Stratégie d’investissement. Le Fonds a pour objectif principal de financer, directement ou indirectement, des entreprises européennes et notamment françaises non cotées évoluant notamment dans les secteurs du digital, de la santé et de la ville intelligente. Le Fonds investira au moins trente (30) % de son actif dans des entreprises françaises et au moins dix (10) % de son actif dans des petites et moyennes entreprises (ci-après « PME ») » et des entreprises de taille intermédiaire (ci-après « ETI »). Conformément à l'article L. 533-22-1 du CMF, les porteurs de parts peuvent trouver l'information relative aux critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ci-après « ESG ») pris en compte par la Société de Gestion sur son site internet : xxxx://xxx.xxxxxxxx.xxx/. Signataire des engagements de l’ONU depuis mars 2011, la Société de Gestion s’engage à intégrer les enjeux ESG tout au long du cycle d’investissement ainsi qu’à sélectionner rigoureusement ses participations sur des critères financiers et extra-financiers. Le Fonds respecte les critères ESG de la Charte du label « Relance ». En conséquence, la Société de Gestion s’engage à respecter les obligations ESG imposées par les points V et VI de la Charte du label « Relance », lesquelles sont reproduites en Annexe 3. La Société de Gestion a pour objectif la valorisation du capital tout en prenant en compte les critères ESG dans le processus d’investissement. Considérant les caractéristiques des investissements du Fonds et conformément à la Position- recommandation AMF 2020-03, le taux d’analyse extra-financière des cibles d’investissement s’élève à plus de 75%. Ce taux est calculé en prenant en compte soit le nombre d’émetteurs, soit la capitalisation de l’actif net. Conformément aux règlements (UE) 2019/2088 et (UE) 2020/852, la Société de Gestion publie en Annexe 4 du Règlement des informations au titre de ses engagements ESG.
Stratégie d’investissement. L’immeuble a été construit par Xxxxxxx. Actuellement, l’immeuble est loué à 60%. La stratégie consiste à offrir à la location des bureaux à proximité de Bruxelles, mais avec les avantages fiscaux que présente la Région flamande. Quand l’immeuble sera loué à plus de 80%, il sera mis en vente.
Stratégie d’investissement. L’immeuble appartient en emphytéose à la société Brouckère Tower Invest et a été complètement rénové par Xxxxxxx jusqu’en mars 2007. L’emphytéote initial était la société Philips, qui occupait elle-même l’immeuble. A partir de la reprise de l’emphytéose par Xxxxxxx en 1998, les étages ont été rénovés un par un. Aujourd’hui, tout l’immeuble est loué. Citons parmi les locataires la Régie des Bâtiments, La Poste, Cetelem, Partena et Redevco Belgium. Fin 2006, Xxxxxxx a cédé 60% des parts de Brouckère Tower Invest à Xxxxxx Xxxxxxx European Office Fund (« MSEOF ») qui détient par ailleurs jusqu’au 31 décembre 2007 une option d’achat sur les 40% restants (pour un prix déterminé selon la même formule que celle utilisée pour calculer le prix d’acquisition des 60% déjà cédés). Le prix de sortie devrait générer un retour sur investissement (IRR12) de l’ordre de 29% (après impôts et « leverage »).
Stratégie d’investissement. L’immeuble a été acquis par une filiale de Banimmo en 1998. Une emphytéose a été créée, dont Banimmo a acquis 50% des droits, le solde étant attribué à un important groupe d’armateurs anversois. Banimmo a repris ce solde en 2003 et est donc seule emphytéote actuellement. Ces dernières années, Banimmo a effectué des rénovations importantes (façade, air conditionné, ascenseurs…). Pour faire face à la demande des locataires, Xxxxxxx a construit en 2004 sur le site un immeuble de parking en forme de bateau, ce qui assure à l’immeuble un total de 630 emplacements de parking pour une surface de bureaux de 28.000 m², soit un 1 parking pour 44 m² de surface de bureaux. Xxxxxxx s’emploie à augmenter le taux d’occupation, qui est actuellement de 72%, afin de mettre en vente l’immeuble au cours de l’exercice 2007.
