilles d’une montre. Si plusieurs entrées existent, celle retenue est définie précisément : gauche, centre, droite, idem si plusieurs fenêtres existent dans la même pièce.
Mur gauche B
Mur entrée A
Porte entrée ou ouverture
Croquis : Rez de Chaussée
B
A
Séjour
C
D
E
D
Cuisine
F
A
G
B
C
F
E
D
C
Entrée H
B
A
C
Salle d'eau B
D
A
B
A
C
D
A
D
Garage
B
C
A
B Buanderie D
C
B
A
Cuisine d'été
C
D
Croquis : 2ème étage
C
C
C
B Chambre 2
D
B Chambre 3 D
B
Chambre 4
D
A
A
A
Combles-Grenier (Non visité)
E
F
C
D
C
Palier
B
G
B
C
A
H
A
A
Chambre 5
D
D Chambre 1 B B D
Vide sur Entrée F
C
A
E
Attestation de compétence Attestation d’assurance
Attestation sur l’honneur
Je soussigné Xxxxxxxxx XXXXX de la société D-H-S Sarl atteste sur l'honneur être en situation régulière au regard des articles cités ci-dessous :
« Art. R. 271-1. - Pour l'application de l'article L. 271-6, il est recouru soit à une personne physique dont les compétences ont été certifiées par un organisme accrédité dans le domaine de la construction, soit à une personne morale employant des salariés ou constituée de personnes physiques qui disposent des compétences certifiées dans les mêmes conditions.
« La certification des compétences est délivrée en fonction des connaissances techniques dans le domaine du bâtiment et de l'aptitude à établir les différents éléments composant le dossier de diagnostic technique.
« Les organismes autorisés à délivrer la certification des compétences sont accrédités par un organisme signataire de l'accord européen multilatéral pris dans le cadre de la coordination européenne des organismes d'accréditation. L'accréditation est accordée en considération de l'organisation interne de l'organisme en cause, des exigences requises des personnes chargées des missions d'examinateur et de sa capacité à assurer la surveillance des organismes certifiés. Un organisme certificateur ne peut pas établir de dossier de diagnostic technique.
« Des arrêtés des ministres chargés du logement, de la santé et de l'industrie précisent les modalités d'application du présent article.
« Art. R. 271-2. - Les personnes mentionnées à l'article L. 271-6 souscrivent une assurance dont le montant de la garantie ne peut être inférieur à 300 000 euros par sinistre et 500 000 euros par année d'assurance.
« Art. R .271-3. - Lorsque le propriétaire charge une personne d'établir un dossier de diagnostic technique, celle-ci lui remet un document par lequel elle atteste sur l'honneur qu'elle est en situation régulière au regard des articles L. 271-6 et qu'elle dispose des moyens en matériel et en personnel nécessaires à l'établissement des états, constats et diagnostics composant le dossier.
« Art. R. 000-0. - Xxx puni de l'amende prévue pour les contraventions de la cinquième classe le fait :
« a) Pour une personne d'établir un document prévu aux 1° à 4° et au 6° de l'article L. 271-4 sans respecter les conditions de compétences, d'organisation et d'assurance définies par les articles R. 271-1 et R. 271-2 et les conditions d'impartialité et d'indépendance exigées à l'article L. 271-6 ;
« b) Pour un organisme certificateur d'établir un dossier de diagnostic technique en méconnaissance de l'article R. 271-1 ;
« c) Pour un vendeur de faire appel, en vue d'établir un document mentionné aux 1° à 4° et au 6° de l'article L. 271-4, à une personne qui ne satisfait pas aux conditions de compétences, d'organisation et d'assurance définies aux articles R. 271-1 et R. 271-2 ou aux conditions d'impartialité et d'indépendance exigées à l'article L. 271-6.
« La récidive est punie conformément aux dispositions de l'article 132-11 du code pénal. »
Xxxxxxxxx XXXXX
Certificat de surface habitable
N° Dossier : 0000-00-000 Xxx XXXXX Xxxxxxx xxx XXXXX
Situation de l’immeuble visité par : Xxxxxxxxx XXXXX
0 Xxx xx xx Xxxxxxxx 00000 XXXXXX
Désignation des locaux
Maison individuelle comprenant :
Entrée, Salle d'eau, Toilettes, Buanderie, Cuisine d’été, Cuisine, Séjour, Garage, Palier, Chambre 1, Toilettes 2, Chambre 2, Chambre 3, Chambre 4, Chambre 5, Combles-Grenier
Section cadastrale : C – 477-479
Surface habitable : 169.51 m²
CENT SOIXANTE NEUF METRES CARRES ET DIX SEPT CENTIEMES
Documents fournis : Sans objet
Désignation des locaux | Superficie (m²) | Surface non prises en compte « (m²) (<1.80 m) | Superficies Annexes (m²) |
Entrée | 12.84 | 1.34 | |
Salle d'eau | 8.51 | ||
Toilettes | 1.35 | ||
Buanderie | 6.19 | ||
Cuisine d’été | 15.48 | ||
Cuisine | 14.26 | ||
Séjour | 36.26 | ||
Palier | 6.91 | ||
Chambre 1 | 9.38 | ||
Toilettes 2 | 1.63 | ||
Chambre 2 | 10.53 | ||
Chambre 3 | 11.31 | ||
Chambre 4 | 16.97 | ||
Chambre 5 | 17.55 | ||
Garage | 27.25 m² | ||
Combles-Grenier | Non mesuré | ||
Totaux | 169.17 m² | 1.34 m² | 27.25 m² |
Pour information :
Surface habitable du bien (m²) au sens de l’article R111-2 du code de la construction et de l’habitation : 169.17 m²
Propriétaire
Xxx XXXXX née XXXXX Xxxxxxx 0, Xxx xx xx Xxxxxxxx
00000 - XXXXXX
Exécution de la mission
Opérateur Xxxxxxxxx XXXXX
Police d’assurance : AXA Police n° 10593403404 (31/12/2021)
Date d’intervention : 17/08/2021
Références réglementaires
Autre(s) élément(s) constitutif du ou des lots non pris en compte au titre de la surface habitable :
art R.111-2 du Code de la Construction et de l'Habitation: La surface habitable d'un logement est la surface de plancher construite, après déduction des surfaces occupées par les murs, cloisons, marches et cages d'escaliers, gaines, embrasures de portes et de fenêtres ; (...) Il n'est pas tenu compte de la superficie des combles non aménagés, caves, sous-sols, remises, garages, terrasses, loggias, balcons, séchoirs extérieurs au logement, vérandas, volumes vitrés, locaux communs et autres dépendances des logements, ni des parties de locaux d'une hauteur inférieure à 1,80m.
Recommandation ! : L’attestation de superficie habitable ne peut en aucun cas être annexée à une promesse ou un contrat de vente dans le cadre de la mention de la superficie privative dite « carrez ». Ces deux définitions ne répondent pas à la même réglementation ; en cas de sinistre, notre responsabilité ne pourrait être mise en cause.
D-H-S Sarl
00, Xxx xx Xxxx Xxxxxxxxx 00000 XXXX
Signature inspecteur
Schéma
Croquis : Rez de Chaussée
Cuisine
Entrée
Salle d'eau
Garage
Buanderie
Cuisine d'été
Séjour
Croquis : 0xx xxxxx
Xxxxxxx 0
Xxxxxxx 0
Xxxxxxx 0
Xxxxxxx-Xxxxxxx
(Xxx visité)
Palier
Chambre 5
Chambre 1
Vide sur Entrée
Etat des Risques et Pollutions
En application des articles L125-5 à 7 et R125-26 du code de l'environnement.
Référence : Xxx XXXXX Xxxxxxx née TUTIN Réalisé par Xxxxxxxxx XXXXX
Pour le compte de DHS SARL
Date de réalisation : 23 Mars 2022 (Valable 6 mois)
Selon les informations mises à disposition par arrêté préfectoral :
N° 2018/DDT/SEPR/268 du 11 Décembre 2018.
REFERENCES DU BIEN
Adresse du bien
0, Xxx xx xx Xxxxxxxx 00000 Xxxxxx
Vendeur
Xxx XXXXX Xxxxxxx xxx XXXXX
SYNTHESES
A ce jour, la commune est soumise à l'obligation d'Information Acquéreur Locataire (IAL). La présence de Catastrophes Naturelles sur la commune rend obligatoire la déclaration de sinistres.
Etat des Risques et Pollutions (ERP) | ||||||
Votre commune | Votre immeuble | |||||
Type | Nature du risque | Etat de la procédure | Date | Concerné | Travaux | Réf. |
Aucune procédure en vigueur sur la commune | - | - | - | |||
(1) Zonage de sismicité : 1 - Très faible | non | - | - | |||
(2) Zonage du potentiel radon : 1 - Faible | non | - | - |
Etat des risques approfondi (Attestation Argiles / ENSA / ERPS) | Concerné | Détails |
Zonage du retrait-gonflement des argiles | Oui | Aléa Moyen |
(3) Plan d'Exposition au Bruit | Non | - |
Basias, Basol, Icpe | Non | 0 site* à - de 500 mètres |
*ce chiffre ne comprend pas les sites non localisés de la commune.
