Enjeux Clauses Exemplaires

Enjeux. Dans un contexte de diminution du flux de formés en formation initiale (voie scolaire) sur les métiers de la production agricole, la Formation Professionnelle Continue pour Demandeurs d’emploi est amenée à tenir un rôle de plus en plus important et l’apprentissage mériterait d’être développé. Pour ces raisons, en complémentarité, les trois voies de formation professionnelles, notamment sur les niveaux V et IV, devront contribuer à : - Donner aux personnes en formation les principales qualifications socles attendues sur le marché de l’emploi agricole et permettant de s’adapter aux évolutions en cours en matière de technicisation et de mécanisation des processus de production, mais aussi de diversification des activités (production, transformation, commercialisation) - Développer une offre de formation complémentaire centrée sur les compétences permettant aux actifs d’accéder aux emplois pérennes qui se proposent, voire à des postes d’encadrement intermédiaire pour lesquels on constate un trou générationnel et, enfin, pour répondre aux nouvelles formes d’emplois : entreprises de travaux, CUMA, emploi partagé. Les profils attendus pour occuper les emplois salariés agricoles évoluent en proposant des agencements variables des compétences selon les territoires et selon les filières. Ces formes de polycompétence qui traversent les référentiels de certification ou plus globalement les référentiels de diplôme appellent à une adaptation de l’offre de formation en termes de modularisation et de blocs de compétences
Enjeux. L’idée est de mettre à disposition des citoyens un site Internet remplissant ses fonctions premières de service public : démarches pratiques, services en ligne. La Ville souhaite se doter d’un outil à jour avec les normes de sécurité et d’accessibilité. Le site devra être responsive, interactif, et supporter des contenus multimédias variés : l’idée étant de faire de ce support à la fois un outil de service public de proximité, mais aussi un relai d’information sur le territoire.
Enjeux.  Adapter l’offre en équipement à l’évolution démographique et au rayonnement intercommunal  Étirer le centre vers les équipements, donner de la lisibilité à la continuité des équipements  Donner de la lisibilité et de la qualité à la continuité d’espaces publics du centre  S’appuyer sur les tracés historiques et les aménagements existants pour compléter la trame verte : le tracé du ruisseau Saint Julien  Travailler à des espaces publics apaisés en centre bastide, rééquilibrer les usages, pondérer l’automobile. Comme l’ensemble de l’aire urbaine toulousaine, Saint Lys est concernée par une hausse des déplacements impactant la vie de la commune. Bien que près de 2/3 des déplacements générés restent au sein du secteur Fonsorbes-Saint Lys-Fontenilles en raison de l’offre conséquente des services et des structures présentes, la mobilité sur la commune est nécessairement tournée vers Toulouse et Muret. Ainsi, plusieurs routes départementales relient Saint Lys aux communes environnantes et aux voies rapides situées à moins de 15 kilomètres (X000, X00, X000, X00, X00 et D632). La jonction entre les D37, D632 et D12 est en cours de création depuis février 2018 par le Conseil Départemental, elle va permettre le contournement du centre-ville et impacter les flux qui traversent Saint Lys. Les entrées de ville Nord, depuis Fontenilles et Bonrepos, connectent à la N124 (2*2 voies connectant Toulouse au Gers). Ces entrées par le vallon de l’Ayguebelle polarisent les flux de circulation. En terme de transports en commun, la commune de Saint-Lys fait partie du périmètre de transport urbain de l’agglomération toulousaine et est desservie par plusieurs lignes gérées par deux autorités organisatrices différentes.  Quatre lignes du réseau départemental et régional liO Arc-en-ciel : la ligne 365 de Boulogne/Gesse à Xxxxxxxx (00 par jours en semaine), la ligne 305 de Rieumes aux Arènes (6 par jour) et la navette 321 de Fonsorbes à la Gare de Muret (5 par jour).  Deux lignes du réseau Tisséo-SMTC : la ligne 116 de Saint Lys à Tournefeuille également connectée au terminal de Plaisance du Touch (Linéo 3) et la ligne 315 de Saint Lys à Seysses et Muret. L’offre en transport en commun est encore trop faible pour être réellement attractive en raison des fréquences insuffisantes, des temps de trajet – pas de site propre donc temps de trajet supérieur à la voiture –, et des zones non accessibles en transports en commun. En 2016, 2% des travailleurs (habitant Saint Lys) seulement ...
