Rappel du contexte Clauses Exemplaires

Rappel du contexte. La loi n° 2008-126 du 13 février 2008 relative à la réforme de l’organisation du Service Public de l’emploi stipule que l’Unédic donne délégation à Pôle emploi, pour agir en son nom, dans le domaine du versement de l’allocation, et du recouvrement de certaines contributions comme celles relatives à l’activité du cinéma spectacles. La certification des comptes de l’Unédic exige que des assurances soient apportées par Pôle emploi à deux niveaux : Le présent document a pour objectif d’apporter les précisions opérationnelles nécessaires aux stipulations de l’article 9 de la convention bipartite Unédic/Pôle emploi. il décrit plus particulièrement le reporting des corps de contrôle de Pôle emploi auprès de l’Unédic, notamment en matière de mise en œuvre du dispositif de contrôle interne concernant les activités déléguées. Ce reporting doit permettre à l’Unédic d’obtenir : • une assurance raisonnable de l’efficacité et de l’efficience du dispositif de contrôle interne de Pôle emploi, • une perception des risques encourus à travers les rapports d’audit interne se rapportant aux activités déléguées, • une appréciation de son degré d’exposition aux fraudes. Le comité de coordination de la convention bipartite prévu à l’article 19.1 est le lieu d’échange et d’examen des différents documents fournis par Pôle emploi et par l’Unédic.
Rappel du contexte. La loi n° 2008-126 du 13 février 2008 relative à la réforme de l’organisation du Service Public de l’emploi stipule que l’Unédic donne délégation à Pôle emploi, pour agir en son nom, dans le domaine du versement de l’allocation, et du recouvrement de certaines contributions comme celles relatives à l’activité du cinéma spectacles. La certification des comptes de l’Unédic exige que des assurances soient apportées par Pôle emploi à deux niveaux : Le présent document a pour objectif d’apporter les précisions opérationnelles nécessaires aux stipulations de l’article 6 de la convention bipartite Unédic/Pôle emploi. il décrit plus particulièrement les transmissions de documents et/ou de données en matière comptable et financière ainsi que l’organisation des échanges comptables et financiers à mettre en œuvre entre l’Unédic et Pôle emploi.
Rappel du contexte. Suite à la résiliation d’un contrat de gérance-mandat, le gérant mandataire avait engagé une action devant le Tribunal de commerce de Lille Métropole en contestant à titre principal, la résiliation du contrat pour faute, et en sollicitant à titre subsidiaire, la réparation de son préjudice sur le terrain de la rupture brutale prévue à l’article L.442-6,I,5° du Code de commerce. S’en est alors suivi un premier débat qui s’est porté sur la compétence du Tribunal de commerce : soit celui de Lille Métropole, juridiction spécialisée pour statuer sur l’article L.442-6 du Code de commerce, soit celui d’Agen, en application d’une clause attributive de juridiction prévue dans le contrat de gérance-mandat. Le Tribunal de commerce de Lille Métropole s’étant déclaré compétent, un contredit avait été formé devant la Cour d’appel de Douai C’est dans ces conditions que le 20 octobre 2015, la Cour de cassation a rappelé avec fermeté que la Cour d’appel de Paris dispose d’un pouvoir exclusif de statuer sur les contredits formés contre les décisions rendues dans les litiges relatifs à l'application de l'article L. 442-6 du Code de commerce. (Cass. com., 20 octobre 2015, n°14-15.851, FS-P+B, Sté Gifi Mag c/Sté Rocade)
Rappel du contexte. Lors de la réunion du 12 octobre 2020 les acheteurs du territoire ont exprimé leur volonté de réactiver le travail en réseau et de poursuivre les mutualisations sur le territoire. En poursuivant le processus de simplification des procédures administratives, le groupement de commandes permanent, tel qu’il a été conçu pour les collectivités, les CCAS et les Caisses des écoles du territoire, a renforcé cet objectif par la mise en place d’une convention constitutive cadre unissant ses membres. Cette convention cadre définit le fonctionnement du groupement, en précisant le rôle des coordonnateurs et des membres, les modalités de la conclusion des marchés mutualisés, les conditions d’adhésion et de retraits ou les modifications éventuelles évolutives. C’est une opportunité pour chaque membre de rejoindre, à hauteur de ses besoins, les marchés mutualisés qui seront lancés ensuite, sans avoir besoin de délibérer à nouveau. La convention constitutive du groupement de commandes pour différents segments d’achat entre en vigueur le 6 octobre 2021, consécutivement à sa signature par les membres et sa transmission au contrôle de légalité. Elle compte 32 adhérents : 18 communes, 13 CCAS, 1 Caisse des Ecoles et la CASGBS). La Ville de Saint-Germain-en-Laye assurant le rôle de secrétariat du groupement recueille des propositions d’actes modificatifs à la convention constitutive et met en place les avenants y afférents. En fin d’année 0000, xx Xxxxx xx Xxxxxxx-Xxxxxxxx ainsi que le CCAS de Maisons-Laffitte ont fait part de leur souhait de rejoindre le groupement de commandes.