(1) Zonage sismique de la France d'après l'annexe des articles R563-1 à 8 du Code de l'Environnement modifiés par les Décrets n°2010-1254 et n°2010-1255 du 22 octobre 2010 ainsi que par l'Arrêté du 22 octobre 2010 (nouvelles règles de construction parasismique - EUROCODE 8).
(2) Situation de l'immeuble au regard des zones à potentiel radon du territoire français définies à l'article R.1333-29 du code de la santé publique modifié par le Décret n°2018-434 du 4 juin 2018, délimitées par l'Arrêté interministériel du 27 juin 2018.
Attention, les informations contenues dans le second tableau de synthèse ci-dessus sont données à titre informatif. Pour plus de détails vous pouvez commander un Etat des risques approfondi.
23 mars 2022 0, Xxx xx xx Xxxxxxxx
00000 Xxxxxx Commande Xxx XXXXX Xxxxxxx xxx XXXXX Xxx. Xxx XXXXX Xxxxxxx née XXXXX - Xxxx 2/8
Attention, les informations contenues dans ce tableau de synthèse sont données à titre informatif et ne sont pas détaillées dans ce document.
Etat des risques complémentaires (Géorisques) | |||
Risques | Concerné | Détails | |
Inondation | TRI : Territoire à Risque important d'Inondation | Non | - |
AZI : Atlas des Zones Inondables | Non | - | |
PAPI : Programmes d'actions de Prévention des Inondations | Non | - | |
Remontées de nappes | Oui | Zones potentiellement sujettes aux inondations de cave, fiabilité MOYENNE (dans un rayon de 500 mètres). | |
Installation nucléaire | Non | - | |
Mouvement de terrain | Non | - | |
Pollution des sols, des eaux ou de l'air | BASOL : Sites pollués ou potentiellement pollués | Non | - |
BASIAS : Sites industriels et activités de service | Non | - | |
ICPE : Installations industrielles | Non | - | |
Cavités souterraines | Non | - | |
Canalisation TMD | Non | - |
SOMMAIRE
23 mars 2022 0, Xxx xx xx Xxxxxxxx
00000 Xxxxxx Commande Xxx XXXXX Xxxxxxx xxx XXXXX
Réf. Xxx XXXXX Xxxxxxx xxx XXXXX - Xxxx 3/8
.......
...
Synthèses 1
.......
...
Imprimé officiel 4
.......
.....
Déclaration de sinistres indemnisés 5
.......
........
Prescriptions de travaux, Documents de référence, Conclusions 6
.......
..
Annexes 7
23 mars 2022 0, Xxx xx xx Xxxxxxxx
00000 Xxxxxx Commande Xxx XXXXX Xxxxxxx xxx XXXXX
Réf. Xxx XXXXX Xxxxxxx née XXXXX - Xxxx 4/8
Etat des Risques et Pollutions
aléas naturels, miniers ou technologiques, sismicité, potentiel radon et pollution des sols
en application des articles L.125-5 à 7, R.125-26, R 563-4 et D 563-8-1 du Code de l'environnement et de l'article L 174-5 du nouveau Code minier
1. Cet état, relatif aux obligations, interdictions, servitudes et prescriptions définies vis-à-vis des risques naturels, miniers ou technologiques concernant l'immeuble, est établi sur la base des informations mises à disposition par arrêté préfectoral
n° 2018/DDT/SEPR/268 du 11/12/2018
Situation du bien immobilier (bâti ou non bâti)
2. Adresse
Document réalisé le : 23/03/2022
0, Xxx xx xx Xxxxxxxx
00000 Xxxxxx
3. Situation de l'immeuble au regard de plans de prévention des risques naturels [PPRn]
L'immeuble est situé dans le périmètre d'un PPRn prescrit oui non X
L'immeuble est situé dans le périmètre d'un PPRn appliqué par anticipation oui non X
L'immeuble est situé dans le périmètre d'un PPRn approuvé oui non X
Les risques naturels pris en compte sont liés à : (les risques grisés ne font pas l'objet d'une procédure PPR sur la commune)
Inondation Crue torrentielle Remontée de nappe Submersion marine Avalanche Mouvement de terrain Mvt terrain-Sécheresse Séisme Cyclone Eruption volcanique
Feu de forêt autre
L'immeuble est concerné par des prescriptions de travaux dans le règlement du ou des PPRn oui non X
si oui, les travaux prescrits par le règlement du PPR naturel ont été réalisés oui non
4. Situation de l'immeuble au regard de plans de prévention des risques miniers [PPRm]
L'immeuble est situé dans le périmètre d'un PPRm prescrit oui non X
L'immeuble est situé dans le périmètre d'un PPRm appliqué par anticipation oui non X
L'immeuble est situé dans le périmètre d'un PPRm approuvé oui non X
Les risques miniers pris en compte sont liés à : (les risques grisés ne font pas l'objet d'une procédure PPR sur la commune)
Risque miniers Affaissement Effondrement Tassement Emission de gaz Pollution des sols Pollution des eaux autre
L'immeuble est concerné par des prescriptions de travaux dans le règlement du ou des PPRm oui non X
si oui, les travaux prescrits par le règlement du PPR miniers ont été réalisés oui non
5. Situation de l'immeuble au regard de plans de prévention des risques technologiques [PPRt]
L'immeuble est situé dans le périmètre d'un PPRt approuvé oui non X
L'immeuble est situé dans le périmètre d'un PPRt prescrit oui non X Les risques technologiques pris en compte sont liés à : (les risques grisés ne font pas l'objet d'une procédure PPR sur la commune) Risque Industriel Effet thermique Effet de surpression Effet toxique Projection
L'immeuble est situé en secteur d'expropriation ou de délaissement oui non X
L'immeuble est situé en zone de prescription oui non X
Si la transaction concerne un logement, les travaux prescrits ont été réalisés oui non
Si la transaction ne concerne pas un logement, l'information sur le type de risques auxquels l'immeuble oui non est exposé ainsi que leur gravité, probabilité et cinétique, est jointe à l'acte de vente ou au contrat de location
6. Situation de l'immeuble au regard du zonage réglementaire pour la prise en compte de la sismicité
en application des articles R 563-4 et D 563-8-1 du code de l'environnement modifiés par l'Arrêté et les Décrets n°2010-1254 / 2010-1255 du 22 octobre 2010.
L'immeuble est situé dans une commune de sismicité : Forte Moyenne Modérée Faible Très faible
zone 0 xxxx 0 xxxx 0 xxxx 0 xxxx 0 X
0. Situation de l'immeuble au regard du zonage réglementaire pour la prise en compte du potentiel radon
en application des articles R125-23 du code de l'environnement et R1333-29 du code de la santé publique, modifiés par le Décret n°2018-434 du 4 juin 2018
L'immeuble se situe dans une Zone à Potentiel Radon : Significatif Faible avec facteur de transfert Faible
zone 3 zone 2 zone 1 X
8. Information relative aux sinistres indemnisés par l'assurance suite à une catastrophe naturelle
L'information est mentionnée dans l'acte authentique constatant la réalisation de la vente oui non
9. Situation de l'immeuble au regard de la pollution des sols
L'immeuble est situé dans un Secteur d'Information sur les Sols (SIS) oui non X
Aucun SIS ne concerne cette commune à ce jour
Parties concernées
Xxxxxxx Xxx XXXXX Xxxxxxx xxx XXXXX à le
Acquéreur à le
Attention ! S'ils n'impliquent pas d'obligation ou d'interdiction réglementaire particulière, les aléas connus ou prévisibles qui peuvent être signalés dans les divers documents d'information préventive et concerner le bien immobilier, ne sont pas mentionnés par cet état.
23 mars 2022 0, Xxx xx xx Xxxxxxxx
00000 Xxxxxx Commande Xxx XXXXX Xxxxxxx xxx XXXXX
Réf. Xxx XXXXX Xxxxxxx xxx XXXXX - Xxxx 5/8
Déclaration de sinistres indemnisés
en application des articles L 125-5 et R125-26 du Code de l'environnement
Si, à votre connaissance, l'immeuble a fait l'objet d'une indemnisation suite à des dommages consécutifs à des événements ayant eu pour conséquence la publication d'un arrêté de catastrophe naturelle, cochez ci-dessous la case correspondante dans la colonne "Indemnisé".
