Refus d’exécution Clauses Exemplaires

Refus d’exécution. La Banque est fondée, dans certains cas, à refuser l’exécution d’un ordre de paiement, notamment en raison d’un défaut de provision suffisante sur le compte, d’une erreur matérielle ou d’une disposition législative ou réglementaire en vigueur. Pour les opérations de paiement relevant de l’article L. 133-1 du Code monétaire et financier, lorsque la BANQUE refuse d’exécuter un ordre de paiement, elle en informe le CLIENT par tout moyen, dès que possible et, en tout état de cause, au plus tard à la fin du premier jour ouvrable suivant le refus d’exécution de l’ordre de paiement. La BANQUE indique également au CLIENT, si possible et à moins d’une interdiction en vertu d’une disposition du droit de l’Union européenne ou de droit national pertinente, les motifs de ce refus et, en cas d’erreur matérielle, la correction appropriée. Un ordre de paiement refusé est réputé non reçu et ne peut donc engager la responsabilité de la BANQUE au titre de l’article 6.2.2. ci-après. Lorsque le refus est objectivement justifié, la BANQUE a la possibilité d’imputer des frais pour une telle notification qui sont mentionnés dans les Conditions Tarifaires. Pour l’exécution correcte de ses ordres de paiement relevant de l’article L. 133-1 du Code monétaire et financier, le CLIENT doit communiquer l’identifiant unique du bénéficiaire, donnée permettant d’identifier ce dernier et/ou son compte. Il s’agit de l’identifiant international du compte (ci-après « IBAN ») du bénéficiaire (cf. supra, article 3.4.) et de l’identifiant international de la banque de ce dernier (ci-après « BIC »). Ces coordonnées bancaires sont communiquées au CLIENT par le bénéficiaire qui les obtient de sa banque. Dans le cadre des opérations SEPA, seul l’identifiant unique IBAN du donneur d’ordre et du destinataire devra être fourni par le CLIENT.
Refus d’exécution. La Banque peut être amenée à refuser d’exécuter un ordre de prélèvement. Dans ce cas, la Banque informe le Client de ce refus par tous moyens (notamment par la mise à disposition de ces informations sur l’Espace Client sécurisé). La Banque communique le motif de refus d’exécuter l’ordre à moins qu’une disposition législative ou réglementaire ne s’y oppose.
Refus d’exécution. ADM se réserve le droit de refuser, d’annuler ou de suspendre l’exécution du contrat de vente dans les cas suivants: (i) l’Acheteur est en retard de paiement, (ii) des doutes surgissent quant à la solvabilité de l’Acheteur ou sa bonne foi à payer ou, (iii) la société de l’Acheteur est liquidée ou trans- mise à un concurrent d’ADM. (iv) le plafond de crédit pour la délivrance de Marchandises fixé par l’assurance crédit de ADM est dépassé. Dans les cas précités, ADM se réserve également le droit d’exiger de l’Acheteur un paiement préalable sous réserve du délai de grâce énoncé à la clause 2.7 ou la fourniture d’une garantie bancaire validée par ADM. A l’expiration dudit délai, ADM pourra résilier le contrat de vente ou la partie du contrat de vente non encore exécutée sans possibilité pour l’Acheteur de prétendre à des dommages et intérêts. Dans l’hypo- thèse (i) ci-dessus, les réclamations de chacune des so- ciétés ADM contre l’Acheteur deviendront immédia- tement exigibles, même si des effets ou chèques ont été remis à cet effet ou si le paiement a été échelonné.
Refus d’exécution. Lorsque la Caisse d‟Xxxxxxx refuse d‟exécuter un ordre de paiement, elle vous le notifie, ou met la notification à votre disposition par tous moyens, dès que possible et, en tout état de cause : • jusqu‟au 31 décembre 2011 : au plus tard à la fin du troisième (3ème) jour ouvrable suivant le refus d‟exécution de l‟ordre de paiement, • à compter du 1er janvier 2012 : au plus tard à la fin du premier (1er) jour ouvrable suivant le refus d‟exécution de l‟ordre de paiement. La Caisse d‟Epargne vous en donne les motifs, si possible et à moins d‟une interdiction en vertu d‟une législation communautaire ou nationale. Si le refus est justifié par une erreur matérielle, la Caisse d‟Epargne vous indique, si possible, la procédure à suivre pour corriger cette erreur. Si le refus est objectivement motivé, la banque peut vous imputer des frais pour une telle notification. Dans ce cas, les frais sont mentionnés aux Conditions et Tarifs applicables à la clientèle des particuliers. Pour l‟application des articles 14.2.2, 14.3.2, 14.4.2,
Refus d’exécution. L’Établissement pourra refuser d’exécuter tout Ordre de virement incomplet ou erroné. Le Client sera alors invité à ré-émettre l’Ordre pour le mettre en conformité. L’Établissement pourra, en outre, suspendre un Ordre de virement en cas de doute sérieux d’utilisation frauduleuse d’un Compte, d’utilisation non autorisée d’un Compte, d’atteinte à la sécurité d’un Compte, de soupçon de blanchiment/ financement du terrorisme, ou en cas de mesure de gel des avoirs par une autorité administrative. En cas de refus d’exécution ou de blocage d’un Ordre de virement, l’Établissement en informera le Client par tout moyen dès que possible, et au plus tard à la fin du premier Jour Ouvrable suivant la Date de réception. L’Établissement indiquera si possible au Client les motifs du refus ou du blocage, à moins d’une interdiction en vertu d’une disposition pertinente de droit national ou de droit de l’Union européenne. Le Client est informé qu’une telle notification pourra faire l’objet de perception des frais indiqués dans les Conditions Tarifaires (Article 2 du Titre 1 2) si le refus est objectivement motivé.
Refus d’exécution. 5.2.1. En cas de défaillance de l’une des parties, l’autre partie peut, de plein droit et sans qu’il soit besoin de mise en demeure, soit résilier le contrat purement et simplement, soit réclamer des dommages-intérêts pour inexécution. 5.2.2. Faute par elle d’avoir notifié sa décision par écrit dans les 72 heures de la défaillance, la partie qui n’est pas en défaut verra son droit à dommages-intérêts limité à 7,5 % de la valeur du contrat. 5.2.3. Les contrats, en dehors des contrats à terme fixe, dont l’exécution n’est pas exigée par l’une des parties dans un délai de quinze jours à compter de la date de livraison convenue, seront considérés comme résolus de plein droit à l’expiration de ce délai.
Refus d’exécution. La Banque se réserve le droit de ne pas exécuter les ordres de virements du Titulaire. Elle devra en informer ce dernier (par téléphone, SMS, télécopie ou courriel) dans un délai maximum de un (1) jour ouvrable suivant la réception de l’ordre de virement. Un ordre refusé par la Banque est un ordre réputé non reçu. Le cas échéant, le Titulaire devra transmettre à la Banque un nouvel ordre de virement.