Rappel du contexte. L’idée sous-tendue par ce dossier est d’instituer plus de cohérence en matière de gouvernance internationale de l’environnement. La problématique générale se résume dans les quelques points suivants : On a assisté ces dernières années à une multiplication d’accords internationaux (MEAs) relatifs à divers enjeux environnementaux (effet de serre, polluants organiques persistants, biodiversité, espèces migratrices, etc.). Il y a à présent un besoin de coordination entre ces accords et il faudrait idéalement avoir un mécanisme renforcé de suivi de leur application dans les politiques nationales. Cette cohérence accrue nécessite l’émergence d’un système structuré rassemblant ces accords internationaux, ainsi que les principaux organismes internationaux se chargeant d’environnement (essentiellement l’UNEP - United Nations Environment Programme -). Idéalement, ce système coordonné devrait fonctionner selon les lignes directrices tracées par une assemblée politique large et forte. Des moyens financiers accrus seront nécessaires au bon fonctionnement du système. En particulier, l’UNEP nécessite un renforcement budgétaire. Un autre enjeu important est l’intégration de ce système dans un contexte plus vaste de monde en globalisation. Les principes du développement durable sont ici en jeu. En effet, des liens doivent être renforcés entre les principes environnementaux et le développement du commerce mondial. La prise en compte des préoccupations de pays en voie de développement est également indispensable (transfert de technologies propres, « capacity building »). Ce dossier, considéré comme prioritaire par une large majorité des parties concernées (Etats, organismes internationaux), fut appuyé par la déclaration de Malmö (mai 2000) et soutenu au Conseil de l’Union Européenne sous la présidence française. En effet, sur base d’un texte proposé par la France, le Conseil a adopté, les 18-19 décembre 2000, une position officielle en la matière. En outre, le dossier figurera en bonne place dans l’agenda du sommet de la terre à Johannesburg en 2002. En substance, la position européenne se résume comme suit : nécessité d’assurer une meilleure coordination de l’action internationale en matière d’environnement ; nécessité de donner à la structure de coordination une assise financière adaptée aux défis qu’elle doit relever ; importance de favoriser la participation effective de tous les acteurs y compris le G77 (groupe des pays en voie de développement) + la Chine ; importance ...
Rappel du contexte. En assumant la Présidence de l’Union européenne, la Belgique s’investit dans un dossier international intitulé « Gouvernance mondiale en matière d’Environnement » (IEG pour « International Environmental Governance »). L’enjeu est d’instituer plus de cohérence, de crédibilité et d’autorité en matière d’accords environnementaux internationaux (accords sur les changements climatiques, la biodiversité,… appelés MEAs), ainsi que de financer adéquatement le processus. Ce dossier, considéré comme prioritaire par une large majorité des parties concernées (Etats, organismes internationaux), fut appuyé au niveau international par la déclaration ministérielle de Malmö (mai 2000) et largement soutenu par l’Union européenne (mention du dossier dans plusieurs Conclusions du Conseil, dont Nice et Göteborg). En outre, le dossier figurera en bonne place dans l’agenda du Sommet de la Terre à Johannesburg en septembre 2002.
Rappel du contexte. La commune de Duttlenheim souhaite confier l’assistance technique et la maintenance de son parc informatique, des serveurs et des équipements de réseau afin de bénéficier des compétences d’un prestataire spécialisé et expérimenté capable de garantir le caractère opératoire des systèmes informatiques et de conseiller quant à l’évolution des techniques et du matériel informatique, tout en assurant un service qualitatif et à meilleur coût.