Arrêtés CATNAT sur la commune
Risque | Début | Fin | JO | Indemnisé |
Par une crue (débordement de cours d'eau) - Par ruissellement et coulée de boue | 28/05/2015 | 05/06/2016 | 16/06/2016 | |
Par une crue (débordement de cours d'eau) - Par ruissellement et coulée de boue Mouvement de terrain | 25/12/1999 | 29/12/1999 | 30/12/1999 | |
Par une crue (débordement de cours d'eau) - Par ruissellement et coulée de boue | 08/04/1983 | 10/04/1983 | 18/05/1983 |
Préfecture : Melun - Seine-et-Marne Commune : Chevru
Adresse de l'immeuble : 0, Xxx xx xx Xxxxxxxx 00000 Xxxxxx
Xxxxxx
Etabli le :
Vendeur :
Xxx XXXXX Xxxxxxx xxx XXXXX
Acquéreur :
Prescriptions de travaux
23 mars 2022 0, Xxx xx xx Xxxxxxxx
00000 Xxxxxx Commande Xxx XXXXX Xxxxxxx xxx XXXXX
Réf. Xxx XXXXX Xxxxxxx xxx XXXXX - Xxxx 6/8
Aucune
Documents de référence
Aucun
Conclusions
L'Etat des Risques délivré par DHS SARL en date du 23/03/2022 fait apparaître que la commune dans laquelle se trouve le bien est soumise à l'obligation en matière d'Information Acquéreur Locataire sur les Risques Naturels et Technologiques.
Selon les informations mises à disposition dans le Dossier Communal d'Information, le BIEN n'est concerné par aucun risque réglementé.
Le BIEN est également concerné par :
- L'aléa retrait-gonflement des argiles (aléa Moyen)
Sommaire des annexes
> Arrêté Préfectoral départemental n° 2018/DDT/SEPR/268 du 11 décembre 2018
> Cartographie :
- Cartographie réglementaire de la sismicité
A titre indicatif, ces pièces sont jointes au présent rapport.
ETAT DES INSTALLATIONS ELECTRIQUES INTERIEURES DES IMMEUBLES À USAGE D’HABITATION
Selon l’arrêté du 28 septembre 2017 définissant le modèle et la méthode de réalisation de l’état de l’installation intérieure d’électricité dans les immeubles à usage d’habitation
N° de dossier : 0000-00-000 Xxx XXXXX Xxxxxxx xxx XXXXX
1 - Désignation et description du local d’habitation et de ses dépendances
• Localisation du ou des bâtiments Département : SEINE ET MARNE Commune : 77320 CHEVRU Adresse : 0 Xxx xx xx Xxxxxxxx Référence cadastrale : C – 477-479 Désignation et situation du ou des lots de (co)propriété : Destination du bien : Vente Type de bâtiment Maison individuelle Année de construction 1940 Année de l’installation + de 15 ans Distributeur d’électricité EDF | ||
• Identification des parties du bien n’ayant pu être visitées et justification | ||
1er | Combles-Grenier | Pas d'accès |
2ème | Combles | Trappe condamnée |
2 - Identification du donneur d’ordre / propriétaire
Désignation du propriétaire
Nom et prénom : Xxx XXXXX née XXXXX Xxxxxxx Xxxxxxx : 0, Xxx xx xx Xxxxxxxx
00000 XXXXXX
Désignation du donneur d’ordre
Nom : Xxx XXXXX née XXXXX Xxxxxxx
Adresse : 0, Xxx xx xx Xxxxxxxx
00000 XXXXXX
Qualité du donneur d’ordre (sur déclaration de l'intéressé) : Propriétaire
3 - Identification de l'opérateur ayant réalisé l’intervention et signé le rapport
Identité de l'opérateur de diagnostic : Prénom et nom : Xxxxxxxxx XXXXX Xxxxxx sociale et nom de l’entreprise : D-H-S Sarl Adresse : 00, Xxx xx Xxxx Xxxxxxxxx 00000 XXXX N° Siret : 440 407 773 |
Désignation de la compagnie d’assurance : AXA Police n° 10593403404 (31/12/2021) N° de police et date de validité : 10593403404 - 31 décembre 2021 |
Le présent rapport est établi par une personne dont les compétences sont certifiées par : Organisme de certification : B.2.C N°540 Adresse de l’organisme 00, Xxx xxx Xxxx 00000 XXXXXXXXXXX Numéro de certification : 540 Date de validité du certificat de compétence : 23/02/2022 |
Références réglementaires :
• Arrêté du 28 septembre 2017 définissant le modèle et la méthode de réalisation de l’état de l’installation intérieure d’électricité dans les immeubles à usage d’habitation.
• Décret n° 2016-1105 du 11 août 2016 relatif à l’état de l’installation intérieure d’électricité dans les logements en locations
• Loi n° 2014-366 du 24 mars 2014 pour l’accès au logement et un urbanisme rénové dite loi « Alur »
• Arrêté du 2 décembre 2011 modifiant l’arrêté du 8 juillet 2008 modifié définissant les critères de certification des compétences des personnes physiques réalisant l’état de l’installation intérieure d’électricité et les critères d’accréditation des organismes de certification.
• Décret n° 2011-413 du 13 avril 2011 relatif à la durée de validité du diagnostic de performance énergétique
• Décret n° 2010-301 du 22 mars 2010 modifiant le décret n° 72-1120 du 14 décembre 1972 relatif au contrôle et à l'attestation de la conformité des installations électriques intérieures aux règlements et normes de sécurité en vigueur
• Arrêté du 10 décembre 2009 modifiant l’arrêté du 8 juillet 2008 définissant les critères de certification des compétences des personnes physiques réalisant l’état de l’installation intérieure d’électricité et les critères d’accréditation des organismes de certification.
• Décret n° 2010-1200 du 11 octobre 2010 pris pour l'application de l'article L. 271-6 du code de la construction et de l'habitation.
• Arrêté du 8 juillet 2008 définissant les critères de certification des compétences des personnes physiques réalisant l'état de l'installation intérieure d'électricité et les critères d'accréditation des organismes de certification.
• Décret n° 2008-384 du 22 avril 2008 relatif à l'état de l'installation intérieure d'électricité dans les immeubles à usage d'habitation
• Articles L 271-4 à L 271-6 du Code de la Construction et de l’Habitation
• Article L134-7 du Code la construction et de l’habitation Modifié par Loi n°2006-1772 du 30 décembre 2006
- art. 59
• Décret n°2006-1114 du 5 septembre 2006 relatif aux diagnostics techniques immobiliers et modifiant le code de la construction et de l’habitation et le code de la santé publique.
• Ordonnance n°2005-655 du 8 juin 2005 relative au logement et à la construction
• Décret n°2001-222 du 6 mars 2001 modifiant le décret n° 72-1120 du 14 décembre 1972 relatif au contrôle et à l'attestation de la conformité des installations électriques intérieures aux règlements et normes de sécurité en vigueur.
• Décret n°2001-222 du 6 mars 2001 modifiant le décret n° 72-1120 du 14 décembre 1972 relatif au contrôle et à l'attestation de la conformité des installations électriques intérieures aux règlements et normes de sécurité en vigueur.
4 / Limites du domaine d’application du diagnostic
Le diagnostic porte uniquement sur l’ensemble de l’installation intérieure d’électricité à basse tension des locaux à usage d’habitation située en aval de l’appareil général de commande et de protection de cette installation. Il ne concerne pas les matériels d’utilisation amovibles, ni les circuits internes des matériels d’utilisation fixes, destinés à être reliés à l’installation électrique fixe, ni les installations de production ou de stockage par batterie d’énergie électrique du générateur jusqu’au point d’injection au réseau public de distribution d’énergie ou au point de raccordement à l’installation intérieure. Il ne concerne pas non plus les circuits les circuits de téléphonie, de télévision, de réseau informatique, de vidéophonie, de centrale d’alarme, etc., lorsqu’ils sont alimentés en régime permanent sous une tension inférieure ou égale à 50 V en courant alternatif et 120 V en courant continu.
L’intervention de l’opérateur de diagnostic ne porte que sur les constituants visibles, visitables, de l’installation au moment du diagnostic. Elle s’effectue sans déplacement de meubles ni démontage de l’installation électrique (hormis le démontage des capots des tableaux électriques lorsque cela est possible) ni destruction des isolants des câbles.
Des éléments dangereux de l’installation intérieure d’électricité peuvent ne pas être repérés, notamment :
– Les parties de l’installation électrique non visibles (incorporées dans le gros œuvre ou le second œuvre ou masquées par du mobilier) ou nécessitant un démontage ou une détérioration pour pouvoir y accéder (boîtes de connexion, conduits, plinthes, goulottes, huisseries, éléments chauffants incorporés dans la maçonnerie, luminaires des piscines plus particulièrement);
– Les parties non visibles ou non accessibles des tableaux électriques après démontage de leur capot ;
– Inadéquation entre le courant assigné (calibre) des dispositifs de protection contre les surintensités et la section des conducteurs sur toute la longueur des circuits.
5 – Conclusion relative à l’évaluation des risques pouvant porter atteinte à la sécurité des personnes
🞏 L’installation intérieure d’électricité ne comporte aucune anomalie
🗹 L’installation intérieure d’électricité comporte une ou des anomalies
Anomalies avérées selon les domaines suivants
🞏 1. Appareil général de commande et de protection et son accessibilité.
🗹 2. Dispositif de protection différentielle à l’origine de l’installation / Prise de terre et installation de mise à la terre.
🗹 3. Dispositif de protection contre les surintensités, adapté à la section des conducteurs, sur chaque circuit.
