Eau Potable Clauses Exemplaires

Eau Potable. Sur le plan technique, les principaux points relevés lors du diagnostic sont les suivants : • Le nombre d’abonnés à l’échelle de la CINOR est de 97 778 en 2018 et évolue à hausse (+1,9% par an en moyenne sur la période 2014-2018). Les volumes consommés sont cependant globalement stables, avec un volume 2018 de 18,15 Mm3, légèrement inférieur à celui de 2014. Cette tendance est portée par une consommation unitaire à la baisse sur le territoire (186 m3 par abonné en 2018, contre 201 m3 par abonné en 2014) et relativement sur la commune de Saint-Denis ; • Le service dispose de plusieurs captages d’eau superficielle avec simple traitement au chlore (3 sur 11 sur Saint-Denis, 3 sur 5 sur Sainte-Marie, 1 sur 3 sur Sainte-Suzanne), ce qui entraîne une problématique importante de turbidité en saison des pluies (captages Butor et Bras Samy sur la commune de Saint-Denis, captage Beaumont sur la commune de Sainte-Marie). La qualité de l’eau est globalement moyenne (taux de conformité entre 89% et 99%) et certains secteurs présentent des risques microbiologiques (captages Bras Mussard vers réseau Esperance) ou des pollutions aux pesticides (captage Mère Canal). Les communes de la CINOR se trouvent sous le coup de plusieurs arrêtés de mise en demeure de la Préfecture de mettre en œuvre un traitement plus poussé de l’eau. Des projets sont en cours pour remédier au problème via la construction d’usines de potabilisation ; • La CINOR prélève sur son territoire l’intégralité des volumes mis en distribution. Contrairement à d’autres intercommunalités sur l’île, la CINOR n’achète pas d’eau au Département actuellement. Toutefois, à moyen terme (horizon supérieur à 2030), la CINOR pourra disposer de l’eau du Département au travers du grand projet e Mobilisation des Ressources en Eau des micro-régions Est et Nord, dit projet « MEREN » ; • L’accès aux ouvrages est globalement problématique avec des difficultés pouvant être liées à la sécurité des abords / chemins d’accès mais également à la propriété des parcelles concernées ou attenantes (conflits de voisinage). Il est important pour le service de faire des avancées en termes de protection de la ressource (indice de protection à 38% pour la commune de Saint-Denis en 2018, 51% pour la commune de Sainte-Marie et 57% pour la commune de Sainte-Suzanne) ; • Si les capacités de stockage (103 795 m3) sont suffisantes au regard de la demande en eau potable sur le périmètre de la CINOR, quelques réhabilitations sont à prévoir (réservoir...
Eau Potable. Le service d’eau potable n’est actuellement pas facturé. Le projet de facturation élaboré par la DGTM dénombre aujourd’hui 80 compteurs, et le taux de couverture a été estimé par l’Office de l’Eau en 2016 à 68% de la population communale, dont quasi 100% sur le bourg. Le système existant, desservant uniquement le bourg, est constitué de deux forages d’une capacité totale estimée à 30 m3/j, d’une station de chloration, d’un réservoir au sol de 50 m3 et d’une station de reprise pour l’alimentation du village Hmong. La production moyenne annuelle est d’environ 7 000 m3/j, soit 19 m3/j. ⬥ Des ouvrages en bon état, mais une faible connaissance du patrimoine enterré L’ensemble du système d’alimentation en eau a été rénové en 2015 (nouveau forage et réservoir, réparation de fuites et extensions du réseau). Les ouvrages, simples et rustiques, sont en bon état. En l’absence de plans communiqués, le linéaire du réseau a été estimé. ⬥ Une bonne qualité de l’eau distribuée Le contrôle réglementaire fait état d’une bonne qualité bactériologique et physico-chimique de l’eau distribuée à Saül. ⬥ L’absence de mesure de la performance technique des réseaux L’absence de facturation (la quasi-totalité des compteurs sont HS) ne permet pas aujourd’hui d’évaluer la performance technique des réseaux. Un projet de mise en place de la facturation a été étudié par la DGTM. D’après le personnel de la commune en charge de l’exploitation du service, le réseau présenterait aujourd’hui peu de fuites. ⬥ Une ressource a priori suffisante, pouvant être limitée en saison sèche La ressource en eau est actuellement suffisante, malgré des manques d’eau apparaissant en saison sèche, manques liés a priori à des usages non économes de l’eau en raison de l’absence de facturation, et probablement à la population saisonnière en période de vacances (en saison sèche principalement).
