CAP DJINET
INFO 598c.djinet « Non au 19 mars »
CAP DJINET
A l’Est d’ALGER et sur le littoral CAP DJINET est situé entre DELLYS (22 kilomètres à l’Est) et au Sud, BORDJ-MENAÏEL, son chef-lieu d’arrondissement à 15 Km.
De DELLYS en passant par COURBET et CAP DJINET, un paysage féerique formé de montagnes, de massifs boisés et de belles plages s'offre aux visiteurs. Ce territoire était constitué par un sol tourmenté, montueux, qui s’étendait par une série d’étages successifs et inégaux et sur une longueur de huit kilomètres, un périmètre de trente kilomètres environ. On remarquait d’anciennes traces d’éruptions volcaniques.
XXXXXX XXXXXXX
Les terres cultivables étaient assez restreintes, elles étaient généralement couvertes de palmiers-nains, de broussailles, lentisques (nom vulgaire d’une espèce de pistachier), genêts épineux et jujubiers.
L’agriculture, l’élevage surtout, constituaient les principales ressources du pays. Sa proximité de la mer fit naître l’idée de créer en ce point, une colonie de pêcheurs. Le CAP DJINET était d’ailleurs souvent visité par des balancelles, qui venaient s’abriter du vent de l’Est. Les transports en été, se faisaient très facilement par cette voie ; le trajet d’ALGER se faisait en trois heures quand le vent était favorable.
Observations géologiques, hydrographiques et climatiques
La terre de cette plaine où l'agriculture promettait les plus heureux résultats, présentait presque partout, le même caractère, essentiellement argileux. Elle était mêlée de marne très friable dans les montagnes, par contre près du littoral elle était sablonneuse. Les terres généralement de bonne qualité convenaient à toutes les cultures, surtout aux céréales. Elles produisaient des rendements élevés, quand elles étaient convenablement aménagées; en moyenne on obtenait un revenu de 10 pour 1.
Avant l’arrivée des colons, il existait déjà de grandes étendues de terres entièrement défrichées. Après quelques années on espérait qu’elles le seraient toutes. Tous les produits étaient recherchés, les fourrages de la plaine étaient abondants et d’une bonne qualité, ce qui fut avantageux pour faire l’élevage, industrie des plus importantes ; dont le rendement était souvent supérieur à la culture.
De tout temps, la plaine des ISSERS était renommée par ses nombreux troupeaux et surtout par la beauté de ses chevaux qui avaient une grande ressemblance avec le cheval Syrien. Les produits céréales étaient : les blés durs, les blés tendres, l’orge, l’avoine, le millet (bechena), les fèves, etc…
Plaine des ISSERS
Le tabac, très estimé et très recherché par l’administration et sur tous les marchés, brûlait parfaitement et avait un parfum qui le faisait préférer, il y venait très beau sans irrigation.
De nombreux coteaux de vigne y furent plantés et tout faisait espérer que les produits seraient de bonne qualité. Les nombreuses plantations d’eucalyptus globulus avaient enfin, singulièrement amélioré les bas-fonds de la plaine très connus par leur antique insalubrité.
Raisin de table Cardinal
Malgré ses hautes berges, il survenait souvent des débordements, même des inondations épouvantables. On citait celles de 1834 et 1853, qui avaient fait des ravages en certains points et même quelques victimes. Son embouchure enfin, se trouvait à l’Est du village de ZEMOURI, à l’Ouest du CAP DJINET. Les rivières les plus importantes qui sillonnaient la plaine de l’ISSER et venaient s’y jeter étaient l’Oued DJEMAA, l’Oued MENAÏEL et l’Oued CHENDER. En plus de ces rivières, il existait un grand nombre de petits cours d’eau, malheureusement desséchés pendant l’été et de nombreuses sources excellentes comme boisson et pour les usages domestiques.