🞏 4. La liaison équipotentielle et installation électrique adaptées aux conditions particulières des locaux contenant une douche ou une baignoire.
🗹 5 Matériels électriques présentant des risques de contacts directs avec des éléments sous tension – Protection mécanique des conducteurs
🗹 6. Matériels électriques vétustes, inadaptés à l’usage. Installations particulières
🞏 X0, X0. Appareils d’utilisation situés dans des parties communes et alimentés depuis la partie privative ou inversement.
🞏 P3. Piscine privée, ou bassin de fontaine. Informations complémentaires
🗹 IC : Socles de prise de courant, dispositif à courant différentiel résiduel à haute sensibilité.
Libellé (1) et localisation (*) des anomalies | Libellé (1) des mesures compensatoires (2) correctement mises en œuvre | Photo | |
2 - Dispositif de protection différentielle à l'origine de l'installation / Prise de terre et installation de mise à la terre | |||
(B3.3.6 a1) Au moins un socle de prise de courant ne comporte pas de broche de terre. Localisation/Commentaire : Prises sans terre : (Salle d'eau) | |||
(B3.3.6 a2) Au moins un socle de prise de courant comporte une broche de terre non reliée à la terre. Localisation/Commentaire : Prises : (Chambre-3-4) | |||
3 - Dispositif de protection contre les surintensités adapté à la section des conducteurs, sur chaque circuit | |||
(B4.3 f3) A l’intérieur du tableau, la section d’au moins un conducteur alimentant les dispositifs de protection n’est pas adaptée au courant de réglage du disjoncteur de branchement. Localisation/Commentaire : Tableau : (Cuisine d été) | |||
5 - Matériels électriques présentant des risques de contacts directs avec des éléments sous tension - Protection mécanique des conducteurs | |||
(B7.3 a) L’enveloppe d’au moins un matériel est manquante ou détériorée. Localisation/Commentaire : Luminaire extérieur |
(B7.3 d) L’installation électrique comporte au moins une connexion avec une partie active nue sous tension accessible. Localisation/Commentaire : Dominos : Divers points | |||
6 - Matériels électriques vétustes, inadaptés à l'usage | |||
(B8.3 c) L’installation comporte au moins un conducteur actif repéré par la double coloration vert et jaune. Localisation/Commentaire : (Cuisine d été) | |||
5 - Matériels électriques présentant des risques de contacts directs avec des éléments sous tension - Protection mécanique des conducteurs | |||
(B8.3 e) Au moins un conducteur isolé n’est pas placé sur toute sa longueur dans un conduit, une goulotte, une plinthe ou une huisserie, en matière isolante ou métallique, jusqu’à sa pénétration dans le matériel électrique qu’il alimente. Localisation/Commentaire : Fils apparents : Divers points |
(1) Libellés repris de la norme NF C16-600 de juillet 2017
(2) Une mesure compensatoire est une mesure qui permet de limiter un risque de choc électrique lorsque les règles fondamentales de sécurité ne peuvent s’appliquer pleinement pour des raisons soit économiques, soit techniques, soit administratives. Le libellé de la mesure compensatoire est indiqué en regard de l’anomalie concernée.
(*) Avertissement : la localisation des anomalies n’est pas exhaustive. Il est admis que l’opérateur de diagnostic ne procède à la localisation que d’une anomalie par point de contrôle. Toutefois, cet avertissement ne concerne pas le test de déclenchement des dispositifs différentiels.
Libellé des informations complémentaire sur les socles de prise de courant, dispositif à courant différentiel résiduel à haute sensibilité |
(B11 a2) Une partie seulement de l’installation électrique est protégée par au moins un dispositif différentiel à haute sensibilité <= 30 mA. |
(B11 b2) Au moins un socle de prise de courant n'est pas de type à obturateur. |
(B11 c1) L’ensemble des socles de prise de courant possède un puits de 15 mm. |
6 – Avertissement particulier
Libellé (1) des points de contrôle n’ayant pu être vérifiés | Motifs (2) |
(B5.3 b) LES : Section satisfaisante du conducteur de liaison équipotentielle supplémentaire. | Non vérifiable |
(B5.3 d) LES : Qualité satisfaisante des connexions du conducteur de la liaison équipotentielle supplémentaire aux éléments conducteurs et aux masses. | Non vérifiable |
(1) Libellés repris de la norme NF C16-600 de juillet 2017
(2) Motifs de l’impossibilité de vérification des points de contrôle
Sans Objet
Libellé (1) des constatations diverses
(1) Libellés des constatations diverses repris de la norme NF C16-600 de juillet 2017
Les constatations diverses concernent
🞏 Des installations, parties d’installations ou spécificités non couvertes par le présent diagnostic.
🗹 Des points de contrôle n’ayant pu être vérifiés.
🞏 Des constatations concernant l’installation électrique et/ou son environnement.
Complément d’information sur les constatations diverses
Sans Objet
7 – Conclusion relative à l’évaluation des risques relevant du devoir de conseil de professionnel
Sans objet
8 – Explicitations détaillées relatives aux risques encourus
Description des risques encourus en fonction des anomalies identifiées |
Appareil général de commande et de protection cet appareil, accessible à l'intérieur du logement, permet d'interrompre, en cas d'urgence, en un lieu unique, connu et accessible, la totalité de la fourniture de l'alimentation électrique. Son absence, son inaccessibilité ou un appareil inadapté ne permet pas d'assurer cette fonction de coupure en cas de danger (risque d’électrisation, voire d’électrocution), d'incendie ou d'intervention sur l'installation électrique |
Dispositif de protection différentielle à l’origine de l’installation ce dispositif permet de protéger les personnes contre les risques de choc électrique lors d'un défaut d'isolement sur un matériel électrique. Son absence ou son mauvais fonctionnement peut être la cause d’une électrisation, voire d’une électrocution. |
Prise de terre et installation de mise à la terre Ces éléments permettent, lors d’un défaut d’isolement sur un matériel électrique, de dévier à la terre le courant de défaut dangereux qui en résulte. L’absence de ces éléments ou leur inexistence partielle, peut être la cause d’une électrisation, voire d’une électrocution. |
Dispositif de protection contre les surintensités Les disjoncteurs divisionnaires ou coupe-circuit à cartouche fusible, à l’origine de chaque circuit, permettent de protéger les conducteurs et câbles électriques contre les échauffements anormaux dus aux surcharges ou courts-circuits. L’absence de ces dispositifs de protection ou leur calibre trop élevé peut être à l’origine d’incendies. |
Liaison équipotentielle dans les locaux contenant une baignoire ou une douche Elle permet d’éviter, lors d’un défaut, que le corps humain ne soit traversé par un courant électrique dangereux. Son absence privilégie, en cas de défaut, l'écoulement du courant électrique par le corps humain, ce qui peut être la cause d'une électrisation, voire d'une électrocution. |
Conditions particulières : les locaux contenant une baignoire ou une douche Les règles de mise en œuvre de l’installation électrique à l’intérieur de tels locaux permettent de limiter le risque de chocs électriques, du fait de la réduction de la résistance électrique du corps humain lorsque celui-ci est mouillé ou immergé. Le non-respect de celles-ci peut être la cause d’une électrisation, voire d’une électrocution. |
Matériels électriques présentant des risques de contact direct Les matériels électriques dont des parties nues sous tension sont accessibles (matériels électriques anciens, fils électriques dénudés, bornes de connexion non placées dans une boite équipée d’un capot, matériels électriques cassés, …) présentent d’importants risques d’électrisation, voire d’électrocution. |
Matériels électriques vétustes ou inadaptés à l’usage Ces matériels électriques lorsqu’ils sont trop anciens n’assurent pas une protection satisfaisante contre l’accès aux parties nues sous tension ou ne possèdent plus un niveau d’isolement suffisant. Lorsqu’ils ne sont pas adaptés à l’usage que l’on veut en faire, ils deviennent très dangereux lors de leur utilisation. Dans les deux cas, ces matériels présentent d'importants risques d’électrisation, voire d’électrocution. |
Appareils d’utilisation situés dans des parties communes et alimentés depuis les parties privatives Lorsque l’installation électrique issue de la partie privative n’est pas mise en œuvre correctement, le contact d’une personne avec la masse d’un matériel électrique en défaut ou une partie active sous tension, peut être la cause d’électrisation, voire d’électrocution. |
Piscine privée ou bassin de fontaine Les règles de mise en œuvre de l'installation électrique et des équipements associés à la piscine ou au bassin de fontaine permettent de limiter le risque de chocs électriques, du fait de la réduction de la résistance électrique du corps humain lorsque celui-ci est mouillé ou immergé. |
Informations complémentaires |
Dispositif(s) différentiel(s) à haute sensibilité protégeant tout ou partie de l’installation électrique : |
L’objectif est d’assurer rapidement la coupure du courant de l’installation électrique ou du circuit concerné, dès l’apparition d’un courant de défaut même de faible valeur. C’est le cas notamment lors de la défaillance occasionnelle (telle que l’usure normale ou anormale des matériels, l’imprudence ou le défaut d’entretien, la rupture du conducteur de mise à la terre d’un matériel électrique…) des mesures classiques de protection contre les risques d’électrisation, voire d’électrocution. |
Socles de prise de courant de type à obturateurs : |
L’objectif est d’éviter l’introduction, en particulier par un enfant, d’un objet dans une alvéole d’un socle de prise de courant sous tension pouvant entrainer des brûlures graves et/ou l’électrisation, voire l’électrocution. |
Socles de prise de courant de type à puits (15 mm minimum) : |
La présence de puits au niveau d’un socle de prise de courant évite le risque d’électrisation, voire d’électrocution, au moment de l’introduction des fiches mâles non isolées d’un cordon d’alimentation. |
Règles élémentaires de sécurité et d’usage à respecter
L’électricité constitue un danger invisible, inodore et silencieux et c’est pourquoi il faut être vigilant quant aux risques qu’elle occasionne (incendie, électrisation, électrocution). Restez toujours attentif à votre installation électrique, vérifiez qu’elle soit et reste en bon état.