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  • Cas de force majeure 1. La Plateforme d’Allocation ou un Participant Inscrit, qui invoque un Cas de Force Majeure, devra sans délai envoyer à l’autre Partie une notification décrivant la nature de celui-ci et (dans la mesure du possible) sa durée attendue et devra continuer de fournir des rapports à cet égard, à une fréquence raisonnable pendant la durée du Cas de Force Majeure. La Partie invoquant le Cas de Force Majeure devra employer tous ses efforts pour en limiter les conséquences. 2. Les obligations, devoirs et droits d’une Partie affectés par un Cas de Force Majeure seront suspendus à compter du début celui-ci, à l’exception des dispositions en matière de confidentialité conformément à l’article 55. 3. La suspension en vertu du paragraphe 2 du présent article est assujettie à ce qui suit : (a) la suspension n’aura pas une portée et une durée plus longues que celles requises par le Cas de Force Majeure ; et (b) la suspension ne s’applique que tant que la Partie invoquant le Cas de Force Majeure met en œuvre des efforts raisonnables pour remédier à la situation ou atténuer son incapacité d’exécution. 4. Les conséquences d'un Cas de Force Majeure, qui ne fait pas l'objet de discussions ou d'un différend entre la Plateforme d'Allocation et le Participant Inscrit, sont les suivantes : (a) la Partie invoquant un Cas de Force Majeure ne peut pas être tenue de dédommager tout préjudice subi du fait de l’inexécution totale ou partielle de l’ensemble ou de l’une quelconque de ses obligations pendant la durée du Cas de Force Majeure et lorsque cette inexécution totale ou partielle est directement due au Cas de Force Majeure ; et (b) les Droits de Transport Infrajournaliers acquis qui ont été intégralement payés et sont soumis au Cas de Force Majeure sont remboursés pour la durée du Cas de Force Majeure conformément à toute législation applicable et aux présentes Règles d’Allocation. 5. La Partie affectée par le Cas de Force Majeure devra adresser une notification à l’autre Partie lorsqu’elle cesse d’être affectée par celui-ci. 6. Si le Cas de Force Majeure se poursuit pendant plus de six (6) mois, la Plateforme d’Allocation ou chaque Participant Inscrit peut, en adressant une notification écrite à l’autre Partie à tout moment au-delà de cette période, résilier unilatéralement l’Accord de Participation. La résiliation prendra effet dix (10) Jours Ouvrables après la notification ou à toute date ultérieure indiquée dans la notification. 7. Afin d’éviter toute ambiguïté, le présent article est sans préjudice des dispositions du CHAPITRE 6 relatives à la restriction des Droits de Transport Infrajournaliers.

  • Conclusion du contrat La réservation devient effective dès lors que le locataire aura fait parvenir au propriétaire un acompte de 25 % du montant total de la location et un exemplaire du contrat signé avant la date indiquée au recto. Un deuxième exemplaire est à conserver par le locataire. La location conclue entre les parties au présent acte ne peut en aucun cas bénéficier même partiellement à des tiers, personnes physiques ou morales, sauf accord écrit du propriétaire. Toute infraction à ce dernier alinéa serait susceptible d'entraîner la résiliation immédiate de la location aux torts du locataire, le produit de la location restant définitivement acquis au propriétaire.