La plaine des ISSERS était arrosée par de nombreux cours d’eau ; quelques-uns étaient très importants, surtout après les pluies d’hiver et les fontes des neiges tombées sur le Djurdjura et les montagnes du petit Atlas. Un certain nombre restait presque sans eaux pendant les grandes chaleurs de l’été (quelques-uns uns disparaissaient même complètement pendant cette
saison).
Le plus important de ces cours d’eau était l’ISSER, qui effleurait la Kabylie sur une grande partie de son trajet. Il parcourait une étendue de 230 kilomètres, coulait de l’Ouest à l’Est et du Sud au Nord, dans la portion de la plaine qui lui avait donné son nom.
L’air de la plaine de l’ISSER était très pur et salubre, parfois très vif, suffisamment chargé d’oxygène, tandis qu’autrefois ce n’était qu’un véritable réservoir d’effluves marécageuses. Les Arabes se voilaient le visage, se bouchaient le nez pour ne pas respirer un air pestilentiel. Insensiblement, ils avaient créé un terrain solide, en donnant de l’écoulement à toutes les eaux stagnantes et étaient parvenus ainsi à rendre ce territoire abordable, à l’aide de nombreuses voies de communication.
Le climat était assez variable comme sur le littoral de l’Algérie. De même que, dans les pays intertropicaux, il n’existait guère ici que deux saisons : la saison sèche et chaude et la saison humide et froide. Le printemps et l’automne étaient presque insignifiants. La saison sèche et chaude commençait en mai, juin et finissait en septembre. La saison humide et froide débutait en octobre et se terminait en mai. Les orages étaient assez rares pendant la saison chaude. Vers le 15 septembre, quelques ondées venaient agréablement rafraîchir le sol échauffé par plusieurs mois de sécheresse régulière.
HISTOIRE
L'histoire de DJINET remonte à la ville antique punique, puis romaine, dont l'identité CISSI a été longtemps contestée. Elle a été établie par la découverte d'une dédicace des CISSIANI à SEVERE Xxxxxxxxx qui a permis l'identification définitive de sept villes antiques de la côte kabyle, entre RUSGUNIAE au CAP MATIFOU et SALDAE, près de BOUGIE.
Autrefois, cette plaine n’était habitée que par des Indigènes arabes, soumis d’abord aux Romains, puis ensuite aux Turcs ; souvent tourmentés par les invasions des Kabyles, qui jaloux de leurs richesses territoriales, venaient piller et enlever leurs récoltes, ainsi que leurs bestiaux, après avoir mis tout à feu et à sang.
Présence Française 1830 - 1962
Ce territoire, premièrement exploré par le Maréchal XXXXXX le 2 juillet 1857 fut le théâtre au lendemain de la conquête de nombreux et glorieux faits d’armes qui firent connaître à la population Arabe et Kabyle surtout, combien l’armée Française était courageuse et puissante .
Son nom de « plaine de l’ISSER » lui venait du sultan XXXXX-XXXXX qui émerveillé par les excellents renseignements que lui donnait son Premier ministre Xxxxxxx-XXXXXXX, sur la qualité des terres, sur la richesse des récoltes, la grande quantité des troupeaux, l’appela YASER (fort belle plaine), d’où le nom ISSER.
Xxxxxxx, Xxxxx XXXXXX (1795/1871) : xxxxx://xx.xxxxxxxxx.xxx/xxxx/Xxxxxxx_Xxxxx_Xxxxxx
Lorsque les opérations militaires de la fin de 1851 eurent raison des FLISSA, les ISSER arabisés avaient déjà averti de leur soumission à la France. A peine la colonisation avait-elle commencé par l’installation de quelques familles à BORDJ MENAÏEL qu’éclata l’insurrection de 1871, bientôt écrasée. Le séquestre rendit disponibles plus de 10 000 hectares, dont 3 500 confisqués aux ISSER-EL-OUIDAN, qui allaient profiter surtout aux Alsaciens-Lorrains pour lesquels on cherchait, justement des terres. Cette plaine fût entièrement livrée à la colonisation, à l’exception de quelques douars encore habités par des indigènes. Mais bien avant cette date, les soldats du Génie avaient aménagé dans cette région de l’Est d’ALGER, une piste de terre battue afin de relier la capitale à DELLYS. Tout au long de ce grand chemin, pour assurer la sécurité du roulage, la troupe bivouaquait au bord des rivières ou à proximité des sources.