Eau Potable. Plan de récolement des réseaux et ouvrages géo-référencés • Nature et diamètre des canalisations du réseau AEP • Linéaire du réseau AEP • Nombre et nature de la défense incendie • Année de pose des canalisations • Rapport des vérifications réglementaires des hydrants • Procès-verbaux d’essais de pression sur les conduites ainsi que d’analyses de désinfection. • Les fiches techniques descriptives de l’ensemble des installations • Plans et état des réseaux, aérien ou souterrain • Zone d'action de ou des armoires • les fiches techniques descriptives de l’ensemble des installations
Eau Potable. Rendement de réseau 89,4 % ILP
Eau Potable. Toutes les constructions à usage d'habitation ou d'activité doivent être raccordées au réseau public de distribution d'eau potable.
Eau Potable. Le service d’eau potable compte 1 012 abonnés et dessert environ 60%1 de la population communale. Le système est composé d’un réseau d’eau potable d’une longueur totale de 62,4 km, de 2 réservoirs sur tour de 1 000 m3 (Mana Bourg) et de 50 m3 (Javouhey), de deux captages d’eau de surface et un forage, de 2 unités de traitement d’eau potable de 600 m3/h (Mana Bourg) et 20 m3/h (Javouhey), et d’une station de surpression. En 2017, la production était de 310 000 m3 pour une consommation de 272 000 m3. ⬥ Un niveau de gestion patrimoniale insuffisant La connaissance patrimoniale des réseaux est insuffisante (indice de connaissance et de gestion patrimoniale de 60 pts sur 120, contre 94 pts en moyenne à l’échelle de la France), et il n’y a quasiment eu aucun renouvellement de réseaux ces dernières années. ⬥ Une performance technique satisfaisante Malgré cela, la performance technique du réseau est satisfaisante avec un rendement moyen de 83% sur la période 2013-2017 (moyenne nationale de 80%) largement au-dessus du rendement-seuil « Grenelle » de 67% pour ce service, et un indice linéaire de pertes moyen de
Eau Potable. Le service d’eau potable compte 160 abonnés et dessert plus de 80% de la population communale. Le système est composé d’un réseau d’eau potable d’une longueur totale de 21 km, d’un réservoir de 300 m3 et d’un surpresseur de 16 m3/h. Le système est alimenté par l’usine de traitement de Mana, qui traitait l’eau d’un captage sur le canal d’irrigation provenant de la rivière Mana (ressource superficielle), mais a été remplacée par un forage. En 2017, le volume importé était de 56 600 m3/j pour une consommation de 36 200 m3. ◆ Une gestion patrimoniale très insuffisante Le réseau est encore mal connu, notamment en ce qui concerne les années de pose des conduites (indice de connaissance et de gestion patrimonial de 60 pts sur 120 pts). D’autre part, il n’y a quasiment aucun renouvellement de réseau ces dernières années. Par ailleurs, aucune étude de schéma directeur d’alimentation en eau n’a encore été réalisée sur le service d’eau d’Awala−Yalimapo. Il est important de réaliser un schéma directeur afin de disposer d’un diagnostic précis et circonstancié du système et d’une programmation à moyen et long terme des investissements. ◆ Une performance du service médiocre Le rendement est peu stable ces dernières années ce qui indique un mauvais état du réseau (rendement extrêmement sensible aux fuites compte tenu du faible linéaire). Ces dernières années il varie entre 70% et 63% (en−dessous du rendement « Grenelle » pour ce service), avec une chute à 50% en 2016 due à une seule fuite importante que l’exploitant a eu du mal à repérer compte tenu de la nature du sol sableux. Sur la même période, l’indice linéaire de pertes varie de 2 à plus de 5 m3/j/km et est en moyenne médiocre compte tenu de la faible densité d’abonnés (8 ab/km). ◆ Une bonne qualité de l’eau distribuée La qualité de l’eau distribuée est bonne avec des taux de conformité bactériologique et physico−chimique de 100%. On note toutefois le caractère agressif de l’eau qui a pour conséquence : - D’entraîner un vieillissement prématuré des conduites - Quelques dépassements de normes de qualité sur la turbidité (identifiés sur l’auto− surveillance du délégataire) liés à la difficulté à maîtriser le dosage en réactif à la station de traitement de Mana en raison d’un pH trop bas. Le remplacement de l’alimentation d’eau de surface par de l’eau souterraine à Mana va permettre d’avoir une meilleure maîtrise de la qualité de l’eau produite et diminuer les risques sanitaires. ◆ Des ouvrages dans un état correct Le ...

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