Pour limiter les risques, il existe des moyens de prévention simples :
• Ne jamais manipuler une prise ou un fil électrique avec des mains humides
• Ne jamais tirer sur un fil électrique pour le débrancher
• Débrancher un appareil électrique avant de le nettoyer
• Ne jamais toucher les fiches métalliques d'une prise de courant
• Ne jamais manipuler un objet électrique sur un sol humide ou mouillé
Le présent rapport est établi par une personne dont les compétences sont certifiées par : B.2.C N°540.
Adresse de l’organisme certificateur : 00, Xxx xxx Xxxx 00000 XXXXXXXXXXX
Le présent rapport est valable jusqu’en 16/08/2024 pour la vente.
Cachet de l'entreprise Dates de visite et d'établissement de l'état
Visite effectuée le 17 Août 2021 État rédigé à EVRY
Nom prénom : Xxxxxxxxx XXXXX
Signature de l’opérateur
La société D-H-S Sarl atteste que ni ses employés, ni elle-même, ne reçoit, directement ou indirectement, de la part d’une entreprise pouvant réaliser des travaux sur les ouvrages, installations ou équipements sur lesquels porte sa prestation, aucun avantage ni rétribution, sous quelque forme que ce soit.
Annexes
Attestation de compétence Attestation d’assurance
Attestation sur l’honneur
Je soussigné Xxxxxxxxx XXXXX de la société D-H-S Sarl atteste sur l'honneur être en situation régulière au regard des articles cités ci-dessous :
« Art. R. 271-1. - Pour l'application de l'article L. 271-6, il est recouru soit à une personne physique dont les compétences ont été certifiées par un organisme accrédité dans le domaine de la construction, soit à une personne morale employant des salariés ou constituée de personnes physiques qui disposent des compétences certifiées dans les mêmes conditions.
« La certification des compétences est délivrée en fonction des connaissances techniques dans le domaine du bâtiment et de l'aptitude à établir les différents éléments composant le dossier de diagnostic technique.
« Les organismes autorisés à délivrer la certification des compétences sont accrédités par un organisme signataire de l'accord européen multilatéral pris dans le cadre de la coordination européenne des organismes d'accréditation. L'accréditation est accordée en considération de l'organisation interne de l'organisme en cause, des exigences requises des personnes chargées des missions d'examinateur et de sa capacité à assurer la surveillance des organismes certifiés. Un organisme certificateur ne peut pas établir de dossier de diagnostic technique.
« Des arrêtés des ministres chargés du logement, de la santé et de l'industrie précisent les modalités d'application du présent article.
« Art. R. 271-2. - Les personnes mentionnées à l'article L. 271-6 souscrivent une assurance dont le montant de la garantie ne peut être inférieur à 300 000 euros par sinistre et 500 000 euros par année d'assurance.
« Art. R .271-3. - Lorsque le propriétaire charge une personne d'établir un dossier de diagnostic technique, celle-ci lui remet un document par lequel elle atteste sur l'honneur qu'elle est en situation régulière au regard des articles L. 271-6 et qu'elle dispose des moyens en matériel et en personnel nécessaires à l'établissement des états, constats et diagnostics composant le dossier.
« Art. R. 000-0. - Xxx puni de l'amende prévue pour les contraventions de la cinquième classe le fait :
« a) Pour une personne d'établir un document prévu aux 1° à 4° et au 6° de l'article L. 271-4 sans respecter les conditions de compétences, d'organisation et d'assurance définies par les articles R. 271-1 et R. 271-2 et les conditions d'impartialité et d'indépendance exigées à l'article L. 271-6 ;
« b) Pour un organisme certificateur d'établir un dossier de diagnostic technique en méconnaissance de l'article R. 271-1 ;
« c) Pour un vendeur de faire appel, en vue d'établir un document mentionné aux 1° à 4° et au 6° de l'article L. 271-4, à une personne qui ne satisfait pas aux conditions de compétences, d'organisation et d'assurance définies aux articles R. 271-1 et R. 271-2 ou aux conditions d'impartialité et d'indépendance exigées à l'article L. 271-6.
« La récidive est punie conformément aux dispositions de l'article 132-11 du code pénal. »
Xxxxxxxxx XXXXX
Rapport de mission de repérage des matériaux et produits contenant de l’amiante.
Constat établi à l’occasion de la vente d’un immeuble bâti
Rapport : 0000-00-000 Xxx XXXXX Xxxxxxx xxx XXXXX
Date d’intervention : 17/08/2021
Xxxxxxxx xxxx xxxxxx
Xxxxxxx 0 Xxx xx xx Xxxxxxxx 00000 XXXXXX
Bâtiment : Escalier : Niveau :
N° de porte :
N° de Lot :
Section cadastrale :
Descriptif complémentaire Fonction principale du bâtiment
Habitation (Maisons individuelles)
Date de construction du bien : 1940
Date du permis de construire :
Conclusion
Dans le cadre de la mission décrit en tête de rapport, il n'a pas été repéré de matériaux et produits contenant de l'amiante définis dans la liste A.
Dans le cadre de la mission décrit en tête de rapport, il n'a pas été repéré de matériaux et produits contenant de l'amiante définis dans la liste B.
Réserves et/ou investigations complémentaires demandées
Sans objet
Constatations diverses
NEANT
Liste des matériaux et produits repérés
Liste A | |
Composants à sonder ou à vérifier | Prélèvements/Observations |
Flocages Calorifugeages Faux plafonds | Sans objet Sans objet Sans objet |
Liste B | |||
Éléments de construction | Composant de la construction | Partie du composant inspecté ou sondé | Prélèvements/Observations |
1 - Parois verticales intérieures | |||
Murs et cloisons « en dur » et poteaux (périphériques et intérieurs). | Sans objet | ||
Cloisons (légères et préfabriquées), gaines et coffres. | Sans objet |
Liste B | |||
Éléments de construction | Composant de la construction | Partie du composant inspecté ou sondé | Prélèvements/Observations |
2 - Planchers et plafonds | |||
Planchers | Sans objet | ||
Plafonds, poutres et charpentes, gaines et coffres | Sans objet | ||
3 - Conduits, canalisations et équipements intérieurs | |||
Conduits de fluides (air, eau, autres fluides…) | Sans objet | ||
Clapets / Volets coupe-feu | Sans objet | ||
Porte coupe-feu | Sans objet | ||
Vide-ordure | Sans objet | ||
Autres matériaux hors liste | Sans objet | ||
4 - Éléments extérieurs | |||
Toitures. | Sans objet | ||
Bardages et façades légères. | Sans objet | ||
Conduits en toiture et façade. | Sans objet | ||
Autres matériaux hors liste | Sans objet |
Le propriétaire
Xxx XXXXX née XXXXX Xxxxxxx Xxxxxxx :
0, Xxx xx xx Xxxxxxxx 00000 XXXXXX
Le donneur d’ordre
Qualité : Propriétaire
Nom : Xxx XXXXX née XXXXX Xxxxxxx
Téléphone : Email :
Adresse :
0, Xxx xx xx Xxxxxxxx 00000 XXXXXX
Date du contrat de mission de repérage ou de l’ordre de mission (date de commande) : 07/07/2021
Opérateur(s) de repérage ayant participé au repérage
Entreprise de diagnostic D-H-S Sarl
00, Xxx xx Xxxx Xxxxxxxxx 00000 XXXX
Tél : 00 00 00 00 00 / 00 00 00 00 00
Fax : 00 00 00 00 00
N° SIRET 440 407 773
Assurance Responsabilité Civile Professionnelle
AXA Police n° 10593403404 (31/12/2021)
Nom et prénom de l’opérateur Xxxxxxxxx XXXXX
Accompagnateur
Organisme certificateur
Le présent rapport est établi par une personne dont les compétences sont certifiées par : Nom de l’organisme B.2.C N°540
Adresse 00, Xxx xxx Xxxx 00000 XXXXXXXXXXX
N° de certification 540
Date d’échéance 22/02/2022
Le(s) signataire(s)
Personne(s) signataire(s) autorisant la diffusion du rapport
NOM | Prénom | Fonction |
Le rapport de repérage
Périmètre du repérage : Vente
Date d’émission du rapport de repérage :
Diffusion : le présent rapport de repérage ne peut être reproduit que dans sa totalité, annexes incluses
Sommaire du rapport
IMMEUBLE BÂTI VISITÉ 1
CONCLUSION 1
LE PROPRIÉTAIRE 2
LE DONNEUR D’ORDRE 2
OPÉRATEUR(S) DE REPÉRAGE AYANT PARTICIPÉ AU REPÉRAGE 2
LE(S) SIGNATAIRE(S) 2
LE RAPPORT DE REPÉRAGE 2
LES CONCLUSIONS 3
LE(S) LABORATOIRE(S) D’ANALYSES 4
RÉFÉRENCES RÉGLEMENTAIRES ET NORMATIVES 4
LA MISSION DE REPÉRAGE 5
CONDITIONS DE RÉALISATION DU REPÉRAGE 7
RÉSULTATS DÉTAILLÉS DU REPÉRAGE 7
SIGNATURES 8
ANNEXES 9
Nombre de pages de rapport : 5 page(s)
Nombre de pages d’annexes : 2 page(s)
Les conclusions
Avertissement : La présente mission de repérage ne répond pas aux exigences prévues pour les missions de repérage des matériaux et produits contenant de l’amiante avant démolition d’immeuble (liste C) ou avant réalisation de travaux (liste C) dans l'immeuble concerné et son rapport ne peut donc pas être utilisé à ces fins.
