Risque de liquidité. Le risque de liquidité est défini comme étant celui qu’une position, dans le portefeuille du compartiment, ne puisse être cédée, liquidée ou clôturée pour un coût limité et dans un délai suffisamment court, compromettant ainsi la capacité du compartiment à se conformer à tout moment à ses obligations de racheter les actions des actionnaires à leur demande. Sur certains marchés (en particulier obligations émergentes et à haut rendement, actions de faible capitalisation boursière, …), les fourchettes de cotation peuvent augmenter dans des conditions de marché moins favorables, ce qui peut générer un impact sur la valeur nette d’inventaire en cas d’achats ou de ventes des actifs. En outre, en cas de crise sur ces marchés, les titres peuvent également devenir difficiles à négocier.
Risque de liquidité l'Émetteur est tributaire de liquidités suffisantes pour le paiement des créances résultant des titres. Si la créance dépasse les liquidités de l'Émetteur, le paiement peut être considérablement retardé, car les positions de l'Émetteur doivent d'abord être liquidées et les fonds doivent être transférés sur le compte de paiement de l'Émetteur. Dans ce cas, il existe un risque que les investisseurs ne reçoivent leurs créances que beaucoup plus tard après l'échéance.
Risque de liquidité. Le risque de liquidité correspond au risque que Coface SA et la Compagnie ne soient pas en mesure de faire face à leurs obligations de paiement grâce à leurs ressources financières liquides respectives. Le risque de liquidité fait l’objet de limites de risques spécifiques suivies dans le cadre de l’appétence aux risques de Coface SA et la Compagnie.
Risque de liquidité. Le risque de liquidité est défini comme étant celui qu’une position, dans le portefeuille du compartiment, ne puisse être cédée, liquidée ou clôturée pour un coût limité et dans un délai suffisamment court, compromettant ainsi la capacité du compartiment à se conformer à tout moment
Risque de liquidité. Ce placement est considéré comme peu liquide. Les modalités de retrait (vente) des parts de GFI sont liées à l’existence ou non d’une contrepartie, le GFI ne garantissant ni la revente de vos parts, ni le retrait. En cas de blocage des retraits, les cessions de parts pourront être réalisées sur le marché secondaire, lors de la confrontation périodique des ordres d’achat et de vente des parts du GFI, par substitution du régime juridique de capital variable par celui de capital fixe. En aucun cas les mêmes parts d’un Associé ne peuvent faire l’objet à la fois d’une demande de retrait et être inscrites sur le registre des ordres de vente sur le marché secondaire. En cas de souscription à crédit, si les revenus attachés aux parts souscrites à crédit ne sont pas suffisants pour rembourser le crédit, ou en cas de baisse de la valeur de retrait des parts, le souscripteur devra payer la différence. En outre, en cas de défaillance au remboursement du prêt consenti, l’établissement prêteur pourrait demander la vente des parts de GFI, pouvant entraîner une perte de capital.
Risque de liquidité. Certains titres détenus par le Fonds peuvent, à un moment donné, s’avérer difficiles (ou impossibles) à vendre ou à acheter. Ceci est susceptible d’affecter le prix auquel le Fonds peut liquider ses positions pour satisfaire les demandes de rachat ou d’autres besoins de financement du Fonds.
Risque de liquidité. Dans certaines circonstances, les marchés sur lesquels les titres sont négociés peuvent être illiquides, ce qui rend difficile l'acquisition ou la cession d'investissements aux prix cotés sur les bourses concernées. De plus, la suspension par une bourse des négociations sur un marché particulier pourrait rendre impossible la réalisation des positions et pourrait ainsi exposer le portefeuille à des pertes.
Risque de liquidité. Il représente le risque qu’un marché financier, lorsque les volumes d’échanges sont faibles ou en cas de tensions sur ce marché, ne puisse absorber les volumes de ventes (ou d’achats) sans faire baisser (ou monter) significativement le prix des actifs.
Risque de liquidité. La liquidité fait référence à la facilité de conversion d’un actif en espèces et à la vitesse à laquelle il est possible de le faire. La plupart des titres peuvent être vendus facilement à un prix juste. Dans les marchés marqués par une très grande volatilité, certains titres peuvent devenir moins liquides, ce qui signifie qu’ils ne peuvent plus être vendus aussi rapidement ou facilement qu’auparavant. Certains titres peuvent devenir peu liquides en raison de restrictions juridiques, de la nature du placement, de certaines autres caractéristiques comme les garanties, ou du manque d’acheteurs intéressés par un titre ou un marché en particulier. Les difficultés associées à la vente de titres peuvent se solder par une perte ou un rendement réduit pour un client. Le recours à l’effet de levier pourrait ne pas convenir à tous les investisseurs. L’achat de titres financé au moyen d’un emprunt est plus risqué que s’il est financé au moyen de liquidités seulement. Si un investisseur contracte un emprunt pour acheter des titres, sa responsabilité de rembourser le prêt et de payer l’intérêt conformément aux modalités du prêt demeure inchangée, et ce, même si la valeur des titres achetés diminue.
Risque de liquidité. Le risque de liquidité est la probabilité de rencontrer des difficultés pour récupérer ses fonds avant l’échéance fixée, s’il y en a une. Il dépend de l’existence et du fonctionnement d’un marché secondaire pour le titre. Plus les volumes de transactions sont élevés, moins le risque de liquidité est grand.