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  • Période d’essai En vigueur étendu Au cours de la période d'essai, l'employeur ou le salarié peut rompre librement le contrat, sans procédure particulière. La période d'essai doit être prévue au contrat. Si l'accueil de l'enfant, prévu au contrat, s'effectue sur 1, 2 ou 3 jours calendaires par semaine, la période d'essai aura une durée maximum de 3 mois. Si l'accueil s'effectue sur 4 jours et plus par semaine, la période d'essai aura une durée maximum de 2 mois. Durant les premiers jours de l'essai et au maximum pendant 1 mois, un temps d'adaptation peut être prévu par l'employeur au cours duquel les conditions et les horaires d'accueil seront fixés en fonction des besoins d'adaptation de l'enfant. Ce temps d'adaptation fait partie de la période d'essai. Si le contrat est rompu avant la fin de la période d'essai, l'employeur doit délivrer au salarié : - un bulletin de paie ; - un certificat mentionnant la date de début et la date de fin du contrat ainsi que la nature de l'emploi ; - une lettre de rupture si celle-ci est de son fait ; - l'attestation Assedic.

  • Durée du séjour Le locataire signataire du présent contrat conclu pour une durée déterminée ne pourra en aucune circonstance se prévaloir d’un quelconque droit au maintien dans les lieux à l’issue du séjour.

  • Localisation - DGF 2023 Intervenants Objet de la demande Subventions 2022 Quantité Coût du projet Dép retenues Subv. sollicitée Subv. prévue Décision

  • RESILIATION DU CONTRAT Nonobstant les éventuelles dispositions prévues aux Conditions Particulières, le Contrat peut être résilié par chacune des Parties dans les cas suivants : a) En cas de manquement grave d’une des parties à ses obligations au titre de l’exécution de ce contrat, la partie non défaillante mettra en en demeure l’autre partie, par courrier recommandé avec accusé de réception de remédier aux inexécutions b) En cas de survenance d’un événement de force majeure se prolongeant au-delà d’un mois à compter de sa survenance c) en cas de résiliation du contrat GRD-Energies Libres. d) En cas de suspension du contrat à l’initiative d’Energies Libres conformément à l’article 12-a ci-dessus, Energies Libres pourra procéder à la résiliation du contrat dans un délai de 30 jours dans les conditions prévues ci-dessous. Dans ces cas la résiliation devra être notifiée à l’autre Partie par lettre Recommandée avec accusé de réception moyennant un préavis de 30 jours, la date de résiliation effective du Contrat est arrêtée par le GRD qui la notifie aux Parties, cette date ne peut intervenir que le 1er jour du mois suivant la date de fin du préavis. Dans tous les cas, la résiliation du Contrat entraîne l’obligation pour le Client de payer l’intégralité de l’énergie électrique active fournie jusqu’au jour de la résiliation effective. Le GRD communiquera au fournisseur la facture soldant les consommations du client jusqu’à la date de résiliation effective. Le Client est tenu de payer dans son intégralité cette facture. Dans tous les cas, si à compter de la date de résiliation effective, le Client continue de consommer de l’Electricité sur son ou ses PDL, il doit avoir conclu un nouveau contrat de fourniture d’électricité avec Energies Libres ou tout autre fournisseur prenant effet à cette même date. A défaut il supporte l’ensemble des conséquences notamment financières et prend le risque de voir sa fourniture interrompue par le Distributeur conformément aux conditions prévues dans les DGARD. Le Client reconnait avoir pris expressément connaissance de ces conditions. Le Client ne pourra en aucun cas rechercher la responsabilité d’Energies Libres pour toutes les conséquences dommageables de sa propre négligence et en particulier en cas d’interruption de la fourniture par le Distributeur. Tous les frais liés à la résiliation du Contrat sont à la charge de la Partie défaillante, sans préjudice de tous dommages et intérêts qui peuvent être demandés par la Partie non défaillante.

  • Résiliation du contrat Le contrat peut être résilié : 7.5.6.1. PAR L’ADHÉRENT :  à l’expiration de la première période contractuelle d’un an : par lettre recommandée adressée au Souscripteur au plus tard UN mois avant la date d’échéance de l’adhésion.  à tout moment à compter du 13ème mois de la souscription,  en cas de majoration tarifaire ou en cas de modification des garanties (article 4.5.7.2. ci-après) : entre la date de réception de la notification des modifications contractuelles et la prise d’effet des modifications. 7.5.6.2. PAR LE SOUSCRIPTEUR :  en cas de non-paiement des cotisations, dans les conditions prévues à l’article 7.5.8 «Non-paiement-Résiliation», des présentes Dispositions générales, et ce conformément aux dispositions de l’article L 113-3 du Code des Assurances.  à chaque année à l’échéance annuelle, par lettre recommandée avec accusé de réception indiquant le motif de la résiliation, et adressée au plus tard DEUX mois avant la date d’échéance annuelle.  en cas d’omissions ou d’inexactitudes dans les déclarations de l’Adhérent à la signature des Dispositions particulières ou en cours de contrat (articles L 113-8 et L113-9 du Code des Assurances),  en cas de modification de la situation personnelle de l’Adhérent à condition que la modification ait une incidence sur le risque couvert, dans les conditions prévues à l’article 7.5.7.1. « Modifications par l’adhérent » des présentes Dispositions générales,  après sinistre, la résiliation prend effet UN mois après que le Souscripteur en a reçu notification (article R 113-10 du Code des Assurances), 7.5.6.3. DE PLEIN DROIT :  en cas de cessation du Contrat d’assurance automobile, pour quelque cause que ce soit : à la date de cessation du Contrat d’assurance automobile  en cas de cessation de l’accord conclu entre le Souscripteur et EUROP ASSISTANCE aux fins des présentes : à la date d’effet de la cessation dudit accord  en cas de retrait total de l’agrément d’EUROP ASSISTANCE : au 40ème jour à compter de la date de publication au JO de la décision de retrait d’agrément (article L326-12 du Code des Assurances). Les délais indiqués dans le présent article sont décomptés à partir de la date d’envoi par l’expéditeur de la lettre recommandée de résiliation, le cachet de la poste faisant foi. Dans le cadre des dispositions du présent article, le Souscripteur agit au nom et pour le compte d’EUROP ASSISTANCE.