Nota : Selon l’article 6 de l’arrêté du 12 décembre 2012, en présence d’amiante et sans préjudice des autres dispositions réglementaires, l’opérateur de repérage mentionne la nécessité d’avertir toute personne pouvant intervenir sur où à proximité des matériaux et produits concernés ou de ceux les recouvrant où les protégeant.
Dans le cadre de la mission décrit en tête de rapport, il n'a pas été repéré de matériaux et produits contenant de l'amiante définis dans la liste A.
Dans le cadre de la mission décrit en tête de rapport, il n'a pas été repéré de matériaux et produits contenant de l'amiante définis dans la liste B.
Réserves et/ou investigations complémentaires demandées
Sans objet
Liste des éléments ne contenant pas d’amiante après analyse
Matériaux et produits | Localisation | Numéro de prélèvement | Numéro d'analyse | Photo |
Sans Objet |
Matériaux et produits contenant de l'amiante
Matériaux et produits | Localisation | Résultat de l’évaluation de l’état de conservation (1) | Sur avis de l'opérateur | Après analyse |
Sans Objet |
(1) Résultat de l’évaluation de l’état de conservation :
Matériaux et produits de la liste A
N = 1 Bon état de conservation – Une nouvelle vérification de l’état de conservation doit être effectuée dans 3 ans
N = 2 État intermédiaire de conservation - Une mesure d'empoussièrement doit être réalisée. Si le résultat est < à 5 f/l, Cela équivaut à un score 1. Si le résultat est > à 5 f/l, cela équivaut à un score 3.
N = 3 Matériaux dégradés - Mesures conservatoires avant travaux par protection du site - Travaux de confinement ou de retrait - Inspection visuelle et mesure d'empoussièrement.
Matériaux et produits de la liste B
EP = évaluation périodique ; AC1 = action corrective de premier niveau ; AC2 = action corrective de second niveau
Matériaux et produits susceptibles de contenir l'amiante
Matériaux et produits | Localisation | Raison de l’impossibilité de conclure |
Sans Objet |
Liste des locaux et éléments non visités
Concerne les locaux ou parties de locaux, composants ou parties de composants qui n’ont pu être visités et pour lesquels des investigations complémentaires sont nécessaires afin de statuer sur la présence ou l’absence d’amiante.
Locaux non visités
Étage | Locaux | Raisons |
1er 2ème | Combles-Grenier Combles | Pas d'accès Trappe condamnée |
Éléments non visités
Local | Partie de local | Composant | Partie de composant | Xxxxxx |
Sans Objet |
Conformément aux dispositions de l'article 3 de l'arrêté du 12 décembre 2012, les obligations réglementaires prévues aux articles R. 1334-15 à R. 1334-18 du code la santé publique ne sont pas respectées.
Le(s) laboratoire(s) d’analyses
Sans objet
Références réglementaires et normatives
Textes réglementaires
• Arrêté du 26 juin 2013 modifiant l’arrêté du 12 décembre 2012 relatif aux critères d’évaluation de l’état de conservation des matériaux et produits de la liste A contenant de l’amiante et au contenu du rapport de repérage et modifiant l’arrêté du 12 décembre 2012 relatif aux critères d’évaluation de l’état de conservation des matériaux et produits de la liste B contenant de l’amiante et du risque de dégradation lié à l’environnement ainsi que le contenu du rapport de repérage.
• Articles L. 1334-13, R. 1334-20, R. 1334-21, R. 1334-23, R. 1334-24, R. 1334-25, R. 1334-27, R. 1334-28, R. 1334-29
et R. 1334-29-4 du Code de la Santé Publique
• Annexe 13.9 du Code de la Santé Publique, liste A et B
• Arrêté du 12 décembre 2012 relatif aux critères d’évaluation de l’état de conservation des matériaux et produits de la liste A contenant de l’amiante et au contenu du rapport de repérage
• Arrêté du 12 décembre 2012 relatif aux critères d’évaluation de l’état de conservation des matériaux et produits de la liste B contenant de l’amiante et au contenu du rapport de repérage
• Décret 2012-639 du 4 mai 2012 relatif aux risques d’exposition à l’amiante
• Décret 2011-629 du 3 juin 2011 relatif à la protection de la population contre les risques sanitaires liés à une exposition à l’amiante dans les immeubles bâtis
• Décret n° 2010-1200 du 11 octobre 2010 pris pour l'application de l'article L. 271-6 du code de la construction et de l'habitation.
• Articles L 271-4 à L 271-6 du Code de la Construction et de l’Habitation
• Arrêté du 21 novembre 2006 définissant les critères de certification des compétences des personnes physiques opérateurs de repérage et de diagnostic amiante dans les immeubles bâtis et les critères d’accréditation des organismes de certification
Norme(s) utilisée(s)
• Xxxxx XX X 00-000 x’Xxxx 0000: « Repérage des matériaux et produits contenant de l’amiante dans les immeubles bâtis » et son guide d’application GA X 46-034
La mission de repérage
L’objet de la mission
Dans le cadre de la vente de l’immeuble bâti, ou de la partie d’immeuble bâti, décrit en page de couverture du présent rapport, la mission consiste à repérer dans cet immeuble, ou partie d’immeuble, certains matériaux ou produits contenant de l’amiante conformément à la législation en vigueur.
Pour s’exonérer de tout ou partie de sa garantie des vices cachés, le propriétaire vendeur annexe à la promesse de vente ou au contrat de vente le présent rapport.
L’inspection réalisée ne porte que sur l’état visuel des matériaux et produits des composants de la construction, sans démolition, sans dépose de revêtement, ni manipulation importante de mobilier, et est limitée aux parties visibles et accessibles à la date de l’inspection.
Clause de validité
Seule l'intégralité du rapport original peut engager la responsabilité de la société D-H-S Sarl.
Le présent rapport ne peut en aucun cas être utilisé comme un repérage préalable à la réalisation de travaux.
Le cadre de la mission
L’intitulé de la mission
« Repérage en vue de l’établissement du constat établi à l’occasion de la vente de tout ou partie d’un immeuble bâti ».
Le cadre réglementaire de la mission
L’article L 271-4 du code de la construction et de l’habitation prévoit qu’en cas de vente de tout ou partie d’un immeuble bâti, un dossier de diagnostic technique, fourni par le vendeur, est annexé à la promesse de vente ou, à défaut de promesse, à l’acte authentique de vente. En cas de vente publique, le dossier de diagnostic technique est annexé au cahier des charges.» Le dossier de diagnostic technique comprend, entre autres, « l’état mentionnant la présence ou l’absence de matériaux ou produits contenant de l’amiante prévu à l’article L. 1334-13 du code de la santé publique ».
La mission, s’inscrivant dans ce cadre, se veut conforme aux textes réglementaires de référence mentionnée en page de couverture du présent rapport.
L’objectif de la mission
« Le repérage a pour objectif d’identifier et de localiser les matériaux et produits contenant de l’amiante mentionnés dans l’annexe 13.9 du Code la santé publique. ».
Ces matériaux et produits étant susceptibles de libérer des fibres d’amiante en cas d’agression mécanique résultant de l’usage des locaux (chocs et frottements) ou générée à l’occasion d’opérations d’entretien ou de maintenance.
Le programme de repérage de la mission réglementaire
Le programme de repérage est défini à minima par l’Annexe 13.9 du Code de la santé publique modifié (Liste A et B) et se limite pour une mission normale à la recherche de matériaux et produits contenant de l'amiante dans les composants et parties de composants de la construction y figurant.