Stratégie d’investissement. L’immeuble, construit en 1992 par Xxxxx et apporté par cette dernière en 1995 à Banimmo, constitue la première phase d’un projet plus vaste dont l’objectif était de toucher des PME qui avaient besoin d’entrepôts et de bureaux. Le terrain adjacent, d’une superficie de 8.000 m², était destiné à la phase 2. Il a été revendu en 2005 à un imprimeur. L’immeuble est actuellement loué à 50%. Xxxxxxx s’emploie à augmenter le taux d’occupation afin de mettre en vente l’immeuble.
Stratégie d’investissement. Le bâtiment H3 a été acquis en 2001 de Honeywell, qui a continué à l’occuper quelque temps. Xxxxxxx a ensuite recherché un locataire potentiel intéressé par un bâtiment rénové. En 2006, après une rénovation lourde de l’ordre de 7.000.000 € (HTVA), la Commission européenne a acquis un usufruit d’une durée de 10 ans portant sur la totalité de l’immeuble, avec une possibilité de rupture à la fin de la cinquième année. Comme le terrain à l’avant du bâtiment pourrait accueillir un autre immeuble, Xxxxxxx cherche à nouveau un candidat locataire, auquel elle pourrait offrir un immeuble sur mesure. Dans ce but, une demande de permis d’urbanisme a été introduite, en vue de construire un immeuble (H2) de +/- 20.000 m². La construction ne commencera cependant que lorsqu’un bail ferme aura été signé.
Stratégie d’investissement. Les deux bâtiments, achetés en même temps que le bâtiment H3, appartenaient en propre à Locabel, qui les a construits pour les besoins de Honeywell sur un terrain obtenu en emphytéose de la SDRB. Honeywell a continué à les occuper jusqu’à fin 2006. Ils sont actuellement vides. L’immeuble H4 sera démoli et devrait faire place à un xxxxxxxx xx +/- 00.000 x0 xx xxxxxxx, dont la construction sera entamée quand une location ferme aura été convenue avec un candidat locataire. Une convention-cadre a été conclue avec une importante société pour la construction sur ce site du futur siège social de l’entreprise (voyez section 10.1.6 (« Principaux investissements du Groupe en cours et planifiés »)). L’immeuble H5 fera l’objet d’une rénovation lourde (+/- 1,5 million d’euros HTVA) quand un locataire aura été trouvé.
Stratégie d’investissement. Banimmo a acquis le site en 2001 alors qu’il était entièrement loué. Xxxxxxx, qui louait les entrepôts, a quitté les lieux début 2004. L’immeuble est à présent de nouveau bien occupé (88%) (ou en passe de l’être) par ISS, Lyreco, Geodis et Lamiprint.
Stratégie d’investissement. Deloitte & Touche cherchait un site pour regrouper ses bureaux à Anvers. Banimmo a réalisé cet immeuble dans le cadre d’une convention de leasing d’une durée de 15 ans, avec option d’achat.
Stratégie d’investissement. Exceptionnellement, Xxxxxxx a construit cet immeuble sans avoir au préalable cherché des candidats locataires car l’acquisition en 2002 du terrain de Capellen présentait une opportunité inhabituelle. La stratégie consistait à offrir à la location un immeuble de bureaux de bonne facture, à proximité de Luxembourg et dans une xxxx xxxxx x’xxxxxxxxxxx xxxxx x’xxxxx, pour un loyer de l’ordre de 220 €/m²/an, très inférieur aux loyers du centre-ville, qui sont de l’ordre de 400 €/m²/an. La mise en location a été facilitée par une divisibilité maximale des surfaces, permettant d’offrir des modules allant de 600 à 2.000 m². L’immeuble sera gardé en portefeuille jusqu’à ce qu’une opportunité attrayante de vente se présente.