  • Langue du contrat Les présentes conditions générales de vente sont rédigées en langue française. Dans le cas où elles seraient traduites en une ou plusieurs langues étrangères, seul le texte français ferait foi en cas de litige.

  • Divulgation relative aux Signatures et aux Dossiers électroniques Accepté: 11/09/2023 11:44:26 ID: 64e4aa10-79b6-4597-b7f3-48708dbd9260

  • FORMATION DU CONTRAT Toute commande en ligne suppose l'adhésion sans restriction ni réserve du client aux présentes conditions générales de vente, lesquelles sont visibles sur les pages du site Internet www.tourisme- xxxxxxxxx.xxx de l'Office de Tourisme, à l'aide d'un lien hypertexte et donc consultables à tout moment. Si le client ne s’estime pas suffisamment informé sur les caractéristiques des prestations qu’il souhaite commander, il peut préalablement à toute passation de commande, solliciter des informations complémentaires sur ces prestations auprès de l’Office de Tourisme. En passant commande, le client reconnaît implicitement avoir obtenu toutes les informations souhaitées sur la nature et les caractéristiques des prestations commandées. Le contrat de prestations devient ferme et définitif lorsque le client a validé la page « Panier » du site Internet sur laquelle figure le récapitulatif des prestations commandées et a procédé au paiement de l’intégralité du prix des prestations commandées. Tant que ces conditions ne sont pas remplies, le contrat de prestations ne sera pas considéré comme formé et l’Office de Tourisme ne sera nullement tenu de réaliser les prestations commandées. La validation de la page « Panier » du site Internet et le paiement de l’intégralité du prix des prestations commandées pourront être effectués avant midi le jour de l’arrivée à Collioure. Dès lors que le contrat de prestations sera formé dans les conditions ci-dessus décrites, celui-ci ne pourra plus faire l’objet d’aucune modification ou annulation par le client, sous réserve des dispositions inhérentes au droit de rétractation dont il bénéficie ou par l’Office de Tourisme, sauf accord entre les parties, sauf dans les conditions ci-après stipulées dans les présentes conditions générales de vente et sauf cas de force majeure.

  • Délai de livraison 8.1 Le délai de livraison court dès que le contrat est conclu, que toutes les formalités administratives officielles, telles que l’obtention des autorisations d’importation, d’exportation, de transit et de paiement, ont été accomplies, que les paiements et les sûretés éventuelles exigés à la commande ont été fournis et que les principales questions techniques ont été réglées. Le délai de livraison est respecté si, à son échéance, le fournisseur a informé l’acheteur que la livraison est prête à l’expédition. 8.2 Le respect du délai de livraison est lié à la satisfaction du respect des obligations contractuelles de l’acheteur. 8.3 Le délai de livraison est prolongé d’une durée appropriée: a) lorsque les indications nécessaires à l’exécution du contrat n’ont pas été adressées à temps au fournisseur, ou lorsque l’acheteur les modifie ultérieurement et engendre ainsi un retard dans l’exécution des livraisons ou des prestations; b) lorsque des circonstances contraignantes affectant le fournisseur, l’acheteur ou un tiers surviennent sans que le fournisseur soit en mesure de les écarter, en dépit de l’attention commandée par les circonstances. A titre d’exemple, de telles circonstances sont des épidémies, une mobilisation, une guerre, une guerre civile, des actes terroristes, une émeute, des troubles politiques, des révolutions, des actes de sabotage, d’importantes perturbations dans l’exploitation de l’entreprise, des accidents, des conflits de travail, la livraison tardive ou défectueuse des matières premières nécessaires, des produits semi-finis ou finis, la mise au rebut d’importantes pièces, des mesures ou omissions administratives d’organes étatiques ou supranationales, des embargos, des empêchements de transport, des incendies, des explosions, des phénomènes naturels; c) lorsque l’acheteur ou un tiers est en retard dans l’exécution des travaux qui lui incombent, ou dans l’accomplissement de ses obligations contractuelles, notamment si l’acheteur ne respecte pas les conditions de paiement. 8.4 Lorsqu’au lieu d’un délai de livraison, un terme certain a été convenu, celui-ci correspond au dernier jour d’un délai de livraison; les chiffres 8.1 4 sont applicables par analogie.

  • OBJET DU CONTRAT Le présent contrat a pour objet la location d’un logement ainsi déterminé :