Définition de Figure 1

Figure 1. Profil d’un test de préqualification
Figure 1. Test de préqualification concernant l’aFRR Up Dans le cas d’un test de préqualification dans les deux directions, XXXX demande une activation pendant 7 quarts d’heure de l’aFRR Up et de l’aFRR Down, comme illustré à la Figure 2, consistant en : • Phase de rampe à la hausse (premier quart d’heure) : ramp-up pendant les 7,5 dernières minutes du premier quart d’heure jusqu’à l’aFRR Power que le BSP souhaite préqualifier ; • Phase aFRR Power complète à la hausse (deuxième quart d’heure) : l’aFRR Power que le BSP souhaite préqualifier est maintenue pendant 15 minutes ; • Phase de rampe à la baisse (troisième quart d’heure) : ramp-down pendant les 7,5 dernières minutes du troisième quart d’heure jusqu’à l’aFRR Power que le BSP souhaite préqualifier, en tenant compte de la baseline ; • Phase aFRR Power complète à la baisse (quatrième quart d’heure) : l’aFRR Power que le BSP souhaite préqualifier est maintenue pendant 15 minutes ; • Le cinquième quart d’heure permet au BSP de revenir à la baseline ; • Phase de suivi (2 derniers quarts d’heure) : suivi de 30 minutes du profil de préqualification. Figure 2 - Test de préqualification concernant les deux directions Le test de préqualification est réussi s’il n’y a pas plus de 30 écarts δ(ts) supérieurs à l’écart autorisé lors de la phase de suivi, avec : • l’écart, par Time Step « ts », est déterminé comme suit : • l’écart autorisé est de 7,5 % de l’aFRR Power que le BSP souhaite préqualifier ; • l’aFRR Power fournie par Time Step « ts » est déterminée comme suit : aFRR Power forunie(ts) = ∑[DPbaseline,ts0 − DPmeasured(ts)] où DP sont tous les Points de Livraison répertoriés pour participer au test de préqualification et où DPbaseline,ts0 est la dernière baseline reçue au Time Step « ts0 » lors duquel XXXX déclenche le test de préqualification. Si les critères de conformité ne sont pas satisfaits, le test de préqualification échoue et, en conséquence, l’aFRRmax,up et/ou l’aFRRmax,down ne peuvent pas être mises à jour. Un nouveau test de préqualification doit alors être effectué à cette fin.
Figure 1. Écart de tension autorisé, du niveau de tension indiqué dans le Contrat de Raccordement du Point de Raccordement en question du Générateur Principal d'un GF Black Start, après l'acceptation instantanée d'un prélèvement d'au moins 10 MW.

Examples of Figure 1 in a sentence

  • The building and the execution of an application us- ing deGoal consists of the following steps as illus- trated in Figure 1: writing the source code using a mix of C source code and of our dedicated cdg lan- guage (described below); compiling the binary code of the application and the binary code of compilettes using static tools; at runtime, generating the binary code of kernels by compilettes and in the end running the kernels.

  • Le schéma suivant décrit l'articulation générale de Scrum : Figure 1 Cycles d'un projet Scrum Xxxxx définit également trois artefacts : Le Burndown Chart, qui est une représentation graphique de l'avancement du projet, visible de tous les personnels Client et Prestataire impliqués dans le projet.

  • C’est ainsi qu’un des chercheurs de l’e´quipe franc¸aise interviendra hors station et en association avec les produc- Figure 1.

  • Le détecteur linéaire optique de fumée LYNX-L est composé de deux parties placées face à face : – La partie « Emetteur/Récepteur » (« E/R »), (Cf Figure 2) ; – Le réflecteur composé de 1 à 16 catadioptres « MIR10 » suivant les accessoires optiques utilisés (Cf Figure 1 et Figure 3).

  • Figure 1 - Représentation schématique des processus et domaines des marchés de la flexibilité 8 Figure 2 - Exemple simple – L'utilisateur réseau assure la flexibilité via le Point de connexion 15 Figure 3 - Exemple simple – L'utilisateur réseau assure la flexibilité via un actif sous-jacent unique.


More Definitions of Figure 1

Figure 1. Catadioptre «MIR10» Figure 2 : Emetteur/Récepteur « E/R » Figure 3 : Assemblage de 4 catadioptres
Figure 1. Principe du cloud-RAN satellitaire. Cela permet de concentrer et mutualiser la puissance de calcul requise par ces traitements (de Radio Access Network – RAN) dans des datacentres (le cloud), rendant les stations de base plus simples, donc plus facilement implantables dans différents environnements. Ce concept de cloud- RAN illustré en Fig. 1 offre des opportunités d’une grande valeur pour les opérateurs, qui peuvent multiplier les antennes satellites au sol à moindre coût et augmenter les performances de leurs réseaux d’accès. Néanmoins, un tel système exige que les signaux RF issus des antennes ou transmis aux antennes soient échantillonnés et quantifiés à des débits et à des précisions suffisantes et qu’ils soient transmis entre antenne et datacentre de traitement par un réseau adapté. Les convertisseurs analogiques<->numérique (DAC et ADC) actuels le permettent à un coût raisonnable mais le réseau qui supporterait ce cloud-RAN « brut » échangeant des signaux RF large-bande numérisés devrait supporter une charge de données considérable. Le coût d’un tel réseau peut être réduit par des techniques de compression de données appliquées aux signaux RF. Les algorithmes appliqués peuvent être aussi bien sans qu’avec pertes d’information tant que le système complet offre les mêmes performances de transmission de l’information que son prédécesseur. Nous souhaitons ainsi proposer des solutions pour réduire la charge de données sur le réseau d’accès afin de le maintenir à un coût acceptable par les opérateurs. Le traitement du signal considéré devra couvrir des techniques classiques de compression (comme un encodage adapté [R1,R2]), avec ou sans pertes, combinées ou pas [R3] comme des techniques complexes telles que le Xampling [R4] illustré en Fig. 2.
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Figure 1. Principe d’utilisation du couplage simulation de foules ONHYS / City Manager Thales La mise en œuvre se fera par une première étape de configuration en ce qui concerne la topologie des lieux, permettant de modéliser une simulation dans l’espace de démonstration. Un import de données captées sera ensuite réalisé, et le simulateur sera fourni à INRIA pour étude d’un système de calibration des modèles de simulation automatisé. La troisième étape de R&D sera de consolider ces technologies pour les rendre utilisable en flux tendu sur le terrain.
Figure 1. Processus de décision