Annexe 13.9 du Code de la santé publique
Liste A mentionnée à l’article R1334-20 du Code de la santé publique |
Composants à sonder ou à vérifier |
Flocages Calorifugeages Faux plafonds |
Liste B mentionnée à l’article R1334-21 du Code de la santé publique | |
Composant de la construction | Partie du composant à vérifier ou à sonder |
1 - Parois verticales intérieures | |
Murs et cloisons « en dur » et poteaux (périphériques et intérieurs). | Enduits projetés, revêtements durs (plaques menuiserie, amiante-ciment) et entourages de poteaux (carton, amiante- ciment, matériau sandwich, carton + plâtre), coffrage perdu. |
Cloisons (légères et préfabriquées), gaines et coffres. | Enduits projetés, panneaux de cloisons. |
2 - Planchers et plafonds | |
Plafonds, poutres et charpentes, gaines et coffres | Enduits projetés, panneaux collés ou vissés |
Planchers | Dalles de sol |
3 - Conduits, canalisations et équipements intérieurs | |
Conduits de fluides (air, eau, autres fluides…) | Conduits, enveloppes de calorifuges |
Clapets / Volets coupe-feu | Clapets, volets, rebouchage |
Porte coupe-feu | Joints (tresses, bandes) |
Vide-ordure | Conduits |
4 – Éléments extérieurs | |
Toitures. | Plaques, ardoises, accessoires de couverture (composites, fibres-ciment), bardeaux bitumineux. |
Bardages et façades légères. | Plaques, ardoises, panneaux (composites, fibres-ciment). |
Conduits en toiture et façade. | Conduits en amiante-ciment : eaux pluviales, eaux usées, conduits de fumée. |
Important : Le programme de repérage de la mission de base est limitatif. Il est plus restreint que celui élaboré pour les missions de repérage de matériaux ou produits contenant de l’amiante avant démolition d’immeuble ou celui à élaborer avant réalisation de travaux.
Le programme de repérage complémentaire (le cas échéant)
En plus du programme de repérage réglementaire, le présent rapport porte sur les parties de composants suivantes (Les dénominations retenues sont celles figurant au Tableau A.1 de l’Annexe A de la norme NF X 46-020) :
Composant de la construction | Partie du composant Xxxxx été inspecté | Sur demande ou sur information |
Sans Objet | ||
Le périmètre de repérage effectif (Vente)
Il s’agit de l’ensemble des locaux ou parties de l’immeuble concerné par la mission de repérage figurant sur le schéma de repérage joint en annexe à l'exclusion des locaux ou parties d’immeuble n’ayant pu être visités.
Bâtiment – Étage | Locaux |
(Rdc) | Entrée, Salle d'eau, Toilettes, Buanderie, Cuisine d'été, Cuisine, Séjour, Garage, Escaliers-Rdc |
(1er) | Palier, Chambre 1, Toilettes 2, Chambre 2, Chambre 3, Chambre 4, Chambre 5, Combles-Grenier |
(2ème) | Combles |
Désignation | Sol Caractéristiques | Murs Caractéristiques | Plafond Caractéristiques |
Rdc - Entrée | Carrelage sur Plancher béton | Brut sur Plâtre | Peinture sur BA13 |
Rdc - Salle d'eau | Carrelage sur Plancher béton | Brut sur Plâtre | Peinture sur BA13 |
Rdc - Toilettes | Carrelage sur Plancher béton | Peinture sur BA13 | Peinture sur Plâtre |
Rdc - Buanderie | Carrelage sur Plancher béton | Brut sur Plâtre | Peinture sur Plâtre |
Rdc - Cuisine d'été | Carrelage sur Plancher béton | Peinture + faïence sur Plâtre et BA13 | Peinture sur BA13 |
Rdc - Cuisine | Carrelage sur Plancher béton | Peinture + faïence sur Plâtre | Peinture sur Plâtre |
Rdc - Séjour | Carrelage sur Plancher béton | Peinture sur Plâtre | Peinture sur Plâtre et Poutres bois |
Rdc - Garage | Chape brute | Brut | Brut |
Rdc - Escaliers-Rdc | Carrelage sur Plancher béton | Brut sur Plâtre et BA13 | Peinture sur BA13 |
1er - Palier | Moquette sur Plancher bois | Brut sur BA13 | Peinture sur BA13 |
1er - Chambre 1 | Linoléum sur Plancher bois | Peinture sur BA13 | Peinture sur BA13 |
1er - Toilettes 2 | Carrelage sur Plancher bois | Peinture sur BA13 | Peinture sur BA13 |
1er - Chambre 2 | Linoléum sur Plancher bois | Peinture sur BA13 | Peinture sur BA13 |
1er - Chambre 3 | Parquet flottant sur Plancher bois | Peinture sur BA13 | Peinture sur BA13 |
1er - Chambre 4 | Moquette sur Plancher bois | Peinture sur BA13 | Peinture sur BA13 |
1er - Chambre 5 | Moquette sur Plancher bois | Peinture sur BA13 | Peinture sur BA13 |
1er - Combles-Grenier | NV | NV | NV |
2ème - Combles | NV | NV | NV |
Conditions de réalisation du repérage
Bilan de l’analyse documentaire Documents demandés : Sans objet Documents remis : Sans objet
Date(s) de visite des locaux
Date(s) de visite de l’ensemble des locaux : 17/08/2021
Nom de l’opérateur : Xxxxxxxxx XXXXX
Écarts, adjonctions, suppressions par rapport aux normes en vigueur
La mission de repérage s'est déroulée conformément aux prescriptions de la norme NF X 46-020, révision d’Aout 2017.
Plan et procédures de prélèvements
L’ensemble des prélèvements a été réalisé dans le respect du plan et des procédures d’intervention
Résultats détaillés du repérage
Synthèse des résultats du repérage
Composants de la construction | Partie du composant vérifié ou sondé | Localisation | Photos n° | Prélèvements Echantillons n° | Analyses n° | Présence d’amiante (*) | Résultat de l’évaluation de l’état de conservation (2) | Mesures d’ordre général préconisées | Analyse ou éléments de décision de l’opérateur en absence d’analyse |
Sans Objet |
(*) S : attente du résultat du laboratoire ou susceptible
Liste des matériaux ou produits contenant de l’amiante
Sans Objet
Liste des matériaux ou produits contenant de l’amiante après analyse en laboratoire
Matériaux et produits | Localisation | Numéro de prélèvement | Numéro d'analyse | Résultat de l’évaluation de l’état de conservation (2) |
Sans Objet |
Liste des matériaux ou produits contenant de l’amiante sur jugement personnel de l’opérateur
Matériau ou produit | Localisation | Résultat de l’évaluation de l’état de conservation (2) | Analyse ou éléments de décision de l’opérateur en absence d’analyse | Mesures d’ordre général préconisées |
Sans Objet |
Liste des matériaux ou produits susceptibles de contenir de l’amiante, mais n’en contenant pas après analyse en laboratoire
Matériaux et produits | Localisation | Numéro de prélèvement | Numéro d'analyse | Photo |
Sans Objet |
Devoir de conseil : Sans objet
(2) Évaluation de l’état de conservation
Pour les produits et matériaux de liste A :
Article R1334-20 du code de la santé publique : En fonction du résultat de l’évaluation de l’état de conservation, les propriétaires procèdent :
N=1 - Contrôle périodique de l'état de conservation de ces matériaux et produits dans les conditions prévues à l'article R. 1334-27 ; ce contrôle est effectué dans un délai maximal de trois ans à compter de la date de remise au propriétaire des résultats du contrôle, ou à l'occasion de toute modification substantielle de l'ouvrage et de son usage ; La personne ayant réalisé cette évaluation en remet les résultats au propriétaire contre accusé de réception.
N=2 – Dans un délai de 3 mois après remise au propriétaire du rapport de repérage ou des résultats de la dernière évaluation de l’état de conservation et selon les modalités prévues à l'article R. 1334-25, à une surveillance du niveau d'empoussièrement dans l'atmosphère par un organisme agréé en microscopie électronique à transmission.
N=3 - Travaux de confinement ou de retrait de l'amiante, selon les modalités prévues à l'article R. 1334-29.
Article R1334-28 du code de la santé publique : Mesures d’empoussièrement
Si le niveau d'empoussièrement mesuré dans l’air en application de l’article R1334-27 est inférieur ou égal à la valeur de cinq fibres par litre, le propriétaire fait procéder à l’évaluation périodique de l'état de conservation des matériaux et produits de la liste A contenant de l’amiante prévue à l’article R1334-20, dans un délai maximal de trois ans à compter de la date de remise des résultats des mesures d’empoussièrement ou à l'occasion de toute modification substantielle de l'ouvrage ou de son usage.
Si le niveau d'empoussièrement en application de l’article R1334-27 est supérieur à 5 fibres par litre, les propriétaires procèdent à des travaux de confinement ou de retrait de l'amiante, selon les modalités prévues à l’article R1334-29. Les travaux doivent être achevés dans un délai de trente-six mois à compter de la date à laquelle leur sont remis les résultats du contrôle.