Enjeux.  Préservation des repères du paysage face à l’étalement urbain : espaces naturels, réseaux hydrauliques, plantation d’alignement, entrées et silhouette de ville. La commune de Saint Lys dispose d’un habitat dominé par la maison individuelle, qui représente 76,5% du parc de logement sur le territoire en 2012, soit 2945 maisons pour un total de 3845 logements. Ces logements sont en grande majorité des résidences principales (92%) et le taux de logement vacants y est relativement faible (environ 7%). Cette faible proportion de logements vides démontre l’attractivité de la commune et la pression foncière qu’elle subit en raison d’une demande en logement croissante depuis plusieurs décennies. Un inventaire précis est en cours de réalisation par l’Agglomération du Muretain pour qualifier et localiser cette vacance à la parcelle. Une première analyse des données permet de constater que la vacance se concentre globalement sur le tissu dense et ancien de la bastide. Depuis 2007, on observe une certaine diversification des typologies de logement avec un recul de la part des maisons individuelles au profit des appartements collectifs et cette évolution se ressent également à travers le nombre de pièces par logement. Alors que les logements d’au moins 4 pièces représentaient 81,5% des logements en 2007, ils n’en représentaient que 72,3% en 2015. A l’inverse, les logements de 1 à 3 pièces représentent 27,7 % en 2015 contre 18,5% en 2007. C’est le signe d’une évolution des besoins et d’une densification de l’habitat sur la commune. La municipalité accompagne cette transformation en s’engageant dans la diversification de l’habitat en favorisant une part plus importante de logements collectifs relativement proches du centre-ville. Cette évolution répond également aux obligations de la commune en matière de logements sociaux. En effet, Saint Lys dispose au 1er janvier 2019 de 472 logements sociaux soit environ 11% du parc, en deçà de l’objectif de 20% fixé par la loi. La part de logements sociaux manquant devra être complétée avec des logements de petite taille. En effet, les demandes de logements sociaux sur Saint Lys en premier vœux concernent dans plus de 70% des cas des T2 et des T3.
Enjeux. Le Plan de Sauvegarde de la copropriété « Garges Ouest » présente les axes d’intervention principaux et enjeux suivants : • Formation et mobilisation du Conseil Syndical ; • Actions de mobilisation collective, notamment pour favoriser la mobilisation en Assemblée Générale ; • Mobilisation et engagement du syndic.
Enjeux. L’évolution des attentes sociétales en faveur d’une agriculture respectueuse de l’environnement se traduit aujourd’hui dans de nombreuses politiques publiques. Robotisation et Automatisation font disparaître certaines tâches, génèrent de nouvelles activités et organisations de travail. Ces inflexions font appel à des compétences nouvelles et de nouveaux thèmes deviennent cadre de référence de la formation (initiale et continue) des futurs agriculteurs et salariés agricoles. Les échanges d’information et partages d’analyses sur ces transformations en cours, sur les signaux faibles émis (au niveau régional, comme national) sont nécessaires afin d’anticiper les mutations à prévoir au niveau de l’appareil de formation et des contenus.
Enjeux. L’agriculture représente un secteur qui pèse dans l’économie et l’image de la région. Mais elle est en plein mutation. Le contexte économique s’est durci (concurrence internationale, évolution de la PAC, …). Les attentes sociétales vers une agriculture plus respectueuse de l’environnement, le changement climatique sont des enjeux majeurs pour l’agriculture. Des tendances de fond sont en train de transformer en profondeur les appareils de production et les organisations. Dans ce contexte métamorphosé, les acteurs modifient leurs stratégies en réponse aux enjeux économiques, environnementaux et sociaux. Le contenu des métiers se modifie et les activités se diversifient. Aujourd’hui, un exploitant agricole ne peut plus être un simple producteur. Il doit adopter une véritable posture de dirigeant, son champ d’intervention s’est élargi : il transforme, vend, manage des hommes, investit, négocie, s’informe, gère…. Il peut déléguer à des personnes « encadrants ». De fait, il doit développer des compétences d’organisation et de gestion économique mais également être en capacité de construire une stratégie la mieux adaptée pour maintenir une activité viable. Il doit également être en capacité à monter des projets locaux avec l’ensemble des acteurs du territoire. La professionnalisation de ces actifs est ainsi une exigence afin de pérenniser l’activité agricole.
Enjeux. Face à l’environnement économique en perpétuelle évolution et au poids du travail temporaire au niveau régional, il s’agira d’observer les évolutions des compétences et des métiers dans les secteurs d’activités du périmètre défini dans cette convention.
Enjeux.  Développer l’attractivité des métiers des secteurs couverts par le travail temporaire auprès des actifs.  Promouvoir le travail temporaire comme une forme de contrat pour accéder à tous les métiers.  Professionnaliser les professionnels de l’orientation et de l’insertion professionnelle en mutualisant les moyens de tous les partenaires.
Enjeux.  Se concerter pour identifier et anticiper les besoins en compétences des entreprises permettant d’adapter l’offre de formation professionnelle initiale et continue ;  Accompagner les publics et notamment ceux les plus éloignés de l’emploi avec des parcours de formation adaptés pour permettre leur insertion professionnelle dans les secteurs qui rencontrent des difficultés de recrutement ;  Articuler les moyens de tous les financeurs ;  Améliorer la communication et la qualité de l’offre de formation professionnelle