Dès lors cette plaine de l’ISSER allait comprendre sept nouveaux centres habités par des Européens, à savoir :
1. SOUK-EL-HAD
2. BLED-GUITOUN ou BLAD-GUITOUN (usité souvent)
3. ZAATRA
4. ZAMOURI OU ZEMOURI (COURBET)
5. ISSERVILLE
6. BORDJ-MENAÏEL
7. AZIB-ZAMOUN (HAUSSONVILLERS) Et trois hameaux qui étaient :
1. AIN-REFAÏA
2. AIN-LEGATHA (ces deux premiers formaient le territoire d’ISSERBOURG) 3. CAP DJINET
Auxquels il fallait ajouter cinq douars occupés par les Indigènes :
1. BENI-MEKLA
2. CHENDER
3. RAÏCHA
4. OULED-SMIR
5. ISSER-EL-OUIDAN
Et un grand nombre de fermes généralement occupées par des Européens.
Mairie de BORDJ MENAÏEL
Au début de la colonisation BORDJ MENAÏEL réunissait le village d’ISSERVILLE et le douar de BENI-MEKLA. La population de BORDJ MENAÏEL était de 659 européens et 178 Indigènes ; le Maire était le Docteur Xxxxxxx, Xxxxxx XXXXXXX. Le premier centre de colonisation ayant été créé le 26 janvier 1859, par décret impérial. Puis l’agrandissement de ce centre fut décidé par l’Xxxxxx XXXXXXX, le 2 septembre 1872. Le général XXXXXX, lors de sa nomination de gouverneur général, vient visiter la plaine de l’ISSER et ratifia le grand travail de son prédécesseur
Xxxxx Xxxxx xx XXXXXXX (1809/1886) Xxxxxxx, Xxxxxx XXXXXX (1823/1883)
xxxxx://xx.xxxxxxxxx.xxx/xxxx/Xxxxx_Xxxxx_xx_Xxxxxxx xxxxx://xx.xxxxxxxxx.xxx/xxxx/Xxxxxx_Xxxxxx
Au mois de mars 1872, les premiers colons prirent aussi possession des concessions de Bled-Guitoun (pays des tentes), le premier village créé, puis insensiblement les autres centres furent distribués.
Centre de population créé vers 1880. Il est érigé en commune par arrêté du 8 novembre 1956 (avec le douar Ouled Smir de la commune de Bordj Ménaïel), dans le département de Grande-Kabylie.
Au répertoire de 1902, la Commune de Plein Exercice de BORDJ MENAÏEL (arrêté préfectoral du 8 novembre 1870) incluait :
-DJINET (ou CAP DJINET), hameau (Population de 398 habitants),
-RAÏCHA, douar-commune (Superficie 3 300 hectares - Population de 2 176 habitants),
-ROUAFA, douar-commune (Superficie 2 377 hectares - Population de 3 221 habitants),
-OULED SMIR, douar-commune (Superficie 7 160 hectares - Population de 4 945 habitants),
398 hectares, ont été concédés le 26 octobre 1873 à trois familles d’Européens : MM. XXXXXX, XXXXXX et XXXXXXX.
Une section administrative spécialisée portait le nom de cette commune.