Pendant la période précédant les travaux, des mesures conservatoires appropriées sont mises en œuvre afin de réduire l’exposition des occupants et de la maintenir au niveau le plus bas possible, et, dans tous les cas, à un niveau d’empoussièrement inférieur à cinq fibres par litre. Les mesures conservatoires ne doivent conduire à aucune sollicitation des matériaux et produits concernés par les travaux.
Pour les produits et matériaux de la liste B
Ces recommandations consistent en :
1. Soit une « évaluation périodique », lorsque le type de matériau ou produit concerné contenant de l’amiante, la nature et l’étendue des dégradations qu’il présente et l’évaluation du risque de dégradation ne conduisent pas à conclure à la nécessité d’une action de protection immédiate sur le matériau ou produit. Dans ce cas, l’opérateur de repérage indique au propriétaire que cette évaluation périodique consiste à
a) Contrôler périodiquement que l’état de dégradation des matériaux et produits concernés ne s’aggrave pas et, le cas échéant, que leur protection demeure en bon état de conservation ;
b) Rechercher, le cas échéant, les causes de dégradation et prendre les mesures appropriées pour les supprimer.
2. Soit une « action corrective de premier niveau », lorsque le type de matériau ou produit concerné contenant de l’amiante, la nature et l’étendue des dégradations et l’évaluation du risque de dégradation conduisent à conclure à la nécessité d’une action de remise en état limitée au remplacement, au recouvrement ou à la protection des seuls éléments dégradés. A cette recommandation est associé, le cas échéant, un rappel de l’obligation de faire appel à une entreprise certifiée pour le retrait ou le confinement. Dans ce cas, l’opérateur de repérage indique au propriétaire que cette action corrective de premier niveau consiste à :
a) Rechercher les causes de la dégradation et définir les mesures correctives appropriées pour les supprimer ;
b) Procéder à la mise en œuvre de ces mesures correctives afin d’éviter toute nouvelle dégradation et, dans l’attente, prendre les mesures de protection appropriées afin de limiter le risque de dispersion des fibres d’amiante ;
c) Veiller à ce que les modifications apportées ne soient pas de nature à aggraver l’état des autres matériaux et produits contenant de l’amiante restant accessibles dans la même zone ;
d) Contrôler périodiquement que les autres matériaux et produits restant accessibles ainsi que, le cas échéant, leur protection demeurent en bon état de conservation.
3. Soit une « action corrective de second niveau », qui concerne l’ensemble d’une zone, de telle sorte que le matériau ou produit ne soit plus soumis à aucune agression ni dégradation. Dans ce cas, l’opérateur de repérage indique au propriétaire que cette action corrective de second niveau consiste à :
a) Xxxxxxx, tant que les mesures mentionnées au c n’ont pas été mises en place, les mesures conservatoires appropriées pour limiter le risque de dégradation et la dispersion des fibres d’amiante. Cela peut consister à adapter, voire condamner l’usage des locaux concernés afin d’éviter toute exposition et toute dégradation du matériau ou produit contenant de l’amiante. Durant les mesures conservatoires, et afin de vérifier que celles-ci sont adaptées, une mesure d’empoussièrement est réalisée, conformément aux dispositions du code de la santé publique ;
b) Procéder à une analyse de risque complémentaire, afin de définir les mesures de protection ou de retrait les plus adaptées, prenant en compte l’intégralité des matériaux et produits contenant de l’amiante dans la zone concernée ;
c) Mettre en œuvre les mesures de protection ou de retrait définies par l’analyse de risque ;
d) Contrôler périodiquement que les autres matériaux et produits restant accessibles, ainsi que leur protection, demeurent en bon état de conservation.
L’opérateur de repérage peut apporter des compléments et précisions à ces recommandations en fonction des situations particulières rencontrées lors de l’évaluation de l’état de conservation.
Signatures
Le présent rapport est établi par une personne dont les compétences sont certifiées par : B.2.C N°540
Adresse de l’organisme certificateur : 00, Xxx xxx Xxxx 00000 XXXXXXXXXXX
Cachet de l’entreprise
Fait à EVRY, Par : D-H-S Sarl
Nom et prénom de l’opérateur : Xxxxxxxxx XXXXX
Signature de l’opérateur
La société D-H-S Sarl atteste que ni ses employés, ni elle-même, ne reçoivent, directement ou indirectement, de la part d’une entreprise pouvant réaliser des travaux sur les ouvrages, installations ou équipements sur lesquels porte sa prestation, aucun avantage ni rétribution, sous quelque forme que ce soit.
ANNEXES
Schéma de repérage
Croquis : Rez de Chaussée
Cuisine
Entrée
Salle d'eau
Garage
Buanderie
Cuisine d'été
Séjour
Croquis : 0xx xxxxx
Xxxxxxx 0
Xxxxxxx 0
Xxxxxxx 0
Xxxxxxx-Xxxxxxx
(Xxx visité)
Palier
Chambre 5
Chambre 1
Vide sur Entrée
Attestation de compétence Attestation d’assurance
Éléments d’information
Les maladies liées à l’amiante sont provoquées par l’inhalation des fibres. Toutes les variétés d’amiante sont classées comme substances cancérogènes avérées pour l’homme. L’inhalation de fibres d’amiante est à l’origine de cancers (mésothéliomes, cancers broncho-pulmonaires) et d’autres pathologies non cancéreuses (épanchements pleuraux, plaques pleurales).
L’identification des matériaux et produits contenant de l’amiante est un préalable à l’évaluation et à la prévention des risques liés à l’amiante. Elle doit être complétée par la définition et la mise en œuvre de mesures de gestion adaptées et proportionnées pour limiter l’exposition des occupants présents temporairement ou de façon permanente dans l’immeuble. L’information des occupants présents temporairement ou de façon permanente est un préalable essentiel à la prévention du risque d’exposition à l’amiante.
Il convient donc de veiller au maintien du bon état de conservation des matériaux et produits contenant de l’amiante afin de remédier au plus tôt aux situations d’usure anormale ou de dégradation.
Il conviendra de limiter autant que possible les interventions sur les matériaux et produits contenant de l’amiante qui ont été repérés et de faire appel aux professionnels qualifiés, notamment dans le cas de retrait ou de confinement de ce type de matériau ou produit.
Attestation sur l’honneur
Je soussigné Xxxxxxxxx XXXXX de la société D-H-S Sarl atteste sur l'honneur être en situation régulière au regard des articles cités ci-dessous :
« Art. R. 271-1. - Pour l'application de l'article L. 271-6, il est recouru soit à une personne physique dont les compétences ont été certifiées par un organisme accrédité dans le domaine de la construction, soit à une personne morale employant des salariés ou constituée de personnes physiques qui disposent des compétences certifiées dans les mêmes conditions.
« La certification des compétences est délivrée en fonction des connaissances techniques dans le domaine du bâtiment et de l'aptitude à établir les différents éléments composant le dossier de diagnostic technique.
« Les organismes autorisés à délivrer la certification des compétences sont accrédités par un organisme signataire de l'accord européen multilatéral pris dans le cadre de la coordination européenne des organismes d'accréditation. L'accréditation est accordée en considération de l'organisation interne de l'organisme en cause, des exigences requises des personnes chargées des missions d'examinateur et de sa capacité à assurer la surveillance des organismes certifiés. Un organisme certificateur ne peut pas établir de dossier de diagnostic technique.
« Des arrêtés des ministres chargés du logement, de la santé et de l'industrie précisent les modalités d'application du présent article.
« Art. R. 271-2. - Les personnes mentionnées à l'article L. 271-6 souscrivent une assurance dont le montant de la garantie ne peut être inférieur à 300 000 euros par sinistre et 500 000 euros par année d'assurance.
« Art. R .271-3. - Lorsque le propriétaire charge une personne d'établir un dossier de diagnostic technique, celle-ci lui remet un document par lequel elle atteste sur l'honneur qu'elle est en situation régulière au regard des articles L. 271-6 et qu'elle dispose des moyens en matériel et en personnel nécessaires à l'établissement des états, constats et diagnostics composant le dossier.
« Art. R. 000-0. - Xxx puni de l'amende prévue pour les contraventions de la cinquième classe le fait :
« a) Pour une personne d'établir un document prévu aux 1° à 4° et au 6° de l'article L. 271-4 sans respecter les conditions de compétences, d'organisation et d'assurance définies par les articles R. 271-1 et R. 271-2 et les conditions d'impartialité et d'indépendance exigées à l'article L. 271-6 ;
« b) Pour un organisme certificateur d'établir un dossier de diagnostic technique en méconnaissance de l'article R. 271-1 ;
« c) Pour un vendeur de faire appel, en vue d'établir un document mentionné aux 1° à 4° et au 6° de l'article L. 271-4, à une personne qui ne satisfait pas aux conditions de compétences, d'organisation et d'assurance définies aux articles R. 271-1 et R. 271-2 ou aux conditions d'impartialité et d'indépendance exigées à l'article L. 271-6.
« La récidive est punie conformément aux dispositions de l'article 132-11 du code pénal. »
Xxxxxxxxx XXXXX