DEPARTEMENT
Le département de TIZI OUZOU fut un département français d'Algérie entre 1957 et 1962, avec pour code 9 L
Considérée depuis le 4 mars 1848 comme partie intégrante du territoire français, l'Algérie fut organisée administrativement de la même manière que la métropole. C'est ainsi que pendant une centaine d'années, la ville de TIZI OUZOU fut une sous-préfecture du département d'ALGER, et ce jusqu'au 28 juin 1956. À cette date ledit département fut divisé en quatre parties, afin de répondre à l'accroissement important de la population algérienne au cours des années écoulées.
L'ancien département d'ALGER fut dissous le 20 mai 1957 et ses quatre parties furent transformées en départements de plein droit. Le département de TIZI-OUZOU fut donc créé à cette date, et couvrait une superficie de 5 806 km² sur laquelle résidaient 800 892 habitants et possédait six sous-préfectures, AZAZGA, BORDJ MENAIEL, BOUIRA, DRAA EL MIZAN, FORT-NATIONAL et PALESTRO
L’arrondissement de BORDJ MENAÏEL comprenait 13 localités : ABBO - AFIR - BORDJ MENAÏEL - CAMP du MARECHAL - LES ISSERS - CHABET EL AMEUR - DELLYS - ENZA - HAUSSONVILLIERS - XXXXXX XXXXXX - XXXXXXXXXX - REBEVAL - ROUAFFA -
MONUMENT AUX MORTS
Le relevé n°54407 de la Commune de BORDJ MENAÏEL mentionne 60 noms de soldats « Mort pour la France » au titre de la guerre 1914/1918, à savoir :
XXXXXXXXXX Xxx Xxxxxx (Mort en 1916) - XXXXXXXX Xxxx (1916) - XXXXX Xxx Xxxxxx (1915) - XXXXX Xxxxxx(1914) - XXXXXXXX Xxxx (1919) - XXXXXXX Xxxxx (1915) - XXXXXX Xxxxxxxx (1918) - XXXXXXX Xxxxxxxx (1915) - XXXXXX Xxxxxxxx (1916) - XXXXXXXX Xxxx (1918) - XXXXX Xxxx (1914) - XXXXXXXX Xxxxxxx (1916) - XXXXXXXXX Xxxx (1916) - XXXXXXX Xxxxxx (1914) - XXXXX Xxxxxx (1918) - XXXXXXX Xxxxxxxx Xxxxx (1914) - XXXXXXXX Xxx (1919) - XXXXXXX Xxxxxxx (1916) - XXXXXXX Xxxxxx (1917) - XXXXXX Xxxxxx (1918) - XXXXXXXXX Xxxx (1918) - XXXXXX Xxxxxxx (1914) - XXXXXXX Xxxxxxx (1914) - XXX Xxxxxxx (1916) - XXXXXX Xxxxxxxx (1918) - XXXXXXXX Xxxxxx X (1915) - XXXXXX Xxxxxxx (1916) - FEBRER Xxxxxx (1916) - XXXXXXX Xxxxxx (1917) - XXXXXXXX Xxxxx (1917) - XXXXXXXX Xxxxx (1916) - XXXXXXXXX Xxxxxxx (1917) - XXXXXXX Xxx (1914) - XXXXXX Xxxxxxxx (1918) - LHERM Xxxxxxx (1915) -
XXXXXX Xxx Xxxxxxx (1918) - XXXXX Xxxxxxxxx (1914) - MAANDI Amar (1914) - XXXX Xxxxxx Xxxxxxxx (1917) - XXXXXXX Xxxxx (1918) - XXXX Xxxxxxxxxx (1917) - XXXXXXXX Xxxxxx (0000) - XXXXXXXXX Xxxxx (1914) - XXXXXX-XXXXX Xxxxxxx (1915) - XXXXXX Xxx (1918) -
XXXXXXX Xxxxxxxxxxxx (1918) - XXXXXXX Xxxxx (1916) - XXXXXXXX Xxxx (1916) - XXXX Xxxxxxxxx (1918) - XXXXX Xxxxxx (1918) - SECRÉTANT Xxxxxx (1916) - XXXXX Xxx (1915) - XXXXXX Xxxxxxx (1918) - XXXXXXX Xxx (1918) - XXXXXX Xxx (1914) - XXXX Xxxxxxx (1915) - XXXXXXXX Xxxxxx (1917) - XXXXXXX Xxxxxxx (1915) - XXXXXXX Xxxxx (1914) - XXXX Xxxxx Xxxxxx (1917) -
EPILOGUE DJINET
De nos jours : 21 966 habitants
CAP DJINET 2015 : pourquoi il fallait y croire
Extrait […Or, l’Algérie dispose aujourd’hui de ports de très faibles capacités et totalement étouffés par le tissu urbain. La plupart des ports algériens, construits à l’époque coloniale, ne disposent d’aucune possibilité réelle d’extension. Seulement deux nouveaux ports commerciaux ont été construits depuis l’Indépendance : le port d’ARZEW spécialisé dans les hydrocarbures et un petit port à DJEN-DJEN. Ce dernier est, en effet, loin d’avoir la taille mondiale et encore moins des atouts comparables à ceux des ports modernes. Ses faibles capacités font qu’il ne peut pas être un port d’éclatement sur les grandes lignes maritimes transocéaniques….
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Inauguré en 2008, le nouveau port de pêche construit dans la commune de CAP-DJINET, à l’Est de la wilaya de BOUMERDES pour la somme de 1,6 milliard de dinars n’est toujours pas utilisé par ses destinataires, à savoir les pêcheurs de la localité. La passe (entrée) de ce port est constamment envahie par le sable charrié par les courants marins.
«Elle (la passe) représente un danger pour les pêcheurs qui risquent de couler avec leurs bateaux», nous dira Xxxxx XXXXXXX, le nouveau maire de la localité.
C’est ce qu’il a également déclaré au ministre des Travaux publics, Xxxx XXXXX, en visite hier mardi dans la wilaya de BOUMERDES.
Pour rappel, un problème similaire — passe ensablée — s’était posé au port de ZEMMOURI, dans la commune limitrophe de CAP-DJINET, avait coûté la vie, au début des années 1990, à 7 marins pêcheurs.
Le premier magistrat de CAP- DJINET et les pêcheurs basés dans cette rade ne sont pas, par ailleurs, convaincus par les travaux complémentaires dont le coût est estimé à 1.000.000. 000 DA. Ces travaux complémentaires visent à protéger ce port des courants marins. Deux EPI (brise- lames) et la prolongation de la jetée principale sont prévues.
«Au départ du projet, ses concepteurs ont refusé de nous écouter. Nous les avions avertis au sujet du phénomène des courants marins dans nos rivages. Ils ont commis des erreurs d’orientation du port. De plus, les nouveaux travaux ne résoudront pas le problème de sécurité pour les petits bateaux de pêche.»
C’est ce que tout le monde a appris dans le sillage de la visite ministérielle.
Pour un technicien de la Direction des travaux publics de la wilaya de BOUMERDES, il ne s’agit pas d’erreur de conception mais d’un phénomène naturel imprévu.
Source : xxxx://xxx.xxxxxxxxxx.xxx/xxxxxxxx/xxx-xxxxxxxx-xx-xx-xxxxx-xx-xxx-xxxxxx-xx-xxxxxxxx-xxx-xxxxx/Xxxxxx_00000_000000_0_0.xxxx
Adieu Cap DJINET ! Le grand port commercial du centre sera implanté à CHERCHELL.
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SYNTHESE réalisée grâce aux sites ci-dessous et notamment à : xxxx://xxxxxxx.xxxxxxx.xxxx.xx/xxxxx.xxxx
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NDLR : Si vous avez des informations complémentaires sur CAP DJINET n’hésitez-surtout pas à nous les transmettre. Nous nous empresserons de mettre ce document à jour dans le cadre de la transmission mémorielle. D’avance MERCI.
BONNE JOURNEE A TOUS
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